Vassalité

mort de ceux-ci, le roi est donc le principal bénéficiaire de la richesse de l'Église dont il tire des revenus conséquent et un soutien important lors d'opérations militaires. Les hauts dignitaires ecclésiastiques entre dans la vassalité du roi (rappel du système de vassalité mis en place par Charlemagne, ici appliqué à l'Église) qui leur remet lors de l'investiture la crosse (l.10 « tenant dans sa main droite la crosse ») et un anneau. Otton accorde un nouveau privilège à l'Église qu'il appelle l'Ottonanium

s’armer pour remplir ses obligations. Face à la multiplication des liens vassaliques, les carolingiens dès Charlemagne utilisent la vassalité dans leur relation avec leurs agents locaux, notamment les comtes et les missi dominici, mais aussi les évêques et les abbés. Les carolingiens y voient plusieurs avantages comparé à la fidélité. L'extension de la vassalité leur semble un moyen de contrôler la société bien plus efficacement que la hiérarchie administrative. Les vassaux du roi (vassi regales)

faibles et puissants sont conçus comme fondées sur des liens personnels c’est-à-dire qu’il s’établit peu à peu une contractualisation du lien d’autorité cela signifie que le monde franc, alors que l’Etat disparait, connait une large diffusion de la vassalité. Un homme s’engage à assister son seigneur en toute chose, il y a chez lui une obligation de servir et bientôt ce sera une obligation de servir militairement et donc le profil social de cet homme qui s’engage va s’élever, il est un guerrier, un cavalier

leur seigneur : Hommage mais le rapport entre seigneur et vassaux et la même au siens de l’élite. Charlemagne a aussi des difficultés, il n’est pas que le conquérant comme par exemple son fils Pépin le Bossu, qui essaie de le tuer. Il exige la vassalité pour s’assurer la fidélité de ses proches. Mais l’empire ne résiste que 43 ans. Avec Louis le Pieux, le rapport de fidélité est moins fort qu’au temps de Charlemagne. Ce n’est plus un empire romain mais franc qui reprend le modèle romain qui a beaucoup

des nobles et des vassaux du seigneur on reprendra la même idée avec les « bénéfices vassaliques ». Donc c’est un révélateur de la volonté carolingienne de structurer l’Eglise. On va donc reproduire ce schéma avec l’Armée, donnant naissance à la vassalité et à la seigneurie. Plutôt que de voir des clercs se disputer sur la distribution des prébendes, alors on prend l’habitude de considérer chaque établissement ecclésiastique comme une mainmorte : c’est à dire qu’on va attribuer à chaque personne

par ses fidèles. On passe d'une souveraineté politique et militaire a un contrat. Les seigneur on donc opéré un renversement, de la circulation, de l'autorité et du pouvoir au sein du royaume, et ils l'ont par/ avec le droit, qui est le contrat vassalite . Au X ème siècle a la mort de Charle Legros les deux familles des carolingiens et des robertiens occupent tour a tour le trône. Face a des conflits récurent en 987 Ugues Capès Duc de la famille des Robertiens parvient a se faire élire Roi et fonde

qu’Alexandre, César, Gengis Khan ou Tamerlan. Il eu plusieurs épouses dont la princesse Wencheng, nièce de l’empereur de Chine (dynastie Tang). La république Populaire exagère largement en considèrant ce mariage comme le premier élément de la vassalité du Tibet. En fait, Songtsen Gampo à mené une politique matrimoniale active dont Wenchen ne fut qu’un des éléments. Songtsen Gampo ayant battu les Tang, leur imposa ce mariage. Plus tard, Wenchen est devenu une princesse de légende, responsable de

place les institutions de la monarchie. Féodalité : mot qui apparaît au 17ème avec 2 sens. Sens étroit : désigne les institutions autours de la vassalité et du fief caractérise l'organisation juridique de l'époque féodale (institutions :police religieux) (fief, c'est la terre d'un seigneur) (vassalité fait référence au vassal et au lien de vassalité entre le vassal et le suzerain ex : vicomte, vassal d'un compte vassal d'un duc). Sens large : Ensemble des institutions, des structures et des

du monde européen au Moyen Âge, mais ces histoires ne pouvaient être lu que par les classes privilégiées. À cet égard ces histoires présentaient clairement les mœurs de la société féodale, en particulier les complexités de la fine amor et de la vassalité. De façon similaire, le roman réaliste s’efforce de recréer une version exacte du monde contemporain et des mœurs qui le forme. Dans L’Assomoir, Zola reflète les difficultés d’une vie appauvrie à Paris. Dans Madame Bovary, Flaubert reflète une société

un monastère et laisse la place à son frère Pépin qui fait un coup d’Etat et se fait élire roi après avoir tondu et renvoyé Childéric dans son couvent. II. Les premières manifestations de l’immunité et de la vassalité Ce climat de guerre civile a engendré l’immunité et la vassalité car les rois et les maires du palais essayaient de s’assurer des soutiens. Le roi va accepter que ses agents n’exercent plus son pouvoir dans certaines portions de son territoire, qui seront alors régies par des