Vent d'est

guerrier que le combat de l'homme contre la nature. Le combat de l'homme contre l'homme n'est qu'une gymnastique d'insectes et aucun dieu ne s'en préoccupe. 6. Ashini, moi l'Indien, le roc, le granit tenace, la haute pierre des sommets, mangée par le vent, polie par les pluies froides... C- Identifie les procédés d’écriture présents dans ces phrases. 1. Le soleil achevait sa course dans le ciel. 2. La mer, comme une ennemie implacable, cherchait à les engloutir. 3. Le soir venu, les enfants

Vénus trouve là une explication : c'est uniquement par le regard que son esprit peut s'échapper du corps qui le retient... À sa droite, Zéphyr lui souffle dans la chevelure et pousse Vénus sur le rivage grâce au vent sortant de sa bouche. Cupidon porte Zéphyr, le dieu du Vent. Le récit mythologique dit que Cupidon tombe amoureux de Vénus, la déesse de l'Amour. Le sens du tableau apparaît un peu plus clairement. Le peintre symbolise la vision idyllique d’un paradis perdu. Il montre la crise

accueille Vénus sur le rivage avec une tenu pourpre. Elle tient dans ses mains un grand habit ouvert afin de couvrir Vénus, encore dénudée. Zéphyr, Dieu du vent, et Chloris sa compagne. C’est eux qui ont amené, poussé, Vénus jusqu’au rivage grâce à leur souffle. La légèreté des personnages est visible, ils flottent. Les cheveux au vent, les fleurs volantes, tout accentue cette impression de légèreté. Les fleurs qui volent à la gauche de la déesse sont des myrtes. Elles fleurissent en juin-

sa parure de fiancée : ce squelette enfantin fait frémir, car ses mains fluettes et livides portent l'anneau des épousées, et sa tête tombe en poussière au milieu des fleurs d'oranger. Comme, à l'approche d'une tempête, il passe dans les forêts un vent terrible qui fait frissonner tous les arbres, à quoi succède un profond silence; ainsi Napoléon avait tout ébranlé en passant sur le monde; les rois avaient senti vaciller leur couronne, et, portant leur main à leur tête, ils n'y avaient trouvé que

le front baissé, l’oeil dans l’herbe profonde,L’étude d’un atome et l’étude du monde.Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu,Arbres, vous m’avez vu fuir l’homme et chercher Dieu!Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches,Nids dont le vent au loin sème les plumes blanches,Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux,Vous savez que je suis calme et pur comme vous.Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s’élance,Et je suis plein d’oubli comme vous de silence!La haine sur mon

EOLIENNE : Une éolienne est un système technique destiné «du point de vue utilisateur » à transformer l'énergie apportée par le vent en énergie électrique. MICRO ORDINATEUR Un micro-ordinateur est un système technique destiné «du point de vue utilisateur » à traiter des données suivant un programme mémorisé dans la machine. Ordres Consignes utilisateurs Vitesse vent Données d’entrée Programme à réaliser Déchets Bruit Bruit B. Compléter le FAST partiel d’une brosse à dents électrique

suis l’algue des flots sans nombre »2, dit-il) avait un sens, que toute cette agitation du monde avait un but. Voilà le mot final de cette allégorie de la mer du monde : La mer c’est le Seigneur que misère ou bonheur Tout destin montre et nomme Le vent c’est le Seigneur, l’Astre c’est le Seigneur Le navire, c’est l’homme.3 Dieu est ce qui porte, pousse et guide l’homme. L’image parfois s’élargit, elle s’agrandit aux dimensions du cosmos. L’esquif humain devient le vaisseau du monde errant dans

ressources en combustibles fossiles viendront à manquer. La question des ressources énergétiques est donc cruciale pour humanité. Depuis longtemps, les mouvements de l’air et de l’eau constituent des sources d’énergie utilisables par Lhomme. L’énergie du vent, ou énergie éolienne, fait tourner les pales des éoliennes ; l’énergie liée à ce mouvement est convertie en électricité. Au niveau des barrages hydroélectriques, l’énergie liée aux déplacements de l’eau, ou énergie hydraulique, est convertie en électricité

moment-là, notamment au niveau des bruits et des sonorités. On voit, bien, dès le début que l’auteur joue beaucoup avec les différences de bruits présentes sur place, on passe du calme plat au terrible cri du vent « Dans le silence lourd d’anxiété, au-dessus de la ville devenue noire, le vent hurla », puis, par la suite de la pluie et de tous les objets présents sur les maisons tels que les volets ou encore les tuiles qui claquent contre les murs ou s’échappent de leur emplacements. Avec la description

matin comme tous les autres c’était le premier jour de l’automne, les oiseaux chantés et le ciel était bleu comme l’océan, personne ne pouvait imaginer qu’une horreur allée arriver. En quelque minute le ciel est devenu noir, plus noir que la nuit, le vent est monté d’une tel force qu’il arraché tout ce qu’il trouvé sur son passage, puis au loin une énorme vague est arrivé de la mer, c’était un tsunami. Ce tsunami avait rayé de la carte, la moitié du monde. Ce qui ont survécu vivait dans l’obscurité