Vers En Alexandrin

Devoir sur le vers « c’est venus toute entière a sa proie attachée » -Parler de l’auteur et pourquoi il a écrit le vers. -Lire le texte -> avec le ton, montrer qu’on a compris le texte. -Relever les procédés. -Expliquer le vers. -Syntaxe. -Stylistique. -Rythmique et sonorité. -Lexique. L’auteur : Racine est un dramaturge et un poète du 17eme siècle , il fait partis du classicisme. Il est issu d’une famille de petits notable et devient vite orphelin. Il est éduqué par les solitaires

ou types de vers Alexandrin : vers de 12 syllabes Décasyllabe : vers de 10 syllabes Octosyllabe : vers de 8 syllabes Césure : coupe principale du vers (à 6 syllabes pour l’alexandrin, souvent à 4 pour le décasyllabe) qui marque une légère pause à la lecture Hémistiche : demi-vers Monosyllabe : une syllabe Dissyllabe : deux Trisyllabe : trois Tétrasyllabe : quatre Pentasyllabe : cinq Hexasyllabe : six Heptasyllabe : sept Ennéasyllabe : neuf Hendécasyllabe : onze Vers mêlés : utilisation

C'est donc dans le sang et l'horreur des champs de batailles que ce poème fut écrit. Description de l’œuvre : Ils s'agit d'un extrait. Le texte est composé des trois strophes qui se composent chacune de 5 vers, on appel ça des quintils. Tout le poème est fait en Alexandrins avec a la fin un vers isolé et un acrostiche. Ce poème est un hommage à la femme aimée. Le texte est moderne car il est écrit sous forme de lettre et ne comporte aucun signe de ponctuation. Analyse de l’œuvre : Ce poème

Un alexandrin « disloqué » et malmené. [« J’ai disloqué ce grand niais d’alexandrin », Victor Hugo - v. 80 du poème XXVI « Quelques mots à un autre » du livre II « Aurore » des Contemplations. L’auteur rompt avec l’alexandrin classique, régulier, découpé en deux hémistiches de six syllabes. Originellement, l’alexandrin avait été choisi pour le théâtre car sa longueur était censée permettre de produire une parole naturelle.] i. Un alexandrin qui ressemble à de

III et IV et le dénouement au Vème et dernier acte. Par ailleurs la versification est très présente dans l’œuvre de Corneille. Toute la pièce est rédigée en vers et plus particulièrement en Alexandrin et en rimes suivies excepté quelques exceptions, vers 285 par exemple : « surprise » en rime croisé avec « entreprise ». Tous les alexandrins sont en rythme 6/6 ce qui amène une rigueur au dialogue et représente le classicisme. Comme dans le théâtre antique, cette pièce contient une fin morale. Elle

rebondissement Il y a une confrontation entre deux personnages antithétiques. La négation restrictive « n’avait que les os sur la peau » renforce cette maigreur et l’opposition au dogue qui est qualifié « aussi puissant que beau ». C’est une fable tournée vers l’action (on trouve des verbes d’action) et l’infinitif renvoie a des fantasmes de l’action. Suspense car le loup est affaiblit et ne peu donc pas battre le chien contre qui il aurait du gagner s’il était en bonne condition. Rebondissement : le loup

strophe, par son agencement, permet de mettre en relief les rimes. Il s’agit d’un groupement de vers séparé de la strophe suivante par un blanc typographique. On nomme les strophes les plus utilisées en fonction du nombre de vers qu’elles contiennent : • 2 = un distique • 3 = un tercet • 4 = un quatrain • 5 = un quintil • 6 = un sizain • 8 = un huitain • 9 = un neuvain 2) LE METRE Le mètre ou le vers est nommé en fonction du nombre de syllabes qu’il contient. ATTENTION : ne surtout pas parler de

d’exorciser la mort.     Le pantoum est un style de poésie d’origine malaise qui consiste en une suite de quatrains où s'appliquent deux systèmes de reprises : le deuxième et le quatrième vers de chaque strophe sont repris respectivement comme premier et troisième vers de la strophe suivante, le tout dernier vers du poème reprend le premier. L'alternance des rimes masculines et féminines impose un nombre de quatrains pair. Le nombre de quatrains est illimité, mais doit être supérieur à six. Cette

lui, mené par Luther. Cet extrait du discours, très bien construit en alexandrins, nous montre pourtant l’intolérance envers les protestants, et en écrivant ce discours à la reine, Ronsard écrit également au peuple et tente ainsi d’entraîner un mouvement de révolte plus fort contre Luther. Dans ce court extrait de 12 vers, le poète, incite clairement Catherine de Médicis à rediriger le peuple français sur le bon chemin, vers le catholicisme. Il compare le protestantisme à une mer houleuse qui engendrerait

Et Rome Rome a vaincu seulement. Le Tibre seul, qui vers la mer s’enfuit, Reste de Rome. O mondaine inconstance ! Ce qui est ferme est par le temps détruit,