Vertus De La Concurrence Pure Et Parfaite

: masse monétaire V :  vitesse de circulation de la monnaie P : niveau général des prix Y : niveau de la production   3 - Les variantes nationales Le mercantilisme espagnol (bullionisme / de bullion : lingot) et italien C’est la forme la plus pure de chrysohédonisme : les métaux précieux, but suprême de l’individu, qu’il s’agit d’accumuler (protectionnisme monétaire direct et défensif interdiction des sorties d’or, obligation de rapatrier les créances, surévaluation des monnaies étrangères,

Guerre Froide avec d’un côté, l’Union Soviétique dont l’économie était organisée selon une planification obligatoire et centralisée, et de l’autre les Etats-Unis qui se revendiquaient les défenseurs de la liberté du marché et des bienfaits de la concurrence. Aujourd’hui, il ne fait plus guère de doutes que le système soviétique a échoué dans l’organisation de l’économie. Mais assiste-t-on pour autant au triomphe du Marché sur l’Etat ? En réalité non, car aucune économie de par le monde n’a réussi à

augmente quand le second diminue, constitue ici l'équivalent de la courbe de demande. Les vertus du marché : - Propriété "positive": il existe un marché un prix d'équilibre c'est évident puisque la courbe d'offre est croissante et la courbe de demande décroissante et à ce prix d'équilibre, les transactions effectuées par les agents correspondent à leur souhaits. -Propriété "normative": souligne deux vertus du marché : d'une part le marché stylisé "épuise" les gains à l'échange, les rend maximaux

des deux acteurs dispose d’une meilleure information, il en sait plus que l’autre sur les conditions de l’échange (qualité du produit, travail fourni…). Cela contredit donc l’hypothèse de transparence de l’information du modèle standard de concurrence pure

la meilleure organisation possible. Une main invisible incite chaque individu a satisfaire son intérêt personnel mais aussi et simultanément l’intérêt général sans que cela n’entre dans ses intentions au départ. Le marché et le libre jeu de la concurrence permettent d’assurer la plus grande efficacité. La main invisible conduit les entreprises à produire les marchandises recherchées par les consommateurs et à les produire au meilleur prix. Cette autorégulation du marché exclue l’intervention de l’Etat

éléments. (l’offre, la demande, la consommation, l’épargne, les investissements (I+), le chômage, l’inflation,…) * La méso économie s’intéresse aux acteurs dont les grandes dimensions leur permettent d’échapper en partie aux contraintes de la concurrence. (différence de tailles) * L’économétrie se charge de quantifier les flux et les stocks qu’elle observe. (l’art de mesurer). Elle a recourt à des outils géométrique et permet d’établir la comptabilité national. L’économie politique : c’est

capital qui à ses yeux doivent conduire à la destruction du système capitaliste * néoclassique ou école marginaliste: (opposé à l'école de Marx), qui se développe à partir de la fin du 19ème siècle: ces défenseurs retiennent l'idée de l'économie pure, abstraite conçu avec le modèle de la science exacte. Par conséquent l'analyse devient micro-économie privilégiant le comportement d'un agent économique isolé des incarnés [l’homo-oeconomicus] dont la préoccupation principal porte sur l'étude du système

plus-value 30 CHAPITRE 6 : ORIGINE ET FONDEMENTS DE LA PENSEE NEOCLASSIQUE (MARGINALISTE) SECTION 1 : L’ECONOMIE POLITIQUE PURE DE WALRAS 1. 32 33 L’économie pure chez Walras 33 A. L’échange 34 ! 2! 2. B. La production 34 C. La propriété 34 La formation effective des prix d’équilibre : le tâtonnement 35 A. La libre-concurrence 35 B. Le tâtonnement 35! ! 3! Introduction : De l’intérêt de l’histoire de l’analyse économique Il y a une

effet à bon droit être désignée (au moins historiquement) comme la principale inspiratrice des morales « déontologiques ». Tel est en particulier le rôle de ce que la Critique de la raison pratique nomme la « loi fondamentale de la raison pratique pure » et dont le contenu est un principe d’universalisation - ou, plus précisément : d’ « universalisabilité ». Selon un tel principe, puissamment attractif et 1 « John Rawls : de l’autonomie morale à la fiction du contrat social », Lectures I (Autour

involontaire entre activités de différents agents économiques, qui ne sont pas couverts par des coûts ni par des revenus, sont appelés effets externes. - Les effets externes sont analysés comme des défaillances par rapport au cadre de la concurrence parfaite. Par les gains ou les coûts supplémentaires imprévus qu’ils apportent, les effets externes faussent les calculs d’optimisation des agents économiques rationnels et sont sources de mauvaise allocation des ressources rares. B. Internalisation