Véda

du soleil et de la déesse des nuages Saranyu, les Ashvins épousèrent tous deux des filles de la lumière. Chaque matin, ils traçaient un chemin dans les nuages pour la déesse de l'aurore Ushas et répandaient la rosée avec leurs fouets. Dans le Rig-Veda, recueil d'hymnes sacrés de l'hindouisme, les Ashvins interviennent auprès des dieux en faveur des hommes. Ils empêchent les Risi, ou prophètes, de se noyer dans l'océan de l'ignorance. Médecins des dieux, ce sont les amis des malheureux. Ils guérissent

Envoyé par Myriem. POÉTIQUE Le discours sur la littérature naît en même temps que la littérature même; on en trouvera les premiers échantillons dans tel fragment des Veda ou chez Homère. Ce fait ne saurait provenir d’un hasard: bien qu’il soit difficile de se mettre d’accord sur l’exacte identité de l’objet «littérature», il est certain que ce nom, ou l’un de ses équivalents, a toujours été employé pour désigner une parole qui doit susciter le plaisir ou l’intérêt de ses auditeurs

bouddhiste et hindouiste. II. Deux religions pour un Empire. A- L’hindouisme. L'hindouisme1 est une série de pratiques qui ont une origine datant d'entre 2ème et le 1er millénaire avant JC. Ils existent trois principaux textes sacrés : Les Veda : collection très ancienne de textes sacrés qui sont essentiellement des chants rituels et des récitations pour les prières. Les textes mythologiques dans lesquels se distinguent Râmâyana et Mahâbhârata.2 Textes d'origines différentes et de contenus

expliquée par le retour des croisés venus du Moyen-Orient et tout simplement du brassage entre les peuples. Cette thèse appuie son argumentaire sur le fait qu’entre 2000 et 1000 avant Jésus-Christ, il existait déjà dans la littérature sanskrite des Véda qui contenaient des allusions aux contes et aux fables. Pour eux le caractère didactique des contes proviendrait du Bouddhisme, religion de cette région d’où sont venus les contes. Malheureusement cette piste est fragile. Elle manque de persuasion

d’un tronc commun. La philologie comparative propose une explication de type historique aux relations entre les langues indo-européennes : les migrations des peuples à partir d’un foyer initial. De l’indo-européen naissent les Indo-Européens. Les Veda (textes antiques sacrés de l’Inde) semblent pour les Européens une voie royale d’accès aux origines des leur culture. Eugène Burnouf (on s’en fout de son nom !) incite vivement son élève Max Müller à entreprendre leur traduction. La Compagnie des Indes

Battambang qui dit que le buffle mangera l’herbe mais qu’à son tour l’herbe mangera le buffle lorsque l’heure sonnera 81 … Est-ce dès lors tout à fait un hasard si, au terme du roman, la femme-buffle prend une dimension mythologique ? Dans le Rig Veda, le buffle, c’est la monture de Yama, le dieu de la mort, gardien infernal associé, comme il se doit, à toute une série de figures solaires. Fils de Surya, l’astre du jour, il a pour frère Shani, lequel correspond à la planète que les Romains identifiaient

“la gestión participativa del agua subterránea en México: hacia un cambio paradigma” in G&DR (Revista Brasileira de Gestão e Desenvolvimiento regional) Taubaté, SP, Brasil. vol.4, n.2, 2008, p 117-153. 61 Alejandro Burgueño Sánchez “Las zonas de veda como forma de prevenir la sobreexplotación de las aguas nacionales” Reflexiones para mejorar el marco jurídico de la administración del agua: IV Coloquio jurídico internacional del agua, CNA, México, octubre 2012, p 379-387. 62 López Dania, Marañón

la vie, de l’énergie cosmique et biologique (fait circulter sève et sang, ouvre les nuages…). Tout ce qu’il fait déborde de force et de jactance. Chef des Maruts, divinités mineures « nés du rire de l’éclair » qui possèdent eux aussi la foudre (Rig Veda, I, 23, 12) et sont invoqués à de multiples reprises pour qu’elles ne jettent pas leurs projectiles sur les hommes et le bétail. Les fécondateurs et le symbole du taureau. Spécialisation génésico-taurine (fécondité) de la divinité de l’atmosphère

l’appelle ainsi parce qu’elle contient 64 chapitres. Suivant d’autres, l’auteur de cette partie étant un personnage nommé Panchala, et celui qui récitait la partie des Rig Veda dite Dashatapa, qui contient 64 versets, se nommait aussi Panchala, le nom de “64” a été donné à cette partie de l’ouvrage en l’honneur des Iôg Veda. D’un autre côté, les disciples de Babhravya disent que cette partie renferme 8 sujets, savoir : l’embrassement, le baiser, l’égratignure avec les ongles ou les doigts, la

imposer une certaine forme d'hégémonie intellectuelle. En d'autres termes, l'«indomanie» va laisser la place à «l'Inde des savants»31. 30 31 A. Durand, 1859-1860; A.-L. Loiseleur-Deslongchamps, Lois de Manou, Paris, 1830; A. Langlois, Rig-Veda, 2e éd., 2 vol., Paris, Maisonneuve et Cie, 1872; E. Burnouf, La Bhagavad-Gita, Paris, 1867; E. Burnouf, Bhâgavata-Purâna, 5 vol., Paris, 1840-1885; L'abbé Migne, Les Livres sacrés de toutes les religions, sauf la bible, traduits par M.M. Pauthier