Vertus théologales

le mot « horreur » (l.15), l.20 « sur le témoignage d’autrui », l.21-24 « que dans l’opinion des autres ». Il est en porte-à-faux avec lui-même, il est empli de paradoxes l.8-9 « il travaille jusqu’à la mort […] immortalité », l.32 « honneur sans vertu, […] bonheur ». Un être pris dans le jeu des apparences et qui en arrive à renoncer à son identité propre : l.10 « il fait sa cour aux grands qu’il hait … », « factice, joué », « extérieur trompeur et frivole ». Dénaturation de l’homme par lui-même :

L’auteur se doit de la rassurer en lui prouvant qu’il l’aime. il commence et finit sa lettre avec des passages doux et heureux « Je t’aime. Je suis à toi pour éternellement, ton Henri. »L.2 à 4, «C’est de toi que j’attends toute ma force, toute ma vertu, toute mon audace, tout mon mépris de la mort. »L.41 à 43. 3.Portrée du document : 7) Cette lettre m’a confirmée l’horreur de la guerre pour plusieurs axes, c'est-à-dire pour les soldats mais aussi pour leur famille. Je trouve cette lettre émouvante

tolérance est elle toujours unnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnne vertu ? La tolérance est elle toujours une vertu ? La tolérance, par définition général, désigne la capacité à accepter ce que l'on désapprouve, c'est-à-dire ce que l'on devrait normalement refuser auxautres, ou se refuser à soi même. A sens moral, la tolérance consiste à effectuer un travail sur soi même, et à apprendre à accepter des choses qui ne nous ressemblent pas. Quant à la vertu, ici utiliséepour qualifier la tolérance de qualité, remet

régnait à la Cour, et risque de mourir s’il reste), d’autre part il quitte son pays pour rechercher la sagesse. Sa quête le pousse à interroger les valeurs de sa société, celles des autres, pour mieux toucher aux valeurs universelles. Il défend ainsi Vertu et Raison comme des qualités majeures. Il recherche l’équilibre. Malgré cette modération, ses réflexes restent très orientaux et imprégnés par l’Islam. Il est par exemple très autoritaire à l’égard de son harem personnel, le sérail, et ne se laisse

la chance elle-même dépend de nous : car notre chance dépend de notre vivacité et de notre enthousiasme : la chance n’existe que pour celui qui est prêt à la saisir (« la chance sourit aux audacieux »). Bref, la chance ellemême dépend de notre « vertu ». II. Dissertation rédigée (ceci n’est qu’une suggestion !) [Introduction] Amener le sujet Enoncer le sujet Problématiser, montrer que deux idées  fortes s’opposent Annoncer le plan Ici on saute 5-6 lignes La chance contribue

Dans quelle mesure l’état naturel peut constituer un moyen pour atteindre le bonheur ? Nous allons commencer tout d’abord par concevoir comment l’état de nature peut mener à une vie heureuse et tranquille, puis par la suite nous allons traiter la vertu et l’éducation comme moyens pour se libérer de l’ état naturel, finalement l’impact de la civilisation sur l’homme. I. Etat de nature, voie pour atteindre la tranquillité et le bonheur: Bougainville met en évidence que l’état de nature forme des hommes

12 ("tout honnête"). Il généralise cette idée avec l'emploi de l'adjectif indéfini "tout" et présente ainsi une humanité exemplaire, idéale. Il ne prône pas la débauche, ni le relâchement des mœurs. Il propose un équilibre entres les plaisirs et la vertu, son modèle serait un épicurisme modéré. BILAN : Voltaire situe l'homme dans la perspective de son épanouissement ici-bas. Pour lui, ce qui est choquant à l'époque, la recherche du bonheur terrestre l'emporte sur l'attente du Salut Eternel. Ce

des gens qui ont vécu des histoires incroyables il y en plein et que malgré tout, ils continuent à se battre et à exister. Alors, nous prenons une jolie leçon de vie et de persévérance. La persévérance peut être dans ce sens considérée comme une vertu. Vertu si elle permet de tendre vers le bien, mais elle peut aussi rapidement basculer à l'obstination, à l'entêtement et au vice. Dans ce cas, c'est avancer coûte que coûte, en regardant droit devant soi, sans réajuster si besoin … Sans rectifier ! Je

Titre, épigraphe et préambule Titre: La Porte étroite  Épigraphe: Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite. Luc, XII, 24  Préambule: D'autres en auraient pu faire un livre; mais l'histoire queje raconte ici, j'ai mis toute ma force à la vivre et ma vertu s'y est usée. J'écrirai donc très simplement mes souvenirs, et s'ils sont en lambeaux par endroits, je n'aurai recours à aucune invention pour les rapiécer ou les joindre; l'effort que j'apporterais à leur apprêt gênerait le dernier plaisir que j'espère

La prudence est une vertu intellectuelle, dianoétique. Il faut distinguer raison pratique et prudence. On a ici la problématique des fins et des moyens, le rôle de la prudence vis à vis des vertus morales. C'est celui qui a l'intelligence du comportement dans une situation donnée et c'est ainsi au service d'une bonne finalité. Aristote dit «Si vous possédez l'intelligence du comportement mais qu’elle s’est mise au service d'un fin perverse, on est simplement habile». La prudence c'est l'habilité