Varron

(Minerva, I, xvii) : « Significationes vero adverbiorum enumerare magis Philosophi est, quam Grammatici ; quia Grammatici munus non est, teste Varrone, vocum significationes indagare, sed earum usum » (Il appartient plus au philosophe qu’au grammairien d’énumérer les significations des adverbes ; parce que la fonction du grammairien n’est pas, au témoignage de Varron, de rechercher la signification des mots, mais leur usage). On retrouve la répartition entre grammairiens et philosophes à Port-Royal : la

Gordiani tres, III, 6 ; Ibid., Aurélien, XXXIII, 4. C.1. L., X, 549. Conf. Symmaque, Lettres, VII, 122 (Libycae, pris substantivement). — Dion Cassius, LIII, 27 ; LIV, 26 ; LIX, 7 ; LX, 7 ; Plutarque, Syllla, 5. 11. Pline, XXXVI, 40 (ferae africanae). Varron, Rust., III, 13, 3 ; Res geslae Divi Augusti, 1. c., ; C, I. L., IX, 2350 (bestiae africanne). 12. Caclius, apud Cicéron, Lettres, VIII, 8, 10 ; VIII, 9, 3. Tite-Live, XLIV, 18, Pline l’Ancien, VIII, 64. Pline le Jeune, Lettres, VI, 34. Suétone, Caligula

jusqu’à ce qu’Annibal fût chassé d’Italie [63]. D’un autre côté, le consul Térentius Varron avait fui honteusement jusqu’à Venouse. Cet homme de la plus basse naissance n’avait été élevé au consulat que pour mortifier la noblesse. Mais le Sénat ne voulut pas jouir de ce malheureux triomphe ; il vit combien il était nécessaire qu’il s’attirât dans cette occasion la confiance du peuple : il alla au-devant de Varron et le remercia de ce qu’il n’avait pas désespéré de la République [64]. Ce n’est

intéressé pas. Latifundium : grands domaines. Christianisme adopté comme religion, alors ne portent plus d'intérêts aux sciences puisque déjà suffisamment salvatrice. On trouve les Romains dans les Encyclopédies : rassembler les connaissances. VARRON ( -116 à -27 ) ancien militaire qui a écrit de très nombreux ouvrages. Il lui est demandé par César de constituer les premières Bibliothèques de Rome qui comportent tous les domaines. LUCRECE ( -98 à -55 ) « De natura rereum » ( « De la nature

moteur. Ce premier moteur est ce qui meut et, en même temps, il transcende tous les mouvements. Rome et ses origines Quatre siècles séparent l’épisode troyen de l’épisode romuléen et c’est à partir de 753 avant notre ère, selon la chronologie de Varron, que commença l’histoire même de Rome, devant durer plus d’un millénaire. On parlait et on écrivait à la fois étrusque et latin dans la Rome des Tarquins. La classe conquérante et dominante avait dû continuer à parler étrusque, tandis que la population

Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la citéKernos Revue internationale et pluridisciplinaire de religion grecque antique  20 | 2007 Varia Les fonctions du mythe dans l’organisation spatiale de la cité L’exemple de Tanagra en Béotie Dominique Jaillard Édition électronique URL : http://journals.openedition.org/kernos/177 DOI : 10.4000/kernos.177 ISSN : 2034-7871 Éditeur Centre international d'étude de la religion grecque antique Édition imprimée Date de publication : 1 janvier 2007

plus devautours, c’est lui qui a gagné. Rémus le nargue et Romulus le transperce de son javelot. Ainsi est fondée Rome, dans le sang et le fratricide. Cette fondation dont la date était un peu flottante a été finalement définie en 753 avant JC par Varron. L’archéologie a trouvé les premiers vestiges notables à Rome sur le Palatin et sont datés de 753 avant JC. Toutefois, l’histoire de la fondation de Rome reste un récit légendaire. Chapitre III : La Royauté Les données de la tradition  Sur

aux 2 derniers siècles de la République. Les disparités de nos sources. – pauvreté des sources littéraires. Car parler d'argent, c'est tabou. Chez les phéniciens, il n'y a pas de gêne. - On en parle seulement dans des traités d'agronomie : Caton et Varron parlent d'économies, donnent des instructions pratiques, assez peu d'éléments chiffrés, mais des conseils agricoles. - On en parle aussi dans quelques textes législatifs : les lois des 12 tables, et quelques lois agraires pas toujours appliquées.

rement à leur condition propre, tout en s’astreignant à établir un système de référence à la constitution universelle du monde. Mais notre jugement repose sur des preuves partielles, et peut-être est-il partial. Nous n’avons plus rien d’Ennius, de Varron, de Pacuvius ou d’Accius, tous excellents poètes. Lucrèce est, au suprême niveau un créateur, et Virgile l’est à un très haut niveau. La subtilité délibérée avec laquelle le second s’exprime est pareille à un halo qui voile l’intense et trop grande

utilisés de façon croisée en intégrant un ou plusieurs volumes d'index à un ouvrage thématique. À son origine, le projet encyclopédique est de nature pédagogique, comme le signale l'étymologie du terme. C'était la finalité première des ouvrages de Varron et de Pline, ainsi que de nombre de leurs successeurs. À partir du xviiie siècle, l’encyclopédie se veut d'abord un ouvrage de référence, qui synthétise le savoir existant et informe le lecteur de la façon la plus efficace possible: « au Moyen Age