Veille Commerciale Banque

Février 2003 Pour obtenir un exemplaire des publications BRI, veuillez vous adresser à : Secrétariat du Comité de Bâle sur le contrôle bancaire c/o Banque des Règlements Internationaux CH–4002 Bâle, Suisse Mél : publications@bis.org Télécopie : +41 61 280 9100 La présente publication est disponible sur le site Internet BRI (www.bis.org). © Banque des Règlements Internationaux, 2003. Tous droits réservés. De courts extraits peuvent être reproduits ou traduits sous réserve que la source en soit

Fiche signalétique…………………………………………………………...10 1.12. Mission, vision et valeurs……………………………………………...........11 2. Présentation des départements visités de la société……………………………12 2.1. Département Financier………………………………………………………. 12 2.2. Département Commercial ………………………………………………........17 2.3. Département Ressources humaines…………………………………………. .20 2.4. Département Achat et logistique……………………………………………. 22 3. Les travaux effectués et les apports tirés du stage …………………………… 25 3.1. Travaux effectués……………………………………………………

matière des garanties internationales, donc tout d'abord, il y a lieu de différencier entre une garantie et un cautionnement à travers leurs définitions. B.1.1. Le cautionnement Il s'agit de la première forme d'engagement par signature que les banques ont mis en place, afin de remédier aux problèmes causés par les dépôts de fonds (grever la trésorerie du vendeur) qu'exigeaient les acheteurs à leurs fournisseurs étrangers. "Le cautionnement est un contrat par lequel une personne garantit l'exécution

appelle la titrisation qui permet de comprendre pourquoi et comment la contagion s’est opérée. La titrisation consiste à transformer des crédits distribués par une banque en titres de créances (obligations) qu’un investisseur peut acheter et vendre à tout moment. On dit que ces obligations sont adossées à un portefeuille d’actifs. Les banques émettrices des crédits créent des sociétés intermédiaires dans lesquelles ces crédits constituent les actifs et qui émettent en contrepartie des obligations qui

l'entreprise peut mettre en place un système d'information permanent qui ne répond pas à un objectif spécifique et que l'on nomme intelligence économique. Le vocable utilisé pour qualifier les systèmes d'informations est assez varié : veille technologique, veille stratégique, intelligence économique, ... Ces termes recouvrent des notions différentes mais aux limites très subtiles. Par souci de simplicité, nous parlerons d'intelligence économique ! La plupart des PME n'ont pas encore intégré

stabilité des prix. Pour atteindre cet objectif, la banque centrale fixe la valeur de son taux d’intérêt directeur qui est le taux auquel elle prête la monnaie qu’elle émet aux banques commerciales. La décision de taux directeur se transmet à l’économie par l’intermédiaire de plusieurs canaux. Le premier canal de transmission est le canal des taux d’intérêt. Le deuxième canal est le canal du crédit, qui met en jeu le rôle des banques et le fonctionnement concret du marché du crédit bancaire

des coursde change, révélant par là toute l’importance de la sphère financière pour lapromotion des exportations. En effet, l’exportateur a besoin d’un environnement financierfavorable qui lui permet non seulement d’effectuer ses transactions commerciales etfinancières en devises avec toute la souplesse nécessaire mais de se procurerégalement des financements au moindre coût et de pouvoir gérer sa trésorerie en secouvrant contre les fluctuations des cours de change, de taux d’intérêt et de prix

les « réserves » des banques centrales et qui sont conservés par les agents privés. Taux de change : C’est la valeur d’une monnaie exprimée en devises. C’est ce qu’exprime, par exemple, le cours qui rend compte de la valeur de l’euro en dollar ou en toute autre monnaie qui a cours légal. 2) Fonctions du SMI La finalité du SMI est de faciliter les échanges internationaux, d'assurer la croissance des moyens de payement nécessaire au développement des relations commerciales et financières et

leur comportement face à l’innovation. P a r t i e I Présentation d’Attijariwafa bank Attijariwafa bank, nouvel opérateur sur le marché bancaire marocain, né du rapprochement d entre la Banque Commerciale Maroc et Wafabank, se positionne d’ores et déjà au premier rang des banques du Maghreb. Son ambition est d’engager une dynamique nouvelle répondant à un triple défi : Réaliser les meilleures performances professionnelles, accompagner le développement économique du pays et disposer

responsabilité de la politique monétaire confiée aux banques centrales. A. La masse monétaire régulée par la Banque centrale 1) La masse monétaire - Indicateur permettant de mesurer la quantité de monnaie mise en circulation. - Il y a création monétaire lorsqu’on octroie un crédit et destruction lorsqu’on rembourse un crédit. 2) La régulation de la masse monétaire : le rôle de la Banque Centrale. - monopole des émissions de billets de banque, contrôle l’ensemble de l’activité bancaire.