Véronique

bien et puissent avoir chacun leur équilibre et pouvoir palier aux conflits de cette vie en collectivité. IV- Situations / Observations * Les prénoms ont été modifié afin de préserver l’anonymat. Situation 1: 
 
 Véronique :
 
 Lors de mon stage j’ai appris à connaitre Véronique*, une femme de 56 ans née le 12 Mars 1965. Elle a été prise en charge à domicile depuis sa naissance et a intégré le F.A.M il y a 20 ans. Elle souffre de multiples handicaps ainsi que d’une déficience intellectuelle

spécialisée| |Le renforçateur sensoriel a été remplacé par un renforçateur alimentaire, | | |langage du répertoire des gestes les mains animées, toilette,|: Véronique Sicard | |car il n’était pas possible pour les intervenants de réaliser ce | | |afin de donner un indice visuel à Michel. Puis, on

Véronique Fava-Natali 1 La rhétorique appliquée aux nouvelles images publicitaires Véronique FAVA-NATALI Doctorante Université de Paris 7 - Denis Diderot Présentation Cette intervention s’inscrit dans le cadre d’un travail de thèse1, à savoir, l’analyse, à partir de spots publicitaires contenant des images de synthèse, de l’apport des nouvelles techniques numériques à la rhétorique publicitaire. Nous présentons dans cet article la problématique générale, l’hypothèse de départ puis une

– 1ere partie : Eléments constitutifs et synthétiques du texte :Auteur de l’article : Véronique TIBERGECoordinateurs du livre/ de la revue : Livre/ revue accueillant l’article : EJE n°8Date de parution : décembre 2007/janvier 2008Editeur : TPMALieu d’édition : Savigny sur OrgeNuméros de page de l’article : 22 - 25Une présentation globale Auteur : Véronique TIBERGE est éducatrice de jeunes enfants depuis treize ans sur le terrain et deux ans en tant que responsables

dieu du carnage, Yasmina Reza, 2007. Annette et Alain Reille se rendent chez Véronique et Michel Houllié afin de régler à l’amiable un conflit violent qui a eu lieu entre leurs deux garçons. La conversation s’égare peu à peu et dégénère. alain Ça suffit Annette. Ça suffit. annette Les grands baroudeurs, comme mon mari, ont du mal, il faut les comprendre, à s’intéresser aux événements de quartier. alain Exact. véronique Je ne vois pas pourquoi. Je ne vois pas pourquoi. Nous sommes citoyens du

JORAS, Bruno LEGRIX DE LA SALLE, Eléonore MARBOT, Daniel MARCHAND, Alain MEIGNANT, Bernard MERCK, Michèle MILLOT, Gérard PELCENER, Jean-Marie PERETTI, Olivier POHARDY, Alain ROGER, Jean-Pol ROULLEAU, Christian ROUSSEAU, François SILVA, Bruno SIRE, Véronique de SAINT GINIEZ, Maurice THEVENET, Anne VAUCHERET, Zahir YANAT Troisième édition © Groupe Eyrolles, 1996, 2001, 2006 ISBN : 2-7081-3631-3 Sommaire LES COAUTEURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

6 1 Les aliments et leur utilisation par l’organisme Pages 160 à 172 1. Voici ce que Véronique a mangé au souper : 1 filet de saumon de l’Atlantique grillé 1 pomme de terre au four 5 ml de beurre (sur la pomme de terre) 3 bouquets de brocoli bouillis 2 verres (500 ml) de lait à 2 % 125 ml de crème glacée au chocolat 60 g de fraises (sur la crème glacée) Pour chaque aliment consommé par Véronique, indiquez dans le tableau ci-dessous : a) le groupe alimentaire auquel appartient l’aliment

du texte : - la conversation est déplaisante et désagréable car les principaux protagonistes, Véronique et Alain ne s’écoutent pas (« dialogue de sourd ») et sont interrompus par le téléphone d’Alain. De plus, leur point de vu s’oppose et chacun veut s’imposer. Il n’y a donc pas d’échange profitable. - jugement, parti pris. - violence physique. - réaction inconsciente et spontanée de Véronique. - transgression des codes mais néanmoins volonté de respecter les règles de la part de Michel.

morose, il contacte ses deux frères, Ferdinand, juge morne, et Bernard, sorte de malfrat embarqué dans n'importe quel coup foireux. Avec la compagne de Bernard (qui est encore dans le Midi, dans une affaire obscure) et de Ferdinand, accompagné de Véronique, sa femme, un problème se pose : l'héritage. Surtout que le vieux père, on ne retrouve pas son argent. S'ensuit une histoire plutôt lente, mais dont on est impatient de connaître le dénouement. Les grandes forces de son roman sont : la parfaite restitution

Bakhita– Véronique OlmiAvis global : J’appréhendais beaucoup la lecture de Bakhita, les romans faisant part d’histoires réelles et de récits de vie authentiques ne m’étants pas très agréable. En effet, la plupart du temps, ces récits ne sont pas joyeux et témoigne de l’horreur dont sont capables les humains. Alors, la question de l’esclavage, du racisme, et de la déshumanisation me faisait un peu peur. Mais j’ai finalement beaucoup aimé, je ne dirais pas que ce fut un plaisir de lire Bakhita, car