Vertu

l’accumulation, sur le mode de la juxtaposition, de propositions commençant par des pronoms de type masculin pluriel "ils" et composées d’un vocabulaire mélioratif : "ils avaient de l’humanité" (l.5), "ils connaissaient la justice" (l.5), "ils aimaient la vertu" (l.5-6), "Ils travaillaient avec une sollicitude commune pour l’intérêt commun" (l.9-10), "ils menaient une vie heureuse et tranquille" (l.12-13), "Ils aimaient leurs femmes" (l.15). L'emploi du champs lexical du bonheur "douce" (l.10), "tendre" (l

extrait du chapitre 17 de l’Ingénu de Voltaire, conte philosophie paru en 1767, et qui vise à dénoncer l’intolérance religieuse. Mlle de St Yves, qui revient de son rdv avec le Père Tout-à-tous, se trouve devant un dilemme. Doit-elle sacrifier sa vertu pour sauver son amant ? Elle se confie alors à son hôtesse. Texte construit en deux parties : discours argumentatif de la « bonne amie », puis réponse de Mlle de St Yves. 1) Habileté du discours argumentatif Se place en situation de confidente

- naissance →→ Point de vue omniscient sa naissance est vantée : l.45 « une des plus grandes héritière de France » superlatif/hyperbole l.5-6 : famille idéalisé/ la mère dit « le bien, la vertu et le mérite était extraordinaire » → hyperbole *belle et vertueuse « cultiver son esprit et sa beauté » « qui avait de la beauté et de la naissance » remplit toutes les attentes d'une femme parfaite Ξ│› transition : Même si elle est parfaite

passions - vertu austre. Mme de Clves est dtermine quitter son amant malgr lhumiliation dont il lui fait preuve travers ses pleurs et le fait de se jeter ses pieds, sa situation est pathtique Vous lavez fait par une vertu austre(malgr vous (l 17-22), lopposition le souligne. Ces deux amants nappartiennent plus au mme univers ce qui rend leur face face un dialogue de sourds. Mais, M de Nemours tente quand mme de la culpabiliser puisquelle met terme leur passion (l 19-20) mais cette vertu soppose

charmes » : hyperbole & description méliorative. Tous les éléments qui composent son portrait physique sont très flatteur, on comprend ici que l’auteur donne un portrait qui correspond au canon du 17e. 2. Portrait moral : VERTU l.7 & 14 : « vertu » : répétition  confirmant cette idée de vertu. l.13 : « honnête femme »  l.5 – 6 : « Après avoir perdu […] à la cour : On comprend que la mère est quelqu’un de vertueuse, son enseignement, vis-à-vis de sa fille, sera donc tourné dans ce sens. 3. Un portrait

philosophe, surtout qu'il n'y était pas consommé, Sganarelle cherche ainsi à se donner un air savant mais se trahit par son manque de culture. Il insiste sur la dimension morale du tabac, soulignée par le champ lexical de la morale : « vertu », « honnête », « honneur », « vertu », ce qui est risible car la morale et le tabac n’ont rien en commun. À travers les paroles de Sganarelle c'est Molière qui s'exprime, et en faisant référence à la philosophie aristotélicienne placée sur le même plan que le « tabac

bien gouvernée, et où chacun suffisant à son emploi, nul n’eût été contraint de commettre à d’autres les fonctions dont il était chargé: un Etat où tous les particuliers se connaissant entre eux, les manoeuvres obscures du vice ni la modestie de la vertu n’eussent pu se dérober aux regards et au jugement du public, et où cette douce habitude de se voir et de se connaître, fît de l’amour de la patrie l’amour des citoyens plutôt que celui de la terre. J’aurais voulu naître dans un pays où le souverain

TAO TÖ KING LE LIVRE DE LA VOIE ET DE LA VERTU par LAO TSEU Nouvelle traduction de Conradin Von Lauer UN La voie que l'on peut définir n'est pas le Tao, la Voie éternelle. Le nom que l'on peut prononcer n'est pas le Nom éternel. Ce qui ne porte pas de nom, le non-être, est l'origine du ciel et de la terre. Ce qui porte un nom est la mère de tout ce que nous percevons, choses et êtres. Ainsi à celui qui est sans passion se révèle l'inconnaissable, le mystère sans nom. Celui qui est habité par

fils. Qui est « la fable de Florence », p. 71. Catherine, la tante, semble remettre en cause l’image traditionnelle de la virilité (influence de George Sand sur Musset ?) : « O ma mère ! la lâcheté n’est point un crime, le courage n’est pas une vertu ; pourquoi la faiblesse serait-elle blâmable ? », p. 71. Lorenzo, pour elle, n’est qu’un « enfant » qui n’a pas à subir cette morale virile qu’on tend à lui imposer. Un enfant est un peu comme une femme ! Etrange défense de Lorenzo qui ne peut être

ses regards la mettent mal à l’aise. M. de Clèves porte donc tout au long de cet extrait, une très grande attention à Mlle de Chartres, car il essaie de faire la lumière sur ses sentiments, à travers ses actes. Il admire à la fois sa beauté et sa vertu et nous le constatons grâce au point de vue qu’utilise Mme de Lafayette dans l’extrait. C’est en effet celui de M. de Clèves: « il ne pouvait comprendre; il ne connaissait point; lui faisait croire; il ne savait que penser; il l’a regardait toujours;