Vertu

trouve dans les exigences liées au tumulte mondain : « Combien l’homme vivant dans la simplicité primitive est sujet à peu de maux ! » Dans Les Âmes fortes, Thérèse, « séduite par une passion » ne prend même pas en compte la vertu : « elle ne tirait pas sa force de la vertu ». C’est pourquoi elle agit sans scrupule : « jouir de la libre pratique de la souveraineté».   Si  commettre l’injustice est pire que la subir , c’est parce que l’être humain, quoi qu’il en ait, ne peut pas se déposséder

serait alors de rétablir l'harmonie et la paix. Pour les grecs de l'Antiquité, la justice est une vertu basée sur l'éducation des hommes et la bonne organisation de la cité. Aristote différencie deux formes de justices : la justice commutative basée sur l'égalité de tous et la justice distributive qui permet de rendre à chacun ce qu'il a apporté à la Cité. Ces deux formes de justices sont des vertus puisqu'elles assurent les échanges pacifiques et la bonne entente entre les hommes. Il semblerait

personnages de roman d’amour : banal, ennuyeux de part ses principes et ses vertus. Mais son éthique va provoquer la chute des deux libertins : le bien contre le mal. Cécile de Volange est basée sur le même modèle que le Chevalier, mais son entourage malsain va en faire une catin dépravée. Gauche et ignorante, c’est ainsi qu’elle est décrite dans les lettres de ses fréquentations. Madame de Tourvel est l’incarnation même de la vertu, l’héroïne type d’ un roman. Son intervention au milieu de cette dépravation

gouverner d'autres hommes . Pour Pascal, seul un être supérieur à l'homme pourrait être autorisé à revendiquer une supériorité. 4) Pour Pascal, la justice des hommes est imparfaite mais légitime car Dieu a voulu que l'homme puisse librement exercer sa vertu dans la gestions des biens terrestre et par la recherche du bien commun dans le partage. Les lois sont donc l'expression « imparfaite » de cet exercice car elles évites les violence des RAPT (=crime consistant à enlever une personne dans l'intention

monde(méchanceté) et nouveau monde (pureté vertu équilibre). Transition : cette renaissance qui semble aisé met en place un « âge d’or » de la société troglodyte 2) caractéristiques de cette utopie Les valeurs prônées par les troglodytes : La vie en collectivité : - Importance de l’unité (chp lexical de la famille « femme », « enfant » lié a des sentiments nobles « amour » « amitié »+ répétition du mot commun) Une vie dirigée par des valeurs communes : la « vertu »(omniprésence de celle-ci dans le

sans qu’on s’y attende et qui ne dépend pas de nous, de notre volonté. Mais quelle importance devonsnous accorder au bonheur dans notre existence ? Pouvons-nous faire du bonheur l’unique fin de notre existence ou d’autres fins comme la liberté, la vertu ou encore la justice ne sontelles pas tout aussi importantes ? Afin de traiter cette problématique, nous étudierons tout d’abord le fait que le bonheur est la fin universelle que chaque homme se donne et les différents moyens pour qu’ils atteignent

en y introduisant des éléments nouveaux en gymnastique et en musique car toute nouveauté entraîne des risques de sédition.3) [424d] Les jeux et la conduite des jeunes gens doivent être réglés de sorte qu'ils favorisent la soumission aux lois et la vertu.4) [425b] Motivation de ces mesures : « l'élan donné par l'éducation détermine tout »(p. 177). - E - 425b-427b, pp. 177-179. - Inutile, dans une bonne cité, de s'attarder à un grand nombre de préceptes et de lois :1) [425c] Parce que des honnêtes gens

sensible) Préamble : Apollodore et Aristodème > disciples de Socrate 1ère partie : les 5 discours Phèdre : élève des sophistes. Schéma du discours : 1/origine du Dieu 2/bienfaits qu’il valut aux humains Lien amour/mort et lien amour/vertu Pausanias : amant d’Agathon L’Amour, comme Aphrodite, est double : amour céleste (pur et durable) et amour vulgaire > 2 éloges de l’amour homosexuel Hoquet d’Aristophane : laisse la parole à Eryximaque Eryximaque : Etend au cosmos la

perspective politique et morale - la vertu : elle est au cœur de la lettre XII. Le mot revient fréquemment, accompagné. d'un registre moral (pitié, indignes, justice, charité, juste, naïve , pudeur, fidèle, obéissance, innocence...) On notera les connotations antiques de ce vocable, qui signale aussi le courage : si la vertu ne doit pas être "une chose qui coûte", Montesquieu souligne néanmoins ce qu'elle suppose d'énergie morale. Parallèlement, il lie l'exercice de cette vertu à une contention des besoins

bon Dieu, de Jean-Paul Sartre, drame en trois actes représenté pour la première fois en 1951 au théâtre Antoine, le personnage de Goetz affirme : « Fais le Mal : tu verras comme on se sent léger ! » Dans cette affirma­tion, le mal est vanté pour ses vertus bénéfiques, plus encore curatives (ou purgatives ?). (Citation du sujet .) Ainsi, le mal pourrait-il être un bien ? (Analyse du sujet et reformulation de la thèse .) Paradoxalement, dans cette interrogation, le mal est envisagé spontanément, immédiatement