Véda

Hippocrate de Kos (460-377 av J-C) avait l'adage suivant: "Que votre nourriture soit votre médicament et que votre médicament soit votre nourriture". A la même époque à peu près, vivait, en Inde, un médecin dont les paroles ont été confiées à l'Ayur Veda et qui avaient la même teneur: "Si votre nourriture n'est pas bonne, votre médicament reste sans effet. Si votre nourriture est bonne, vous n'avez pas besoin d'un médicament". Ces connaissances de l'alimentation se sont perdues en grande partie, mais

qu’on l’appelle ainsi parce qu’elle contient 64 chapitres. Suivant d’autres, l’auteur de cette partie étant un personnage nommé Panchala, et celui qui récitait la partie des Rig Veda dite Dashatapa, qui contient 64 versets, se nommait aussi Panchala, le nom de “64” a été donné à cette partie de l’ouvrage en l’honneur des Iôg Veda. D’un autre côté, les disciples de Babhravya disent que cette partie renferme 8 sujets, savoir : l’embrassement, le baiser, l’égratignure avec les ongles ou les doigts, la morsure

mode de règlement des conflits est la conciliation afin de trouver un consensus plutôt que le procès (négociation, discussion = palabre, ...). * Les droits fondés sur la religion. > Le droit Hindou, fondé sur une révélation que l'on appelle Véda. Il distingue différentes règles en fontion des castes (aujourd'hui il n'y a officiellement plus de castes en Inde). > Le droit Musulman, fondé sur le Coran et la Sunna (= tradition orale) ainsi que sur des règles de droit profanes (= droit coutumier)

pouvait qu'entraîner un échec. Le symbole de la voûte étoilée qui est utilisé dans nos loges est infiniment plus adapté à l'évocation du Grand Architecte de l’Univers. Le volume de la loi sacrée peut aussi être l'un des volumes suivants : les Veda, hindouiste ; le Tripitaka, bouddhiste ; le Coran, musulman ; le Tao të king, taoïste ; les Quartes livres de Confucius ; le Zend Avesta du Zoroastrisme. Parmi ces six ouvrages trois ne revendiquent pas une origine divine : le Tripikata , les Tao të

d’une seule force cosmique créatrice, Brahma. En voici quelques uns ! Brahma : il est le créateur de l'univers. On l'identifie grâce à ses quatre têtes, tournées vers les quatre horizons, et à ses attributs : le sceptre, le rosaire, et le livre du Veda ; Vishnu : Vishnu est un dieu suprême, protecteur de l'Univers. Il incarne à la fois la bonté, la compassion et la fécondité. Vishnu est souvent représenté sur une de ses montures, le serpent ou l’oiseau, et flottant sur l'océan chaotique. Vishnu

Rastlantılar İhsan’a fena bir oyun oynar. Hava değişimi için Ankara’ya gönderilir. Orada İhsan’ın isteğine aykırı olarak, bir amca kızını onunla evlendirmeye kalkarlar. İhsan bunu kabul etmez ama dönüşte trenn binerken amcasının kızına, onu öperek veda eder. İşte kötü rastlantı burada kendini gösterir. Ayşe bu sahneyi görmüştür. İzmir’in kızı, o günden sonra İzmir’den başka hiç bir şeyi düşünmez olur. İhsan’da yırtıcı bir savaş başlamıştır. Dışından düşmanla içinden kendi kendisiyle savaşmaktadır

le lieu de révélation de ce qui est, au-delà du commun des mortels où se meut la communication. Un lettré grec de l’antiquité, verrait dans le langage une vocation qui est celle de la pensée. Un pandit indien qui transmet à son fils la parole des Veda voit dans le langage le lieu secret de la Manifestation de l'Absolu. La communication est-elle vraiment la vocation la plus élevée du langage ? A quoi sert le langage ? Un langage pour communiquer En quel sens le langage est il un outil de

nous montre que dans le passé, dans les traditions les plus anciennes, l’homme ne vivait pas le rapport à la parole sur un mode seulement utilitaire. Aux sources de la poésie grecque, aux sources de la tradition indienne, jusque dans l’antique Rig-Veda,« les mots possédaient non seulement une vie propre, une vie intense et bien réelle, mais celui qui les prononçait en était plus conscient que nous ne saurions l’être nous-mêmes, avec nos intellects mécanisés et sophistiqués. Cela provenait de la nature

– le protecteur de l’Univers et Shiva – le seigneur de la danse cosmique), ils connaissent une multitude d’autres divinités et croient en la réincarnation. Ils connaissent plusieurs textes sacrés : la shrutti ou « audition » que l’on appelle aussi Veda ou « savoir » et la smiriti ou « mémorisation ». Ils prient au temple avec le Brahmane (prêtre). 7. À toi de jouer !  Et oui, les choses sérieuses commencent… Nous n’avons pas lu et analysé ce texte retraçant l’histoire des religions pour

emploie des vedettes du type "[Sujet] dans [Nom du livre sacré]" pour des documents qui étudient un thème dans le livre sacré et/ou contiennent la liste des passages où figure la mention de ce sujet, par ex. : Couleurs dans la Bible Plantes dans le Veda Pour la Bible, si l'étude porte seulement sur un livre ou un ensemble de livres, établir une vedettematière additionnelle au titre du livre étudié, suivi de la subdivision appropriée, choisie dans la liste de subdivisions établie pour les livres