Vétheuil

en dépôt par le musée national d’art moderne / Centre Pompidou. Peinture abstraite, claire, animée de grandes touches vertes et bleues, évocatrice d’une échappée sur un jardin, The Good-bye Door est l’œuvre d’une artiste installée dès 1967 à Vétheuil, non loin de Giverny, sur les terres de Monet. Elle forme un écho visuel fort avec les Nymphéas. Joan Mitchell (1925-1992) est née à Chicago. Pendant ses études au Smith College à Northampton, elle fréquente la colonie artistique de Ox-Bow créée

de Paris, j'irai à Trouville. Ma mère veut y aller et je la suis. Au fond je n'en suis pas fâché : voir un peu d'eau salée me fera (du) bien. Voilà deux ans que je n'ai pris l'air et vu la campagne (si ce n'est avec toi, lors de notre promenade à Vétheuil). Je m'étendrai avec plaisir sur le sable, comme jadis. Depuis sept ans je n'ai été dans ce pays. J'en ai des souvenirs profonds : quelles mélancolies et quelles rêveries, et quels verres de rhum ! Je n'emporterai pas la Bovary , mais j'y penserai ;

plusieurs fois de modèle, notamment pour Femmes dans le jardin, peint vers la fin des années 1860. Ils déménagèrent dans une maison à Argenteuil, près de la Seine, après que lui et son épouse eurent eu leur premier enfant. Ils vécurent ensuite à Vetheuil où Camille décéda le 5 septembre 1879 ( il l'a peinte sur son lit de mort ). Monet déménagea alors dans une maison à Giverny en Haute-Normandie où il aménagea un grand jardin. En 1872, il peignit un paysage du Havre : Impression, soleil levant (

pour dégager la notion de leur couleur… » (Du côté de chez Swann) Le développement de la scène relève de la technique impressionniste. A lire ce passage on se croirait face à un tableau de Claude Monet qui pourrait être Le jardin de l’artiste à Vétheuil. RENOIR Autre artiste impressionniste aussi qui apparaît dans l’œuvre de Proust c’est Renoir. Proust parle d’un tableau de Renoir. Dans La Recherche du temps perdu, Renoir est beaucoup de fois mentionné. Dans Du côté de chez Swann, A l'ombre

réalisme et naturalisme Page 12 sur 19 - JONGKIND, Les Quais de la Seine et de la Cité (1852), La Seine et Notre Dame de Paris (1854). - C. MONET, Régates à Argenteuil (1875), Train dans la neige (1875), La Gare Saint Lazare (1877), La Seine à Vétheuil (1879). - VAN GOGH, La Chambre de Vincent à Arles (1889). Objets - VAN GOGH, Les Souliers, (1887). Sculptures - C. MEUNIER, Le Faucheur (bronze). Photographies - J.-A. MUENIER, photographies préparatoires pour les toiles Les Chemineaux, Aux

Plessis-Luzarches, Presles, Puiseux-en-France, Ronquerolles, Sagy, Saint-Cyr-en-Arthies, Saint-Gervais, Saint-Martin-du-Tertre, Saint-Witz, Santeuil, Seraincourt, Seugy, Survilliers, Théméricourt, Le Thillay, Us, Vallangoujard, Vaudherland, Vémars, Vétheuil, Viarmes, Vienne-en-Arthies, Vigny, Villaines-sous-Bois, Villeron, Villiers-le-Sec, Wy-dit-Joli-Village. 971 - Guadeloupe L'ensemble des communes du département. 972 - Martinique L'ensemble des communes du département. 973 - Guyane

série, ce n’est pas tant la ville qui retient son attention que les jets de fumée qui s’échappent des locomotives dans la lumière. Ces images de rues pavoisées le 30 juin 1878 marquent l’abandon des sujets parisiens. En 1879, Monet s’installe à Vétheuil et ne vient plus dans la capitale que de loin en loin, pour vendre ses toiles. Bientôt, installé à Giverny, à l’écart de la grande ville, il peint inlassablement son jardin. Mais, à la fin de sa vie, l’aventure des Nymphéas pour l’Orangerie le ramènera

CalaisJe n’arriverai jamais à dire Hauts-de-France J’en ai vu des bleds et des routes Moins des gens Dunkerque Saint-Valéry-en-Caux Fécamp Berck- sur-Mer La Roche-Guyon Étampes Trouville Verviers Westrozebeke et Ostende chez les cousins belges Vétheuil Vernon Verneuil-sur-Avre Beuvron-en-Auge Une France de sous-préfectures De places centrales avec des pavés et des maisons à colombage Des beffrois flamands Le souvenir des guerres Celle de Quatorze Passendale la Somme Péronne la course à la

rejoignent à Mantes. Flaubert et Louise Colet sont à Mantes : « Ah ! comme nous nous fondions bien ! comme je te regardais ! comme je te vois encore ! quelles étreintes de bras et quelle pénétration mutuelle de toute la pensée ! » Une promenade près de Vétheuil inspirera à Louise un poème. Flaubert quitte Louise Colet sur le quai de la gare de Mantes : « J’ai été me mettre sur le pont afin de revoir le train passer. Je n’ai vu que cela. Tu étais là-dedans ; j’ai suivi de l’œil le convoi tant que j’ai pu