Victor-Emmanuel II

government and of attempts to impose illiberal laws. The following month King Umberto I was assassinated by an Italian anarchist, Gaetano Bresci, who had returned from the United States to “avenge” the victims of the 1898 repression. The new king, Victor Emmanuel III, favoured a return to constitutional government, as did the governments led by Pelloux’s successors, Giuseppe Saracco, Giuseppe Zanardelli, and Giovanni Giolitti, the last of whom was the most frequent holder of the office of prime minister

ouvriers et paysans ne vivant qu’avec difficulté de leur travail.   _ Les défaites militaires et les tensions sociales et politiques liées à la 1ère Guerre mondiale provoquent deux révolutions : * une révolution contre le pouvoir absolu du tsar Nicolas II : la révolution de février (23-28 février 1917). Elle amène au pouvoir des démocrates (mencheviks) désireux d’adopter le régime politique et économique des démocraties occidentales. * la révolution d’octobre porte le parti bolchevique de Lénine au

suffrage universel a pour fondement la théorie de la souveraineté populaire. Le suffrage universel est proclamée en France par la Constitution montagnarde de 1793, par celle de l’an VIII, puis de nouveau reconnu après la révolution de 1848, sous la II ème République. Il s’agit alors en fait d’un suffrage universel masculin. De plus, sous le Consulat et le second Empire (1852-1870), la liberté de vote fait l’objet d’importantes limitations, le suffrage des électeurs ne servant qu’à ratifier des listes

pouvoir du pape est confirmée avec le concile du Vatican de 1870 et l’infaillibilité papale. De plus le clergé sort grandi de la défaite, le peuple cherchant un appui dans la religion pendant les périodes de troubles. Et la prise de Rome par Victor-Emmanuel crée une véritable dévotion en la personne du pape Pie IX (un cardinal belge disait « je commencerais à douter si le pape n’est pas un ange du ciel ») 2) Commune et ordre moral >Malgré la grande influence de l’Eglise, elle fait l’erreur

En 1789, à Königsberg, en Prusse orientale, le philosophe Emmanuel Kant, apprenant la prise de la Bastille, commet l'audace d'interrompre sa promenade quotidienne, chose extraordinaire qui, dit-on, ne lui arriva en aucune autre occasion. Or, selon la morale kantienne, il faut et il suffit que chacun fasse librement son devoir propre à l'être raisonnable, qu'il l'accomplisse à la place qui lui est dévolue, si modeste soit- elle, pour que soient taries à leur source la violence et l'injustice

la création des Faisceaux de Combat (1919) : un parti révolutionnaire qui séduit autant les catégories modestes que les anciens combattants - la création du Parti National Fasciste (1921) - la "marche sur Rome" (1922) : Mussolini appelé par Victor-emmanuel III pour former un gouvernement - l'Allemagne : une situation explosive au sortir de la Première Guerre mondiale - un sentiment d'humiliation nourri par la défaite et le diktat de Versailles - une situation économique et sociale dramatique

Il se réclame de Barrès en art comme en politique. En 1917, il mène en parallèle des études de droit et de philosophie. Il participe aux manifestations patriotiques de la jeunesse barrésienne contre le défaitiste Caillaux au cours inaugural de Victor Basch en Sorbonne, mais s’intéresse malgré tout à la Révolution russe. En 1918, il est reçu au baccalauréat de droit, admissible en licence de philosophie, mais reste muet à l’oral : recalé. Il est mobilisé dans l’infanterie à Falaise, puis au

l’espace occidental : mise en place de la société seigneuriale et féodale, évolutions politiques, institutionnelles et religieuses, essor des villes et transformations sociales et culturelles. Bibliographie : - M. Kaplan, (dir.), Le Moyen Age, vol II, XIe-XVe siècles, Paris, Bréal, 1994. - D. Barthélemy, L’Ordre seigneurial (XIe-XVe siècles), Paris, Seuil, « Points Histoire », 1990. - F. Collard, Pouvoirs et culture politique dans la France médiévale (Ve-XVe siècle), Paris, Hachette, Carré Histoire

systèmes totalitaires A. Des sociétés bouleversées par la Première Guerre mondiale 1. Le renversement de la Russie des tsars En février 1917, une première révolution éclate menée par les bolcheviks qui sont des révolutionnaires modérés. Le tsar Nicolas II abdique. Les mencheviks installent un régime provisoire mai décident de poursuivre la guerre malgré l’hostilité de la population qui n’en peut plus (disette, moralité). En octobre 1917 une seconde révolution éclate. Elle est menée par Lénine et les

étude, menée principalement à partir de cartes, est l'occasion d'une réflexion critique sur les modes de représentations cartographiques » (B.O. spécial n°8 du 13 octobre 2011) Elisabeth LOTH, lycée Fernand Daguin à Mérignac Frédéric PINCHINAT, lycée Victor Louis à Talence Gironde, mai 2012. NOTE D’INTENTION : L’objet de ce diaporama n’est pas de proposer une séquence de cours « clé en main ». Il s’agit plutôt de proposer quelques jalons et éléments de réflexion sur les enjeux, difficultés et possibilités