Vengeance Morale

------------------------------------------------- Edmond Dantès, Le compte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas, 1844 Edmond Dantès  C’est le fils de Louis Dantès et le fiancé de Mercédès, et un jeune marin plein d'avenir. Il ne reprendra son nom que pour achever sa vengeance et justifier ses actes. Mais après avoir été faussement accusé d’être un espion bonapartiste, il est envoyé chez le procureur du Roi, M. de Villefort. Il avoue avoir débarqué à l’île d’Elbe et reçu une lettre d’un aide-de-camp de l’ex-empereur

complot contre l’empereur afin de l’assassiner... Acte II[modifier] Mais Auguste, lassé d’être le maître du monde romain, demande conseil à Maxime et Cinna, qu’il adore : doit-il renoncer à l’Empire ? Cinna, redoutant de ne pouvoir assouvir la vengeance d’Émilie et donc de renoncer à l’épouser, le persuade de rester sur le trône. L’empereur remercie les deux hommes de leurs conseils en leur offrant des postes importants, des terres et donne Émilie en mariage à Cinna. Acte III[modifier] Or Maxime

La vengeance, selon le dictionnaire, c’est le fait de se venger. C’est-à-dire, de faire du mal à quelqu’un afin de le punir d’une injure ou d’un dommage. La vengeance représente une sorte d’obligation pour l’individu qui a subit des torts. Elle correspond à une attitude normale, qui existe depuis toujours. La victime ne doit pas se contenter de subir. Elle doit agir, châtier le responsable. Dans la société, actuelle ou à l’époque, la vengeance correspond à une forme de justice. Se venger,

La violence s'apparentant à une vengeance ne doit pas etre utilisée pour rémédier à une injustice. Une telle violence permet alors un soulagement provisoire face ç une injustice subie mais elle est incapable de supprimer ce sentiment d'injustice à défaut de celui de culpabilité car la violence engendre la violence qui n'est en d'autre terme la réponse par une injustice à une injustice. La violence fait parfois l'objet d'un usage pénal. Elle est alors modérée et réfléchie. La loi du Talion appliquée

monte-cristo. Plusieurs mois après, Fernand s'est suicidé, Mr de Villefort est devenu fou et Danglars est ruiné, le comte s'en va alors en quête du bonheur avec Haydée, sa promise. Themes: La thèmatique principale de l'oeuvre est la vengeance implacable

qualifiée de « crime capital ». La sentence est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès. En l'absence d'un procès, ou dans les cas où celui-ci n'est pas réalisé par une institution reconnue, on parle d'exécution sommaire, d'acte de vengeance ou de justice privée. La peine de mort est diversement considérée selon les époques et les régions géographiques. À l'origine peine très fortement développée à travers le monde, elle a été déconsidérée à l'époque des Lumières. Fortement en recul

I La vengeance relève d'une passion humaine: -définitions de la vengeance:1/ sens étymologique de la passion : souffrance 2/vengeance : désir de se faire justice soi-même pour réparer ce qui est vécu comme une injustice(affront, injustice..) ( à distinguer de la justice qui répare dans le cadre de la Loi et qui met un terme au préjudice subi) - Exemples: 1/Le Comte de Monte-Cristo/Dumas : archétype du traitement de ce thème. Le jeune Dantès ,

avons tous déjà ressenti un désir de vengeance, un désir de faire subir à quelqu'un une humiliation, une blessure en compensation d’un torts qu’il nous aurait causé afin d’être dédommagé. En effet la vengeance se définie comme « l’action par laquelle une personne offensée, outragée ou lésée inflige en retour et par ressentiment un mal à l’offenseur afin de le punir. » Pour autant la vengeance est-elle un droit ? Avons-nous le droit de céder à nos désirs de vengeance ? Le droit désigne une conformité

Après avoir lu Sans Sang d’Alessandro Baricco, j’ai pu analyser plus en profondeur le sujet principal de la vengeance. Après réflexions, je me suis demandé comment certains hommes abusaient de la violence pour se venger. D’après-moi, toutes sortes de vengeance est condamnable. Tout d’abord car elle regorge de haine mais aussi de beaucoup de rancune et de mépris. Il ne faut pas oublier que l’éducation prend une place importante dans une situation ou l’homme va penser à se venger. Un enfant d’âge

est le maitre mot. On en déduit donc qu’il ne s’agit pas de justice. L’ordre vindicatoire fait naitre un vengeur ou un justicier et non un juge. Ainsi Electre questionne : « Est-­‐ce un juge, un justicier que tu veux dire ? ». La victime se fait vengeance elle même son pouvoir de jugement est absolu et illégitime. A fortiori, la haine qu’elle éprouve entraine une sentence démesurée. La vendetta est donc synonyme de tyrannie. La seconde assertion de Pascal et donc aussi vérifiée. Lorsque le