Vendetta

révéré dans sa fonction de père d'adoption. Le dilemme, qui quelques mois plus tôt ne lui en serai en aucun cas paru un, suscitait chez Atim de troublante affres, une sorte de dysfonctionnement mécanique incoercible. Sur un flanc, il y avait la vendetta, les représailles surannées, ne prenant leur entendement que dans l'assouvissement de la vengeance de son grand-père, malgré la criante affliction que cette dernière entraînerait dans l'âme d'Atim. La conscience de son père biologique trouverait

Des sociétés exceptionnelles considère la vengeance comme Vendetta (Albanie, la corse, société méditerranéenne et la SICILE), avec des assassinats en série. La vengeance est imposée : c'est la reprise du sang. Dans la loi initiale, seul les hommes peuvent s'adonner à ce genre de vengeance (pas de loi du talion, ça ne s'arrêtera jamais). Depuis la fin du régime communiste (1992), des familles doivent encore se cacher de peur des Vendettas. La raison d'être d'un système vindicatoire est le retour

faire usage de la violence  E. Confusion vengeance et justice dans Les Choéphores. Oreste, Clytemnestre, les Érinyes croient faire acte de justice, alors que leur acte relève de la vendetta, de la justice familiale, clanique et privée. Mais il est frappant de constater dans ce second volet de la trilogie que la vendetta est admise par la société dans son ensemble, et par les dieux au premier chef : c’est Apollon qui ordonne à Oreste de tuer Clytemnestre. S’il ne le fait pas, il sera soumis à des châtiments

nom, en 1829. Ce fut un échec commercial mais il avait fait le premier pas en le signant. En octobre 1829 Balzac rédigea La Maison du chat qui pelote. Enfin, apparut le premier tome de Scènes de la vie privée avec un ensemble de textes tels que La Vendetta, le texte Gosbeck, Une double famille et Le Bal des Sceaux. En mai 1832, apparut le second tome. De l'ensemble se détachèrent surtout deux romans : Le Colonel Chabert et Le Curé de Tours. Ce furent les deux premiers grands drames de la vie privée

commercial mais il avait fait le premier pas en le signant. Le génie balzacien arriva en octobre 1829 quand Balzac rédigea La Maison du chat qui pelote. Enfin, apparut le premier tome de Scènes de la vie privée avec un ensemble de textes tels que La Vendetta qui raconte l'histoire de Ginevra, jeune fille corse, amoureuse de Luigi Porta dont la famille fut massacrée par le propre père de Ginevra, le texte Gosbeck, Une double famille et Le Bal des Sceaux.       En mai 1832, apparut le second tome. De

qui s'accomplira dans un terrible bain de sang, et qui provoquera la folie du père des victimes. Toutefois, et Colomba est la première à le soutenir, c'est la société corse qui exige cette vengeance. Les Corses sont réputés pour l'ardeur de leur vendetta et l'honneur qu'ils en tirent. Colomba était le dernier membre de la famille della Rebbia lorsque son père est mort : il était de son devoir de venger son père, et dès lors, son caractère se met au service de ce motif. Tout portait donc à croire

romans qu'il avait déjà écrits jusque-là pouvaient se lire comme les chapitres d'une œuvre plus vaste. L’année 1830 marque la première étape de ce long travail : Balzac regroupe alors sous le titre de Scènes de la vie privée six de ses nouvelles (La Vendetta , Gobseck, Le bal de Sceaux, La Maison du chat-qui-pelote, Une double famille et La paix du ménage). Quatre ans plus tard, les Scènes de la vie privée sont complétées par d'autres œuvres, et intégrées à un volume plus vaste, intitulé Études de mœurs

commercial mais il avait fait le premier pas en le signant. Le génie balzacien arriva en octobre 1829 quand Balzac rédigea La Maison du chat qui pelote. Enfin, apparut le premier tome de Scènes de la vie privée avec un ensemble de textes tels que La Vendetta qui raconte l'histoire de Ginevra, jeune fille corse, amoureuse de Luigi Porta dont la famille fut massacrée par le propre père de Ginevra, le texte Gosbeck, Une double famille et Le Bal des Sceaux. En mai 1832, apparut le second tome. De l'ensemble

(Séraphita, 1832), sociales (Le médecin en campagne, 1833), historiques (Les Chouans, 1829), scientifiques (La recherche de l’absolu, 1834) ou philosophiques (La peau du chagrin, 1831). Il se consacre aussi aux Scènes de la vie privée (englobant La Vendetta, Les Dangers de l'inconduite, Le Bal de Sceaux, Gloire et malheur, La Femme vertueuse et La Paix du ménage). En 1842, il a l’idée d’assembler tous ses romans sous le titre de La Comédie Humaine, où il raconte la réalité de la société au début

aspect de sacrilège et de crime absolu. Pourtant, on pourrait très bien comprendre sur un fondement rationnel que le meurtre soit interdit non seulement parce qu’il nuit à la vie en commun mais aussi parce qu’il est capable d’entrer la vengeance et la vendetta, c’est-à-dire de détruire à terme la société. Néanmoins, ne pas faire référence à cette simple solution humaine permet de garantir l’immutabilité de l’interdit et de ne pas le soumettre à la contingence des aléas de la volonté humaine. L’aspect sacré