Venin

est dans un contexte d'agressivité à l'endroit de la femme. Il peut paradoxalement se comprendre comme l'expression d'un désir de fusion avec la femme, comme la volonté d'en faire le double du poète mélancolique; pour qu'elle partage avec lui son « venin », c’est à dire son spleen.) II- L'éloge de la femme et l'autoportrait du poète • L'éloge de la femme: le blason de la femme-paysage - Strophes 1 à 4: relevez les comparaisons et les métaphores qui associent la femme à un paysage. Quels sont

sans bruit, Pour châtier ta chair joyeuse, Pour meurtrir ton sein pardonné, Et faire à ton flanc étonné Une blessure large et creuse, Et, vertigineuse douceur ! A travers ces lèvres nouvelles, Plus éclatantes et plus belles, T'infuser mon venin, ma sœur ! Charles BAUDELAIRE, Les Fleurs du mal (1857) Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne... Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne, O vase de tristesse, ô grande taciturne, Et t'aime d'autant plus, belle, que tu me fuis, Et que

boire la ciguë amère et dit « Nous devons un coq à Asclèpios ». Dans les représentations du dieu de la médecine, l’oiseau de lumière et de vie est assez souvent opposé au serpent silencieux, sournois et porteur d’un mortel venin. Le serpent rappelle la maladie et la mort et le coq la guérison qui conserve la vie. On me laissait jouer dehors avec les poules « Il n’y a pas de serpent avec les poules !» disait ma grand-mère.Mercure, symbole de l’intelligence et de la

que Marianne sera sienne ou à personne d’autre. Arrive la première confrontation entre Marianne et Octave. Ce dernier cherche à la faire culpabiliser vis-à-vis de Coelio. Il compare l’amour que ressent son ami à une maladie dont Marianne serait le venin. Cette dernière semble touchée mais n’en démord pas : elle aime son mari Claudio. Scène II De retour chez lui, Coelio retrouve Hermia, sa mère, et Malvolio son intendant. Hermia qui trouve son fils bien soucieux se plaint d’un manque de confidence

évidentes : Ainsi je voudrais, une nuit, (…)
Comme un lâche, ramper sans bruit,

(…) Et faire à ton flanc étonné
Une blessure large et creuse,

Et, vertigineuse douceur !
À travers ces lèvres nouvelles,
Plus éclatantes et plus belles,
T’infuser mon venin, ma sœur ! En comparaison, on s'étonnerait presque de la censure concernant Lesbos[->44], un hymne sans fard à la poétesse Sappho[->45] mais sans provocation non plus. L'homosexualité[->46] n'est pas un délit sous le Second Empire mais son apologie

multiples régénérations de la bête, Héraclès appela Lolaos, fils d'Iphiclès, à la rescousse. Puis ils réussirent à vaincre la tête immortelle, en la tranchant et l’enterrant, encore sifflante, sous un rocher. Héraclès dépeça l'animal et en recueillit le venin pour en imprégner ses flèches. Centaures Dans la mythologie grecque, un centaure est une créature mi-homme, mi-cheval. Les centaures étaient décrits comme ayant la partie supérieure du corps humain, et la partie inférieure équine. Ils vivaient

' vendre sa force de travail aux classes dominantes ', aujourd'hui le constat n'est il pas toujours le même ? Le système capitaliste érigé par les uns en système inébranlable ne cesse de répandre, par les pseudos-médias sous l'égide étatique, son venin qui hélas pour l'Homme est mortifère. Selon les dires de nos politiciens corrompus ( et le terme ne peut en aucun cas être remis en cause par un tiers tant les affaires au sens affairistes du terme ne cessent de se multiplier) qui nous gouvernent

légèrement : la fée du robinet fait cracher des perles à la méchante fille et des serpents à la bonne. Mais ces dons sont appréciés différemment : la cracheuse de serpents rencontre l'amour en un chercheur de l'Institut Pasteur qui travaille sur les venins, et la cracheuse de perle RÉSUMÉ DU LIVRE Il était une fois une veuve qui avait deux filles. L'aînée lui ressemblait beaucoup : elle était vilaine, désagréable et orgueilleuse. La cadette, au contraire, était douce, patiente, honnête et ne se

avec raison que je l’ai cru lorsqu’il m’a souligné d’un sourire rassurant et d’un rire amusant : toutes ces nouvelles sont des histoires réelles. C’est dire ainsi qu’on ne prépare pas la vérité, on la crache de la même façon qu’une vipère crache son venin. Et quand elle sort, elle est aussi cru que les premiers lueurs qui enfantent le soleil. Je dois aussi avertir le lecteur des multiples éventuelles incohérences pourront peut être faire l’objet des critiques. Mais rien n’empêchera à ce pigeon

dans la société à cette période entraîne une propagation des valeurs bourgeoises de l’ascétisme, de la frugalité, de la santé et de l’énergie contre la décadence, le luxe et la mollesse attribués à l’aristocratie. L’eau n’apparaît plus comme un « venin insaisissable, envahissant et contagieux », c’est-à-dire comme un risque, mais au contraire comme un bienfait, un facteur d’énergie, de vigueur, de durcissement et de santé. Ainsi, la propreté de la peau devient un gage de moralité, de vertu mais aussi