Variable quantitative

et de la demande de monnaie 1) Théorie quantitative de la monnaie Il s’agit d’une théorie proposer par Fisher (Américain) Dans les années 20-30. Fisher propose une identité qui vient mettre en relation 4 variables macro-économiques : M : masse monétaire, V : Vitesse de circulation de la monnaie, P : Niveau général des prix, T : Volume des transactions. (MVPT) Une identité est une égalité constamment vérifié quel que soit les variables. M*V=P*T M= quantité de monnaie qui circule

d’échanges de services productifs dont la rémunération est l’exacte contrepartie de l’apport productif. 3. Si la monnaie n’exerce pas d’influence sur les prix relatifs, elle peut influencer le niveau général des prix. D’où l’ébauche de la théorie quantitative de la monnaie à laquelle participent les classiques (après Bodin, Locke, Hume, Cantillon) et notamment Ricardo avec la thèse bullioniste (qui donnera naissance à la currency school) affirmant que l’émission excessive de monnaie-papier ou métallique

démontrer que la monnaie influait sur la formation du capital et la production et elle apparait ainsi comme un des moteurs de la croissance économique. Cette idée a donné lieu alors à une première formalisation de ce qu’on appelle la théorie quantitative de la monnaie. Cette première théorie a été formalisée par Fisher selon qui la quantité de monnaie en circulation a été utilisé en moyenne un certain nombre de fois dans les transactions, cette fréquence est mesuré alors par la vitesse de circulation

niveau des prix dépend de l'offre de monnaie (si la masse monétaires augmente, les individus chercheront à utiliser le surplus de monnaie et donc vont augmenter leur consommation .Donc la monnaie a une influence sur les variables nominales, mais elle n’a pas d’influence sur les variables réelles. B) Irving Fisher : la théorie de la monnaie A) La limite et critique de la neutralité A) Keynes : une monnaie active Pour les keynésiens la monnaie n’est pas neutre, selon lui la monnaie est

puis David Ricardo au début du XIXème siècle systématisera l'explication des variations du niveau des prix nominaux par celle de la masse monétaire. La théorie quantitative de la monnaie reste toujours le pilier principal des théories de l'inflation même si les formulations de cette théorie changent. Malgré l'importance de la théorie quantitative de la monnaie, cela n'évite pas l'existence d'autres théories restant partielles. 3.1 La théorie de l'inflation monétaire de Jean Bodin et néo classique La

depuis le début des années 80, qui fait de l'ancrage nominal un impératif.I. Monnaie et activitéDeux grands courants traversent l’analyse monétaire: * le quantitativisme ou la théorie de la monnaie-voile. Pour les quantitativistes la monnaie est une variable exogène et neutre, au sens où elle n'est pas susceptible d'influer sur la sphère réelle. Cette approche correspond à une partition de l'économie: dans la sphère réelle se trouvent les mécanismes fondamentaux de l’économie susceptibles d'influer sur

prix réel au prix monétaire. Bodin l’explique par l’équation M (quantité de monnaie disponible dans l’économie) = p (niveau des prix). T (volume des transactions). On explique le prix nominal à partir de la quantité de monnaie. C’est la théorie quantitative de la monnaie, c’est le fondement de la théorie monétaire elle va apporter la possibilité de mesurer en terme monétaire des rapports d’échange. On dit alors que l’approche de ces auteurs Classiques et Néo-Classique c’est une approche dichotomique

fonction croissante du revenu réel. elle est une fonction croissante du niveau général des prix. elle est une fonction décroissante de la vitesse de circulation de la monnaie. Dans l'optique néoclassique, la demande de monnaie ne dépend pas de variables tels les taux d'intérêt ; elle est supposée inélastique au taux d'intérêt, dans la mesure où les encaisses sont essentiellement affectées à la dépense. Il n'y a pas d'arbitrage entre détention de monnaie et placement financiers. b : l'optique

valeur mobilière). Les contrats ou comptes à terme : c’est un compte rémunéré bloqué où la rémunération est due si l’argent est laissé sur le compte jusque la maturité. Les opcvm sont de deux ordres : les sicav (société d’investissement en capital variable) et les FCP (fonds communs de placement). La différence entre les deux est une différence de taille, les sicav sont plus importantes. Dans OPCVM on entend les titres, actions détenus par les agents. Remarque : Les comptes à terme et les OPCVM sont

100 et que le marché du capital est en équilibre. Il n’y a ni impôts ni dépenses publiques. * Calculer la production en volume. Y = -0,4Nd2 + 20Nd Y = -0,4 (12,5)2 + 20(12,5) = 187,5 * Le niveau général des prix. D’après la théorie quantitative de la monnaie : Mo*V = P*Y 75*5 = P*187,5 P = (75*5)/187,5 = 2 * La production en valeur. PY = 187,5*2 = 375 * Le salaire nominal. (w/P)*P = 10*2 = 20 * La consommation en volume. C = Y – S = 187,5 – 100 = 87,5 * Quel