Verlaine Voyelles

termine une syllabe et qui la fait exister en tant que telle lorsque la syllabe suivante débute par une consonne ( la/ por/te/ fer/ mée: 5 syl). -Devant une voyelle, la syllabe ne compte pas (la/ por/t(e) ou/ver/te: 4 syl) -En fin de vers la syllabe terminée par (une consonne + un e) ne « compte » pas. -A l'intérieur d'un mot, lorsque deux voyelles sonores se rencontrent, elles comptent pour deux syllabes (po/ è/te); le i est un cas à part, sa nature est celle d'une semi-consonne (« yod »); le i peut

complexe qui doit donner un effet de richesse à la rime. Poète peut aussi gouter des enrichissement. Rime riche a strictement parler. Mais aussi d'autre des fois plus riche que la stricte équivalence. P16 triste/ artiste: la rime est [ist] dernière voyelle accentuer et des phonèmes qui suivent. On voit bien que mm si la rime est cette cellules phonétique mais que laforgue a jouer avec des relations plus fines on voit ici que le premier mot trist et enrichi de l'inversion tr/ rtist. Autres rimes enrichi

muets. ● Le « e » qui termine un vers ne doit pas être compté. Je / ne / re / gar / de / rai // ni / l'or / du / soir / qui / tomb(e) (V. Hugo) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 ● Le « e » suivi d'une voyelle ne doit pas être compté. Sans / rien / voir / au / de / hors, // sans / en / ten / dr(e) au / cun / bruit (V. Hugo) 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 ● Le « e » suivi d'une consonne

connaître quelques règles: a) Il faut, par exemple, savoir déterminer les moments où le e est muet et ceux où il est vocalique, c’est-à-dire les moments où il se prononce : Les syllabes terminées par un e muet s’élident devant un mot commençant par une voyelle ou un [h] muet. Cela signifie qu’il ne faut pas prononcer le e. ex : « Jamais mensong(e) heureux n’eut un effet si prompt » Racine, Athalie. Les syllabes terminées par un e sont vocaliques devant un mot qui commence par une consonne ou par un [h]

connaître quelques règles: a) Il faut, par exemple, savoir déterminer les moments où le e est muet et ceux où il est vocalique, c’est-à-dire les moments où il se prononce : Les syllabes terminées par un e muet s’élident devant un mot commençant par une voyelle ou un [h] muet. Cela signifie qu’il ne faut pas prononcer le e. ex : « Jamais mensong(e) heureux n’eut un effet si prompt » Racine, Athalie. Les syllabes terminées par un e sont vocaliques devant un mot qui commence par une consonne ou par un [h]

syllabes Le décompte syllabique : La syllabe : l’unité de mesure du vers français, une syllabe comptée correspond à une voyelle prononcée. Deux difficultés dans le décompte syllabique : les diérèses et synérèses, le cas du E muet. A. Diérèses et synérèses. La diérèse : séparation syllabique de deux voyelles en contact dans un même mot (on prononce la suite des deux voyelles en deux syllabes). La diérèse a souvent pour effet de mettre en valeur un mot. La présence d’une diérèse peut être un

Modernité poétique • 2éme moitié du XIX°s. voit évolution importante écriture poétique : à suite de Baudelaire & dvp. Poèmes prose, Rimbaud, Mallarmé … renouvellent inspiration & langage poétique. Ces poètes « maudits », Rimbaud, Mallarmé, Verlaine, déroutent & provoquent lecteur par sujets d’inspiration considérés alors comme peu poétiques & par utilisation nouvelle syntaxe & versification. • Le XX°s. amplifie remise en cause versification & inspiration poétique en utilisant formes & thèmes

travers l’air atone » (Verlaine) L’écriture poétique crée, entre les mots, des échos sonores qui invitent à rechercher des rapports de sens entre ces mots « consonants ». Parmi ces échos sonores et sémantiques, on distingue : Allitération : Répétition d’une même consonne ou de consonnes voisines, comme les dentales (t) et (d) ou les fricatives (f) ou (v) ; Ex : « Il est des parfums frais comme des chairs d’enfant. » (Baudelaire) Assonance : Répétition d’une même voyelle ; Ex : « Tout m’afflige

unité rythmique définie par des règles concernant la quantité, l'accentuation ou le nombre de syllabes." (Robert). Pour calculer ce nombre, il faut prendre en compte toutes les syllabes sauf * celles qui peuvent s'élider (e muet devant voyelle ou h non aspirée) * la syllabe muette finale. (chan-te-rai-ent compte dont quatre syllabes à l'intérieur d'un vers mais trois en finale.) Lorsqu'il compte douze syllabes, le vers s'appelle alexandrin , dans les autres cas on dit :

Combien de marins, combien de capitaines) Pour compter correctement le nombre de syllabes, il faut observer certaines règles : - le -e muet en fin de vers ne compte pas (il n'est d'ailleurs pas prononcé). - le -e muet suivi d'un son vocalique (voyelle) ne compte pas. - le -e muet suivi d'un son consonantique compte. Ex. Décompte des -e : Par la Natur(e), -heureux comm(e) avec une femm(e) (Sensation de Rimbaud) - le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu'habituellement on ne prononce