Vétheuil

Argenteuil, un village au bord de la Seine près de Paris. Cet endroit est le cadre des plus fameuses oeuvres du mouvement impressionniste, peintes non seulement par Monet, mais aussi par d'autres parmi lesquels Manet, Renoir et Sisley. Monet déménage à Vétheuil en 1878, puis à Giverny, toujours au bord de la Seine mais à une centaine de kilomètres de Paris. Monet voyage aussi beaucoup se rendant à Londres et à Venise plusieurs fois, ainsi qu'en Norvège à l'invitation de la reine Chistiana  A partir

impressionniste (Paris, 1879) • Gustave Caillebotte : Vue de toits (Effet de neige), dit Toits sous la neige, 1878 • Edgar Degas : Portraits à la Bourse, 1878-1879 ; Portrait d’amis sur la scène (pastel) • Claude Monet : Vétheuil, vu de Lavacourt, 1879 ; Effet de neige à Vétheuil, ou Église de Vétheuil. Neige, 1879 ; La rue Montorgueil à Paris. Fête du 30 juin 1878, 1878 ; Les déchargeurs de charbon • Camille Pissarro : Chemin sous bois, 1877 ; PortMarly, le lavoir, 1872 ; Printemps. Pruniers en fleurs, dit

naturelle et changeante. Ils emménagent dans une maison à Argenteuil, près de la Seine, après la naissance de leur premier enfant.Ils ont deux enfants Jean Monet (né en 1867-mort en 1914) et Michel Monet (né en 1878-mort en 1966) Ils vivent ensuite à Vétheuil où Camille décède le 5 septembre 1879; il l'a peinte sur son lit de mort.En 1893, soit dix ans après son emménagement dans la maison, il crée le jardin d'eau avec son étang aux nymphéas. Il lui inspirera quelques-unes de ses toiles les plus connues

Gare Saint-Lazare" (1877) et "Rue Saint-Denis Festivités du 30 Juin 1878». Cependant ses toiles trouvèrent peu d'acquéreurs. Désespérément pauvre, il rechercha constamment des lieux où la vie fut moins chère et vécut à Argenteuil de 1873 à 1878, à Vétheuil de 1879 à 1881, à Poissy en 1882, et à Giverny de 1883 à sa mort. Monet perdit sa femme, Camille, en 1879 ("Camille Monet sur son lit de mort", 1879). DES JOURS MEILLEURS A GIVERNY A la fin des années 1880, ses œuvres commencèrent à attirer

1877, il commence la série des gares Saint-Lazare, peintes sous différents points de vue et sous différentes lumières. En 1878, nait son deuxième fils, Michel puis l’année suivante Camille décède le 5 septembre. Endetté, il quitte Argenteuil pour Vétheuil puis s’installe définitivement à Giverny .Il est alors âgé de 43 ans et décide d’aménager sa maison et un grand jardin floral. En 1891, il commence sa série des meules de foin jouant sur la lumière et en 1892 viendra le tour de la cathédrale de

Pompidou, musée national d’Art moderne – Centre de création industrielle. Achat de l’état, attribution 1956 Jean René Bazaine Bras de Seine à Giverny, 1885 Huile sur toile, 66 × 93 cm Paris, musée Marmottan Monet, inv.5175 Gerhard Richter Vétheuil dans le brouillard, vers 1879 Huile sur toile, 60 × 71 cm Paris, musée Marmottan Monet, inv. 5024 Ombre sur la mer, 1963 Huile sur toile, 89 × 146 cm Paris, Centre Pompidou, musée national d’Art moderne – Centre de création industrielle, prêt

toile | |de 1872 que Monet avait intitulée "Impression, soleil levant" et bien d'autres... Ernest Hoschedé, ruiné, s'enfuit | |en Belgique en 1877. Madame Hoschedé et Madame Monet décident de passer l'été ensemble en 1878, louant une maison à| |Vétheuil dont Claude Monet n'est absolument pas enthousiasmé. | | | |

Gare Saint-Lazare" (1877) et "Rue Saint-Denis- Festivités du 30 Juin 1878" .Cependant ses toiles trouvèrent peu d'acquéreurs. Désespérément pauvre, il rechercha constamment des lieux où la vie fut moins chère et vécut à Argenteuil de 1873 à 1878, à Vétheuil de 1879 à 1881, à Poissy en 1882, et à Giverny de 1883 à sa mort. |   | Gare Saint-Lazare 1877 Musée d'Orsay, Paris | Monet perdit sa femme, Camille, en 1879 ("Camille Monet sur son lit de mort", 1879). DES JOURS MEILLEURS A GIVERNY A la

joue la providence et lui achète des toile à 40, 50 francs pièce, en 1877. Il se passionne pour des thèmes inédits dont Turner lui avait peut-être donné l'idée : la gare Saint-Lazare, le Pont du chemin de fer à Argenteuil, les bords de Seine à Vétheuil, sacrifiant le sujet à l'étude des changements de la lumière. En 1883, il se retire à Giverny qui sera jusqu'à sa mort sa résidence préférée. A partir de 1890 et jusqu'à la fin de sa vue, il s'attache à quelques thèmes qu'il reprend inlassablement

-Manet : Le Balcon et Angelina -Cézanne : L’Estaque et Cour de ferme à Anvers -Renoir : Bal du Moulin de la Galette, La Balançoire, Etude : Torse de femme au soleil -Monet : La Gare Saint-Lazare (1872), Régates à Argenteuil 1872), L’église de Vétheuil (1879), Le Givre (1879), Un Coin d’appartement (1875), Le Déjeuner (1873), et les Tuileries (1876). III) Une œuvre majeure : les Raboteurs de parquet Pendant cette période d’agitation tournant autour du legs, le marchand-critique Durand-Ruel