Vertu

LA ROCHEFOUCAULD MAXIMES Biblio. -SLZ-Weimar - (c) Fabien OLIVRY Nos vertus ne sont, le plus souvent, que des vices déguisés. --- 1 --- Ce que nous prenons pour des vertus n'est souvent qu'un assemblage de diverses actions et de divers intérêts, que la fortune ou notre industrie savent arranger; et ce n'est pas toujours par valeur et par chasteté que les hommes sont vaillants, et que les femmes sont chastes. --- 2 --- L'amour-propre est le plus grand de tous les flatteurs

des extrémités des branches : s'occuper davantage morale cartésienne car c'est uniquement là qu'on peut cueillir les fruits. Philosophie doit aider à la vie, aider vie. Première personne qui profite morale = personne vertueuse elle-même. Première vertu, premier principe : estime de soi (de quoi va tout partir) qui va de pair avec la générosité. L'estime de soi ce n'est pas hypocrisie mais accepter ses propres valeurs, sans aller à l'extrême : demander vrai jugement sur soi-même, vraie analyse. D'abord

de services, qui permet de concourir à la satisfaction des besoins naturels. Il lui semble donc équitable et juste, sans nourrir de difficultés particulières. Dans l’hypothèse du commerce entre particuliers, Montesquieu que le commerce vicie les vertus morales et que l’argent joue un rôle de pivot. Mais, nous dit-il, le commerce peut aussi générer un sentiment de justice exacte. Deux théories ou deux constats, donc, qui s’opposent. En filigrane, Montesquieu nous amène à une réflexion qui consiste

cette communauté un idéal proprement humaniste. I. Une société utopique Registre épidictique (= qui fait l’éloge de qq) A. Un univers de bien et de vertu : Récurrence des termes « bon/ bonne/ bien». De même, répétition de l’adverbe « bien » : « bien nés, bien éduqués » De +, chps lex antithétiques du bien et du mal : « bien nés/ bien éduqués/ vertu/ noble/ louable/ honnête et bien née » vs « vice/ honteuse/ rejet/ violation ». B. Un univers d’exception : Chp lex de la beauté : « belles, joliment

société de son temps. Usbek raconte l’histoire des Troglodytes. Il explique que deux Troglodytes, forts de ces expériences, ont reconstruit une nouvelle communauté. Cette communauté était basée sur la vertu, la justice, le bonheur et l’intérêt commun. Dans la lettre 13, Il donne des exemples de leur vertu qui va les mener à se faire des ennemis qui vont les attaquer malgré leur désir de justice. Les attaquants, épris de cette société qui est tellement parfaite, décide de rester avec les Troglodytes.

la cité viennent d’une mauvaise organisation politique et par conséquent de mauvais régimes. Aujourd’hui comme hier, nous sommes dans un monde où les vices ont pris des proportions considérablement ignobles sur la morale et les bonnes vertus. Le mal l’emporte sur le bien, l’injuste sur le juste. De ce fait, il convient d’analyser non seulement toutes les pratiques humaines, l’ambiguïté de leur mobile et leurs fins, dès lors qu’elles prennent pour fondement les passions liées aux intérêts

plaisir car il avait gagné un meilleur entendement des annalyses amoureuses. Tiberge lui fait la leçon. "J'avais autant de goût que vous pour la volupté, mais le ciel m'avait aussi donné le goût pour la vertu." Tiberge incarne le héros jansénisme - celui qui sera sauvé par sa vertu. Il a reçu vertu + raison + grâce du ciel qui lui permettent de controler sa volupté, de faire son devoir, de mener une vie exemplaire, d'avoir une bonne réputation et de gagner la récompense accordée aux élus. C'est

premier peut même être insensible à cette punition interne. Les douleurs morales infligées aux hommes vertueux permettent d'élever la valeur de la vertu. Kant admet une hypothèse qu'à la fin de la vie, c'est-à-dire après la mort, les hommes vertueux seront récompensés pour leur vertu et que les hommes dépravés seront punis pour leur manque de vertu et pour leur insensibilité face aux punitions internes. Cependant, Kant précise qu'il ne s'agit que d'une hypothèse, car on ne peut pas prouver qu'il

tolérant ? Selon l'opinion publique la tolérance et l'indifférence peuvent être deux termes relativement opposés, en effet nous pouvons prendre l'idée que l'un prend comme signification une réelle aptitude a être ouvert d’esprit avec une certaines vertu (nous parlons bien de la tolérance) et de l'autre une attitude assez négative car elle exprime le fait de ne pas être concerné sr un sujet ou même de n'exprimer aucune émotions vis à vis de ce dernier. Ainsi pour lier ces deux mots clés nous allons

qu’il invoque – et qui étaient encore au début du roman les siennes – et la nécessité dans laquelle il est de « remplir actuellement [s]a bourse » (lignes 19-20.) Cette opposition est mise en place par le texte qui confronte le champs lexical de la vertu à celui de la bassesse : la double occurrence de la générosité (« généreusement » ligne 20, et « générosité » ligne 27), ainsi que l’invocation de la chrétienté (« un chrétien humble » ligne 27, « on bon chrétien » ligne 29) et de la morale (« il m’assassinera