Verité Et Superstition

diffusion des connaissances et au progrès de la science et de la raison, ce qui était contraire aux principes des  philosophes. Pourquoi s'oppose-t-on à la diffusion des connaissances ? On s'y oppose, parce qu'on est si convaincu de détenir la vérité que n'importe qu'elle autre apparition concernant la réalité nous parait inacceptable. Il a même eu un Pape qui s’est auto défini « infaillible ». Quand est-ce que l'obscurantisme religieux est apparut ? On ne sait pas exactement quand est-ce

Du mot raison, dérivent en effet « raisonné », « rationnel » et « raisonnable ». Ces 3 adjectifs permettent de caractériser le philosophe dans tous ses comportements. Ainsi il est un homme qui réfléchit et qui n'accepte pour vrai que ce dont la vérité a été prouvée par observation scientifique des faits, ou par un raisonnement logique. Pangloss représente une véritable caricature du philosophe, aux yeux de Voltaire. Un homme de progrès Homme ouvert et dynamique, le philosophe du XVIIIe siècle

(génération de 1660-1680) PRINCIPES imitation des anciens sans renoncer pour autant à faire oeuvre personelle; goût de l'analyse l'écrivain fait oeuvre de moraliste ; dépassement de l'individu pour atteindre un homme éternel, une vérité universelle, un beau idéa; désir de plaire ESTHETIQUE séparation des genres (comédie, tragédie) respect des règles (unités au théatre vraisemblance, bienséance) équilibre et mesure simplicité et naturel dans le style

(seconde moitié du XVIIè siècle)Contexte historique :-Règne de Louis XIV-Renforcement de la monarchie absolue-Construction de VersaillesGrands principes :-Imitation des anciens sans renoncer à faire œuvre personnelle.-Recherche d'un Beau idéal , d'une vérité universelle , d'un Homme éternel , de la mesure et de l'équilibre grâce à la raison et à un patient travail sur la langue.-Recherche d'une conciliation entre « instruire » et « plaire » , par un écrivains moralistesFormes et genres :-Théâtre : séparation

de savoir ? Est-ce l’incapacité à comprendre rationnellement le monde qui engendre les croyances ? Si tel est le cas, plus l’homme exercerait sa raison, moins il serait porté à croire. Ou bien les croyances font-elle apparaître un autre domaine de vérité et de légitimité que celui de la raison ? La croyance alors ne serait plus l’indice d’une insuffisance de la pensée mais au contraire l’expression de sa force, sa capacité à se projeter au-delà du réel.  THESE: L’homme est porté à imaginer ce

autrui, celui-là marche dans les ténèbres. Celui qui est l'esclave de superstitions ou qui apparaît lié par des préjugés, celui-là est privé de lumière. Celui qui ne se souciant pas du droit ni de l'équité, ne reconnaît pour loi suprême que les contraintes de son égoïsme, celui-là est une créature de la nuit. L'homme digne et noble, en revanche, est un chercheur de lumière, un pionnier de la lumière, toujours assoiffé de vérité; il vit sa vie non pas en individu isolé, mais conscient des liens

que des relations et non pas du mérite de la personne, la peinture caricaturale de la petite société de province, critique des corporations (militaires chap VII, fonctionnaires chap IX, médecins chap XIX) et de certains comportements (pruderie, superstition, principes éducatifs inadaptés) Personnages (avec rôle et caractéristiques) : l’Ingénu : surnommé ainsi du fait de sa naïveté vis-à-vis du monde occidental, il est le neveu des Kerkabons venant d’Angleterre. Il s’instruit vite mais ne se laisse

Critique de l’homme qui n’a pas pris en compte le statut de la femme « femme » « réveille-toi », « reconnais » « le tocsin de la raison » « dans tout l’univers » « ne plus » « préjugés, fanatisme, superstition, mensonge » « sottise, usurpation » « flambeau de la vérité » « dissipé » Antithèse entre « flambeau »/ « tous les nuages » « l’homme esclave » « brisé ses fers » « forces » « devenu libre » « injuste » Apostrophe Impératifs Métaphore sonore CCL Négation

l’homme du dixseptième siècle, « …au lieu de perdre son temps à chercher les ‘causes’ il est suffisant de s’en remettre à la sagesse de Dieu » (Clair 89). Les Philosophes du dix-huitième siècle tâchaient d’établir de nouvelles définitions de la vérité qui se basaient non sur la foi en Dieu mais sur les sciences et le sens commun et ont entrepris de comprendre la nature d’un point de vue scientifique, s’ecartant de toute explication surnaturelle de l’homme et du monde. Bien que tous les Philosophes

présente toujours leur impertinente figure » II) Le Pouvoir 1) La Monarchie : La critique s'organise d'abord autour de l'absolutisme de droit divin : vieillesse d'un monarque usé, idolâtrie des courtisans, arbitraire royal fondé sur des superstitions. Cette organisation consiste à réunir les 3 pouvoirs (législatif, judiciaire et exécutif) sur la tête d'une seule et même personne: le Roi. En résumé, dans ce texte, Montesquieu laisse entendre la vulnérabilité des Français face à leur souverain