Vertus théologales

celui du vidame ou du prince de Clèves : utilisation d'un modalisateur : « il fut « tellement » surpris de sa beauté qu’il ne put cacher sa surprise » . b) Un portrait moral : par ailleurs la princesse est également caractérisée par des vertus morales : la pureté, l'amabilité, la grâce et le charme. Elle est également gênée par l'attention suscitée par sa beauté ce qui montre une absence d'orgueil accompagné néanmoins de marques de politesse (ligne 33 à 35). L es là encore singularisé par

respect de la loi pour ne pas échapper à ses bourreaux, alors qu’il aurait aisément pu quitter Athènes sans qu’on s’y opposât fermement. Socrate révéla que le but de ses examens philosophiques était aussi de convaincre le peuple de ne pas échanger ses vertus contre les richesses, car mourir à un bien meilleure valeur que de refuser l’aide de dieu. Selon ses dires, échanger sa bonté pour prioriser la fortune et la gloire consiste à être le plus grand des péchés à commettre. En effet, Socrate ne cache pas

dernier ? Le bonheur trouve-t-il nécessairement sa source dans les plaisirs et l'amusement ? Pour lui, le bonheur ne consiste pas dans l’amusement, mais que le bonheur devrait être élaboré à travers une conception du plaisir, guidée par la raison et la vertu. Dans la première partie du texte (l1-4), Aristote démontre clairement que le bonheur ne réside pas dans l’amusement. Dans la seconde partie (l4-10), il exprime que l’amusement reste quand même important pour l’homme. Dans la première partie

femmes occidentales en laissant entendre qu’elles ne sont pas vertueuses. Dès le début de la lettre, il pose le cadre par une formule lapidaire qui définit l’occident. La métaphore « ces climats empoisonnés » fait allusion à un univers corrupteur, sans vertu ni pudeur, et corrompu parce qu’il est empoisonné. Il désigne les femmes occidentales de façon collective et lapidaire. Elles n’ont « pas de retenue » L 45, « pas de pudeur » ; l’hyperbole « une impudence brutale » L52 montre qu’il se sent véritablement

: a) Pour les philosophes des lumières, le bonheur est lié au progrès. Le 18ème siècle est donc défini en tant que siècle du progrès, au vers 21 on voit que Voltaire laisse transparaître la satisfaction. b) Voltaire attribue le bonheur et les vertus à l’activité économique et commerciale. Les échanges se multiplient à cette époque entre les pays et on voit que le commerce rapproche les pays (V.25). En favorisant les échanges, le commerce amène les plaisirs. Les échanges multiplient les plaisirs

de Tourvel est d’abord désignée par la fonction de son mari qui est juge : « présidente » l.4-> Elle appartient à la noblesse de robe ; épouse d’un mari qui est en voyage ; elle est « belle » et « dévote » l.20, très vertueuse : « sagesse » l.4, « vertu » l.18. Il est question de sa piétée/sagesse. => Séduction valorisante pour le libertin car c’est une proie difficile à prendre, c’est donc plus intéressant pour le prédateur. L’adjectif péjoratif « prude » l.33 suggère une petite jalousie de Mme

celle que voit le personnage amoureux et d’un autre, celle que décèle le narrateur informé de la suite des aventures et surtout le lecteur non naïf. II- Manon, ange et démon A- Manon vue par le personnage : un ange paré de toutes les vertus Manon apparaît comme un ange : - Caractère « charmant » du personnage avec la « douceur de ses regards » et un « air charmant de tristesse » - Jeunesse du personnage sur laquelle il insiste plusieurs fois « fort jeune » « quoiqu’elle fût

l’homme peut ressentir. Il a de la morale. Pousse l’homme à agir selon la justice Permet l`union des hommes et la collaboration entre eux. Elle est à l’origine de l’union des hommes Elle modère l’amour de soi. De la pitié viennent les autres vertus : générosité, l`humanité, la clémence … Sentiment naturel de l’homme, c’est pour cela qu’elle précède la réflexion Pitié nécessite de l’imagination, car pour avoir pitié, il faut se mettre à la place de l’autre = Conservation des espèces La

empressez auprès du prochain et vous exprimez cela par de belles paroles. Mais je vous le dis : votre amour du prochain, c’est votre mauvais amour de vous-mêmes. Vous entrez chez le prochain pour fuir devant vous-mêmes et de cela vous voudriez faire une vertu : mais je pénètre votre « désintéressement. » Le toi est plus vieux que le moi ; le toi est sanctifié, mais point encore le moi : ainsi l’homme s’empresse auprès de son prochain » Ainsi parlait Zarathoustra. Le véritable amour est générosité qui n’attend

Nous disons bonnes les vertus d'un homme, non pas à cause des résultats qu'elles peuvent avoir pour lui, mais à cause des résultats qu'elles peuvent avoir pour nous et pour la société : dans l'éloge de la vertu on n'a jamais été bien « désintéressé », on n'a jamais été bien « altruiste » ! On aurait remarqué, sans cela, que les vertus (comme l'application, l'obéissance, la chasteté, la piété, la justice) sont généralement nuisibles à celui qui les possède, parce que ce sont des instincts qui règnent