Verlaine Sagesse

beaucoup, ce qui insiste sur le fait qu’il est arrogant et qu’il ne comprend pas ce que fait le sage, il parle durant 5 vers, alors que le sage parle peu, que sur 2 vers, il parle de façon brève, ce qui montre qu’il sait ce qu’il fait, ce qui montre sa sagesse il répond de façon calme malgré les jugements que lui a fait le philosophe. Dans la moral, l’auteur donne bien la clef de cette histoire. Il utilise des termes dépréciatif pour le philosophe « indiscret », ce qui caractérise le Scythe=>démesure excès

l’autre ? PROTARQUE Très volontiers. SOCRATE Or donc, Philèbe soutient que le bien, pour tous les êtres animés, consiste dans la joie, le plaisir, l’agrément et dans toutes les choses du même genre, et moi, je prétends que ce n’est pas cela, et que la sagesse, la pensée, la mémoire et ce qui leur est apparenté, comme l’opinion droite et les raisonnements vrais, sont meilleurs et plus précieux que le plaisir pour tous ceux qui sont capables d’y participer, et que cette participation est la chose du monde

plus de raison dans ton corps que dans ta meilleure sagesse [... Ton soi rit de ton moi et de ses bonds prétentieux. "Que sont ces élans et ces essors de la pensée ? dit-il. Un détour vers mon but. Je suis la lisière du moi et le souffleur de ces idées" » (Ainsi parlait Zarathoustra, Poche, p. 45). Si la pensée consciente est le jouet d'une sorte de pensée organique dont je n'ai nulle conscience immédiate, d'une grande raison d'une sagesse corporelle, il convient d'en déduire, selon Nietzsche

renchérit-il ligne 21. De Léry est fasciné par ses hôtes, qu'il qualifie de "grands discoureurs" (ligne 22), et plus particulièrement par le vieillard, qu'il juge "nullement lourdaud", dans une litote qui renforce son propos. Léry est déjà persuadé de la sagesse de ses hôtes. Qui s'agit-il alors de convaincre, et de quoi ? Nous touchons ici à la finalité de ce dialogue, à travers lequel Jean de Léry cherche à convaincre son lecteur de trois choses : 1. 2. 3. Nous ne sommes pas supérieurs aux autres sociétés

déchirure. C’est l’image d’un être guidé par les édits d’une loi et qui se plie à l’ordre sans la moindre objection ou contestation. Contrairement à Antigone dont elle blâme la « folie », elle se définit comme une personne raisonnable, guidée par la sagesse et le bon sens d’ailleurs le champ lexical de la réflexion est omniprésent dans les répliques d’Ismène « réfléchir » (trois fois), « pensé ». Elle ne veut pas quitter le troupeau et son obéissance voire sa soumission moutonnière et être cette « brebis

le spectacle de vos maux “ (l.29) c) Discours humaniste : Liberté et Egalité Grand philosophe des lumières, Nicolas Caritat de Condorcet, prône dans son oeuvre un discours humaniste.On peut voir que l'auteur fait preuve d'intelligence et de sagesse : “ La nature vous a formés pour avoir le même esprit, la même raison, les mêmes vertus que les Blancs “ (l.5), chose que personne ne disaient à l'époque. A la ligne 13, il utilise la périphrase qui met en avant le terme “ chair blanche “ qui montre

: Georges Balandier, le Détour, Pouvoir et modernité (1985) Document 2 : Denis Boisseau, Ne vaut pas le voyage, Revue La Licorne (2000) Document 3 : La Fontaine, « Le Renard et le Bouc », Fables (1668-1694) Document 4 : Jacques Attali, Chemins de Sagesse -Traité du Labyrinthe (1996) DEUXIEME PARTIE : ECRITURE PERSONNELLE ( 120 POINTS) Selon vous, l'important est-il d'arriver à ses fins, quel que soit le détour utilisé ? Vous répondrez d'une façon argumentée à cette question en vous appuyant sur

Voir Platon, l'allégorie de la caverne. Problématique éthique Pouvons-nous juger une personne sur son comportement et son allure extérieure ? Dans quelle mesure l'extériorité peut-elle fidèlement témoigner de l'intériorité ? Comme le dit la sagesse populaire, " l'habit ne fait pas le moine ". N'est-il pas de notre devoir de rechercher la personne au-delà de ses apparences extérieures ? qu'une ce de que chose d'autre disposons-nous communiquer avec elle, la comprendre

serait le désespoir. Cesser d’espérer pour le futur, afin de pouvoir profiter pleinement du présent. Une sorte de sagesse. Mais ne tentons pas à une sagesse absolu nous conseil-t-il, au contraire cela ne ferait que nourrir un nouveau désire inaccessible, semant une fois de plus des embuches sur la route nous séparant du bonheur tant convoité. Essayons plutôt de cultivé notre part de sagesse, notre part de folie, chaque part de nous qui - après réflexion, après avoir philosophé à leurs propos - peuvent

dans le fond de notre âme nous recherchons le bien et la sagesse morale. Pour devenir des hommes accomplis, il ne faut jamais sacrifier sa dignité morale. Et pour y arriver, il faut vivre le plus possible dans la cohérence, effectuer sans arrêt la poursuite rationnelle du bien et faire l’examen philosophique de nos croyances morales. Imaginer si la grande majorité des gens sur cette planète avaient cette façon de pensée, cette forme de sagesse qui les guidait. Tout irait tellement mieux et nous serions