Vicence

Beaumont-sur-Oise, Dormans, Épernay, Chalons, Vitry-le-François, Bar-le-Duc, Vaucouleurs, Domrémy, Mirecourt, Épinal, Plombières, Remiremont, Thann, Mulhouse, Bâle, Baden, Constance, Lindau, Augsbourg, Munich, Innsbruck, Bolzano, Trente, Vérone, Vicence, Padoue, Venise, Ferrare, Bologne, Florence, Sienne, Rome, Lorette, Ancône, Urbin, Florence, Lucques, Pise, Plaisance, Pavie, Milan, Turin, Lyon, Thiers, Clermont-Ferrand, Limoges, Périgueux, Mauriac, Montaigne ↑ Essais, III, 9, p. 1191 ↑ Le maire

fondé sur la perspective. La place est composée comme un tableau, où le point de vue de l'observateur est essentiel. On voit pointer ici la conception de l'espace public comme un espace théâtral, notion si féconde à l'époque baroque. Le théâtre de Vicence ne représente-t-il pas une ville avec ses rues en perspective ? Référence évidente à l'époque romaine et à Vitruve. Quant au tracé des rues, les tentatives de régularisation précédentes se font plus nettes et plus efficaces, sous l'impulsion des

diamant, ajoute cent lires au cent en jeu, garde le couteau et s’en va. « Dormir. Dormir seul. Seul jusque dans ses rêves. » « Une interminable plaine intérieure. » « Le lendemain, Mercadier quittait Venise sans avoir revu Francesca. » VII Padoue, Vicence (dix jours). « Sa force est pleinement dans le refus de ce qui n’est pas lui-même ; il traverse le monde sans s’y mêler. » Indifférent aux nouvelles de France. Puis s’enfuit à Vérone, « rien qu’à l’idée de Roméo et Juliette. » « Mercadier commençait

profondeur. Pour la duree de cette sensation, j'ai une idee de {'essence reelle des choses, de leurs proprietes les plus generales dont je suppose qu'elles resident au-dela de toutes les categories de la pensee. 4 Le theatre Renaissance de Vicence. Des gradins escarpes. Du bols use, une grande intimite. Un fort sentiment de I'espace, de I'intensite. « C'est si etonnant comme tout va ensemble, comme une main, si naturel», dit-elle. 72 Et plus tard, la villa sur la colline: un joyau qu'elle

importante, en tant que terrain d’expression plastique, que l’architecture sacrée, et cela jusqu’au XVIIIe siècle où le civil prendra le pas sur le religieux. * ANDREA PALLADIO (1508-1580) : formé comme tailleur de pierre dans un atelier de sculpteur de Vicence (son centre d’activité architecturale) et nommé «prote» en 1570 par la Sérénissime République de Venise comme surintendant des travaux publics à Venise. Son origine est obscure : il se donne vers 1540 ce nom de Palladio, serviteur de Pallas, la déesse

des vitraux de Brou; esquisses de consoles renversées d’Alberti, frises de voiles bombées, entrelacs de cordages du même, à Sainte-Marie-Nouvelle; colonnes annelées et appareillages rustiques d’Ammanati; fausse perspective du théâtre palladien de Vicence; escalier en fer à cheval de Fontainebleau; fenêtres centrales des palais jumelés du Capitole; dessins de coupoles de Léonard; ornements du Primatice et du Rosso à Fontainebleau; décor des architectures milanaises d’Alessi et même projets de frise

Mestre. Ainsi à la place d’une métropole hégémonique dominant un territoire, la Vénétie est restée un espace constellé par quelques villes de taille moyenne, Venise et Mestre donc, mais aussi d’autres centres historiques comme Padoue, Trévise et Vicence. À la fin des années 1980, quelques chercheurs, dont Francesco Indovina, découvrent que cet espace polycentrique s’est transformé. Loin de rester éclaté en de multiples territoires inféodés à chaque ville, il s’est progressivement unifié autour

couvent dominicain de Santa Maria delle Grazie avec «La Cène» de Léonard de Vinci 1982 Centre historique de Florence 1987 Venise et sa lagune 1987 Piazza del Duomo à Pise 1990 Centre historique de San Gimignano 1993 I Sassi di Matera 1994 Ville de Vicence et les villas de Palladio en Vénétie 1995 Centre historique de Sienne 1995 Centre historique de Naples 1995 Crespi d'Adda 1995 Ferrare, ville de la Renaissance, et son delta du Pô 1996 Castel del Monte 1996 Les trulli d'Alberobello 1996 Monuments

Découvrement de l’Inde supérieure faite par moi, Antoine Pigafetta Vincentin, chevalier de Rhodes. Le titre Premier voyage autour du monde fut donné postérieurement à cet ouvrage. Pigafetta, de famille noble originaire de Florence, est sans doute né à Vicence. Dans l’expédition, il est désigné comme étant « le Lombard » ; c’est l’écrivain du bord, chargé de tenir le journal ; il note ses observations sur les mœurs des habitants des terres découvertes, sur les « fortunes », c’est-à-dire les tempêtes

imprudente. On a proposé une allusion à Can Grande della Scala, à cause de ses relations avec le poète et de son nom (Can = Chien), cf. Vellutello en 1544 ; Giuseppe Todeschini, Del veltro allegorico della Divina Commedia, dans Scritti su Dante, Vicence 1872, vol. I, pp. 151-169 ; ou Ugoccione della Faggiuola, à cause d'une erreur (on le croyait né « tra Feltro e Feltro », comme le veut le poète, c'est-à-dire à Faggiuola, entre San Léo Feltrio et Macerata Feltria ; mais on s'est aperçu qu'il était