Variable quantitative

l’espérance de l’utilité  Le problème est celui de la détermination de la décision optimale parmi des alternatives conduisant à différents gains (ou pertes) aléatoires w͂.  Les variables aléatoires w͂ prennent un nombre fini de valeurs (w1 …. wN) avec des probabilités respectivement égales à (p 1 …. pN)  La variable aléatoire w͂ est interprétée comme la valeur algébrique du gain généré par une loterie L’utilité et les courbes d’indifférence L’utilité espérée se calcule donc de la manière

Appreciation & interest : taux d'intérêt réel = taux d'intéret nominal – inflation en 1896 il tombe très malade et écrit un ouvrage : How to live, etc. devient végétarien, anti-alcool, etc. 1911 : The purchasing power of money : théorie quantitative de la monnaie & théorie des cycles. Un économiste qui a travaillé en macroéconomie, en comptabilité, en théorie monétaire, en microéconomie bancaire, etc. 1997 : un groupe d'économistes a publié l'ensemble des œuvres de Fisher en 14 volumes

La monnaie est-elle neutre ? « Les activités réelles sont influencées par les variables monétaires, d’autre part, les grandeurs monétaires sont dépendantes des grandeurs réelles » explique Jean-François GOUX dans son ouvrage Macroéconomie monétaire et financière. Cet économiste français du XXIème siècle fait ici le constat d’une relation de réciprocité entre sphère monétaire et sphère réelle. La monnaie est un actif parfaitement liquide qui permet de s’acquitter de ses dettes. C’est donc un

particularité qu’ se reproils duisent avec une même régularité, ponctuée par le temps. Toutes ces suites de nombres ont un but : mieux mesurer et donc mieux comprendre les phénomènes sous-jacents qu’ représentent. A…n de comils prendre par une approche quantitative ces phénomènes, les outils de l’ analyse des Séries chronologiques ont été depuis trente années largement développés et considérablement enrichis. Ce cours a pour but d’ en présenter les premiers éléments. Un processus temporel réel ou chronologique

La politique d’open-market 2.       La politique par le taux d’intérêt 3.       La politique de garantie de dette   II.                  Mais la neutralité de la monnaie a durablement disqualifié la politique monétaire   A)     Théorie quantitative de la monnaie A cette vision interventionniste, s’oppose celle des monétaristes. Milton FRIEDMAN est favorable à une politique monétaire faisant évoluer la masse monétaire au même rythme que la production. Il déconseille l’utilisation de l’arme

ont pour objectif d’analyser les relations causales entre le volume (la quantité) de la monnaie en circulation et certaines variables économiques. Elles décrivent le mécanisme de transmission des changements intervenant dans la circulation monétaire aux effets produits sur les variables dites " réelles " (emploi, niveau d’activité) et/ou sur les prix. Théorie quantitative de la monnaie Pendant longtemps, les économistes ont considéré que la monnaie n’a pas d’utilité propre, elle ne procure aucun

La neutralité de la monnaie affirmée Introduction Le retour de l’inflation au début des années 1970 a exhumé une théorie que Keynes avait contribué à discréditer suite à la crise des années 1930 : la théorie quantitative. Avec une inflation à deux chiffres, la monnaie était de nouveau regardée sous l’angle de la quantité. Il reviendra à Milton Friedman et au courant monétariste de réhabiliter cette théorie vieille de plus de deux siècles, une théorie qui met la monnaie en quarantaine de l’économie

entre eux et très homogènes en leur sein, toute la difficulté résidant dans le choix des variables d’intérêt2 entrant dans la construction de ces sous-groupes. Notons que cette technique est à privilégier, surtout lorsque la taille de l’échantillon est petite, mais elle nécessite deux conditions majeurs : - l’objectif de l’étude est bien établi (ici, calcul de la production de riz), - vous disposez de variables d’intérêt chiffrées (proportion de la répartition géographique Nord/Sud) qui sont suffisamment

de la masse monétaire et la hausse des prix. Cette idée fut reprise et formalisée au XXe siècle par Irving Fisher, qui donna sa forme la plus aboutie à la théorie quantitative de la monnaie. Le courant monétariste, animé par des néolibéraux, repose sur une interprétation particulière de l'équation de Fisher. La théorie quantitative de la monnaie L'équation de Fisher pose l'égalité entre la masse monétaire (M) multipliée par sa vitesse de circulation (V) et la masse des paiements correspondant

théorie keynésienne 2.1. La demande de monnaie pour motif de transaction 2.2. La demande de monnaie pour motif de précaution 2.3. La demande de monnaie pour motif de spéculation 3. La demande de monnaie chez les monétaristes 4. La Théorie quantitative de la monnaie (TQM) 5. La demande de monnaie chez las monétaristes : Reformulation de la TQM. Titre 3. La création monétaire et l’offre de monnaie 1. Offre et demande de la monnaie 1.1. Calcul de l’offre de la monnaie 1.2. La demande