Verlaine A La Promenade

S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. ½¼ ½ ¾¼ J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs

SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. ½¼ ½ ¾¼ J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec

Ronsard ( mon poème préfère )..........p12 « Heureux qui comme Ulysse.. », de Joachim Du Bellay.................................p14 Le Front de Maurice Scève ...............................................................................p16 Consolation à M. Du Périer, Malherbe..............................................................p18 Le Lac , Alphonse de Lamartine......................................................................p20 Demain, dès l'aube ,Victor Hugo .......................

de René Char Texte présenté, établi et annoté par Louis Forestier Professeur à l'Université de Paris IV SECONDE ÉDITION REVUE nrf GALLIMARD © Éditions Gallimard, 1965, pour la préface, 1973, pour l'établissement du texte et les commentaires, 1984, pour la seconde édition revue. PRÉFACE Avant Rapprocher Rimbaud, nous désirons indl~ quer que de toutes les dénominations qui ont eu cours jusqu'à ce jour à son sujet, nous n'en retiendrons, ni n'en rejetterons aucune (R. le Voyant, R.

 CLASSIQUE, adjectif et substantif I. Emploi adjectif A. ESTHÉTIQUE 1. LITTÉRATURE a) [Appliqué à un écrivain de l'antiquité gréco-latine, ou à sa langue] Vx. Considéré comme un excellent auteur par ses contemporains et, postérieurement, par les admirateurs de l'antiquité : 1. Il sera, je crois, utile, pour que mes romans ne me tournent pas la tête, d'y mêler la lecture de l'antiquité classique, et des philosophes surtout. Peut-être alors dominerai-je assez mes romans pour qu'ils ne m'entraînent

vouldra veoir tout ce que peult Nature, Contempler vienne une qui en tous lieux Est ung soleil, ung soleil à mes yeulx, Voire aux ruraulx qui de vertu n’ont cure. En vienne tost, car mort prent (tant est dure) Premier les bons, laissant les vicieux, Puis ceste cy s’en va du reng des dieux: Chose mortelle et belle bien peu dure S’il vient à temps, verra toute beauté, Toute vertu et meurs de royalté Joinctz en ung corps par merveilles secret:

2011, SÉRIES S, ES Texte 1 Le narrateur rencontre Carmen pour la première fois et en fait le portrait à une de ses connaissances. J’étais donc le nez sur ma chaîne, quand j’entends des bourgeois qui disaient : « Voilà la gitanilla ! » Je levai les yeux, et je la vis. C’était un vendredi, et je ne l’oublierai jamais. Je vis cette Carmen que vous connaissez, chez qui je vous ai rencontré il y a quelques mois. Elle avait un jupon rouge fort court qui laissait voir des bas de soie blancs avec plus d’un

restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project Gutenberg License included with this eBook or online at www.gutenberg.net Title: Poésies complètes Author: Arthur Rimbaud Commentator: Paul Verlaine Release Date: July 3, 2009 [EBook #29302] [Last updated: December 16, 2011] Language: French *** START OF COMPLÈTES *** THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK POÉSIES Produced by Laurent Vogel, Robert Connal and the Online Distributed

Etat des lieux. Le théâtre en 1890. Quoi de neuf sur scène? Au seuil des débuts théâtraux de Rostand, il y a cette époque qu’on a appelée Belle. La Belle Epoque qui, si elle n’est pas plus belle que les autres, est d’une vitalité à nulle autre pareille. Les expositions universelles se succèdent en France entre 1867 et 1900, témoignages concrets et grandement visibles du développement des sciences et des techniques. Manière aussi de montrer au monde que la France relevait le front après

Bellay, Jacques Pelletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle..... Ils prônent l'usage du français en poésie, contre celui du latin. Ils constatent cependant que la langue française est pauvre et non adaptée à l’expression poétique et décident de l’enrichir par la création de néologismes issus du latin, du grec et des langues régionales afin de la rendre moins « barbare et vulgaire. Ils défendent en même temps l’imitation des auteurs gréco-latins dans le but