Verlaine Ariettes Oubliees

Commentaire Il pleure dans mon cœur Paul VERLAINE   (1844-1896) Il pleure dans mon coeur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon coeur ? Ô bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits !  Pour un coeur qui s'ennuie, Ô le chant de la pluie ! Il pleure sans raison Dans ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine

Paul VERLAINE SA VIE : - Paul VERLAINE est un poète et auteur du XIXe siècle. Né le 30 Mars 1844 à Metz et mort le 8 janvier 1896 à Paris. - Il a fait toutes ses études à Paris, en temps qu'interne à l'institution Landry, puis au lycée Bonaparte. A 18 ans il est bachelier des lettre. Il s'inscrit en droit mais fréquente surtout les cafés et les poètes les plus célèbres de son époque qui vont l'infulencer à écrire ses propres poèmes. Il renonce rapidement à ses études pour travailler d'abord

ses pensées sont composées, pussent être manifestées aux autres.» Vous vous interrogerez sur la pertinence de ce propos à la lumière de votre lecture personnelle de Phèdre de Platon, Les Fausses confidences de Marivaux et Romances sans paroles de Verlaine. Plan: 1. Parler la pensée 2. Cacher la pensée 3. Penser la parole Attribuer à la parole la fonction essentielle d'exprimer la pensée est une théorie du langage, qui a dominé la pensée philosophique fort longtemps. Fidèle à cette tradition

Verlaine, le Romantisme et le Parnasse Le Romantisme : Mouvement littéraire et culturel européen dominant la première moitié du XIXe siècle, le romantisme exalte la puissance de l'imagination et l'expression de la sensibilité. Fortement marqué par la Révolution, il exprime le lien entre violence historique et destinée individuelle. En France, il réunit des auteurs comme Victor Hugo (1802-1885), Alfred de Musset (1810-1857) et Alphonse de Lamartine (1790-1869). Il né en Angleterre au XVIIème

Analyse+ biographie Melancolie : spleen, tristesse, depression, déprime, grisaille, Tristesse Attente de jours meilleurs, espoir, espérance Verlaine, rapport a sa vie, séparation de sa femme, Attendre : compter sur quelqu’un, sur quelque chose, letemps qui passe jusqu’à ce qu’on l’obtienne. • espoir : Sentiment lié à l'attente d'un événement heureux ou supposé tel, dans la mesure toutefois où sa réalisation n'est pas assurée, mais douteuse. S'oppose ainsi à la crainte et à la certitude

l'espoir ! - L'espoir a fui, vaincu, vers le ciel noir. ------------------------------------------------- Tels ils marchaient dans les avoines folles, Et la nuit seule entendit leurs paroles. ------------------------------------------------- Paul Verlaine, Colloque sentimental Ce poème construit en rimes plates (AA-BB-CC) donne une impression de tristesse et de monotonie. Impression qui est confirmée par le champ lexical du poème : « vieux – solitaire – glacé » qui retrace la mort et la souffrance

FrancaisYanna : Bonjour Paul Verlaine, je souheterai vous poser quelques questions à propos de votre court recueil de poésies intitulé « Romances sans paroles », apparu en 1874, commme par exemple quelles sont vos inspirations, vos méthodes utilisées... J'ai lu votre roman et je l'ai fortement apprécié, notamment le chapitre III des Ariettes oubliées, sur lequel j'aimerai me concentrer principalement. Verlaine : Bonjour, tout d'abord je vous remercie pour votre

régularité, l'automatisme et s'ouvre à la cadence personnelle du lecteur. Exemple : "clair de lune", "mandoline" Le rythme : les vers sont animés par une respiration, ils suivent un battement de mesure. Verlaine divise l'alexandrin en trimètre. Exemple: "mon dieu m'a dit…", "ariettes oubliées" "Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend

 Schéma théâtral : univers fantoche, les marionnettes. Théâtre : Verlaine se pose en metteur en scène : on a l’impression qu’il donne des ordres à des automates obéissants « bons chevaux » : il est le maître. Ironie ? Théâtre : image des corps sur les chevaux. Univers médiéval/ Amour : le chevalier et sa belle Image du cirque ? Attention, ça le saoule : image de la fatigue, de la mélancolie : Mathilde ? Joue sur le mot « tournoi » : bataille mais aussi tournoyer ? Les petites

| Lexique | Sem. 39 | La musicalité chez Paul Verlaine | J’associe des arts (Art poétique) | FE : p. 138 | Lecture analytique | 10 | L’art de la nuance | J’analyse les poèmes de Paul Verlaine | Tableau | | Dans cette séance, je voudrai bien leur faire écouter le poème « Il pleure dans mon cœur… » dans Ariettes oubliées, mis en musique par Claude Debussy. Qu’en penses-tu ? | 11 | Il pleure dans mon cœur… | Je récite un poème de Verlaine | FE : p. 139 | Oral | 12 | Evaluation finale |