Victor Hugo Aux Arbre

 Vivre en société : une séquence sur l’argumentation en classe de Première réalisée par Mme Flory, professeur agrégée au lycée Victor Hugo à Marseille Objet d’étude : L’homme dans les genres de l’argumentation du XVIème à nos jours Objectifs : travail transdisciplinaire avec le cours de SES sur la question de la socialisation ; travail sur la notion d’utopie ; études de textes argumentatifs de genre différents (apologues, essai, dialogue) et de différents procédés d’écriture propres

type du roman d’apprentissage, qui nous montre un héros se découvrant lui-même à mesure qu’il découvre la société. Comment l’amour se conjugue avec l’ambition. La Chartreuse de Parme (1839). La quête du bonheur en Italie, le pays des passions. *Victor Hugo : Notre-Dame de Paris (1831). Le roman est beaucoup plus riche et plus fort que les diverses adaptations récentes ! *Balzac : La Peau de chagrin (1831). Roman fantastique : un jeune homme romantique se fait remettre une peau magique, qui exauce

la plupart anciens et reliés, que j'ai découvert les grands textes de la littérature universelle, le Don Quijote illustré par Tony Johannot, La vida deLazarillo de Tormes ; TheIngoldsby Legends, Gulliver's Travels ; les grands romans inspirés de Victor Hugo, Quatre-vingt Treize, Les Travailleurs de la Mer, ou L'Homme qui rit. Les Contesdrôlatiques de Balzac, aussi. Mais les livres qui m'ont le plus marqué, ce sont les collections de récits de voyage, pour la plupart consacrés à l'Inde, à l'Afrique

III, 1. que Vinci copia sur la feuille de son Homme de Vitruve. Pour Vitruve, la personne formait la mesure de l'architecture, pour Vinci aussi, comme nous allons découvrir par la suite.

 
« L’Homme, le chiffre élu, tête auguste du nombre »
Victor Hugo, la « Légende des siècles »


 3 – Léonard, l´Hérétique ou la Quadrature du Cercle

 Les sculpteurs grecs considéraient que le corps humain était bâti selon la proportion dorée, considérée comme la plus harmonieuse qui soit.
Ainsi, dans leurs représentations

seul tout l’angle supérieur droit du tableau. Pour ce qui est du premier plan il se caractérise par cinq figures principales, séparées en deux groupes , un homme au regard terrorisé, dont la musculature est portée à rude épreuve, s’accrochant à un arbre mort sur le point de rompre et tenant sur son dos à la manière d’un cadavre, un vieillard tenant en main gauche une bourse, l’autre groupe est symbolisé par une femme rattaché à l’homme par son poignet droit que celui-ci tient fermement, elle est

rose10 Veni, vidi, vixi11 Melancholia12 Épitaphe18 A qui donc sommes-nous?19 On vit, on parle20 Préface :Les « Contemplations » de Victor Hugo, est un recueil de poésie, publié en 1856. Ce recueil regroupe 158 poèmes, eux mêmes rassemblés en 6 livres. Chacun de ses livres à un thème qui lui est propre : I. Aurore : Ce livre évoque la jeunesse de V. Hugo, ses souvenirs, ses premiers amours, ou le début de ses luttes littéraires. L'âme en fleur : Ce livre parle particulièrement d'amour

 www.comptoirlitteraire.com présente ‘’Les misérables’’ (1862) roman de Victor HUGO (1490 pages) pour lequel on trouve un résumé puis une analyse de : - la genèse (page 16) - l’intérêt de l’action (page 19) - l’intérêt littéraire (page 29) - la langue (page 29) - le style (page) - l’intérêt documentaire (page 71) - l’intérêt psychologique (page 87) - l’intérêt philosophique (page 109) - la destinée de l’œuvre (page 118) - des commentaires de passages (pages 125-) Bonne

 Texte 1 : Victor Hugo, "Préface" des Orientales, 1829 L'auteur de ce recueil n'est pas de ceux qui reconnaissent à la critique le droit de questionner le poëte sur sa fantaisie, et de lui demander pourquoi il a choisi tel sujet, broyé telle couleur, cueilli à tel arbre, puisé à telle source. L'ouvrage est-il bon ou est-il mauvais? Voilà tout le domaine de la critique. Du reste, ni louanges ni reproches pour les couleurs employées, mais seulement pour la façon dont elles sont employées. A voir les

l’ensemble au détail, de la surface à la profondeur, de la lettre à l’esprit. C’est bien cela qui s’appelle lire, lire afin de vivre et de posséder. On peut alors concevoir qu’il n’y a pas de frontière nette entre l’attention et l’imagination. Victor Hugo vante cette fixité calme et intériorisée des yeux qui, dit-il, dissipe les brouillards et dévoile les mystères. Rimbaud s’assigne la mission d’être un voyant. Quelle que soit la médiocrité prosaïque de nos moyens et de nos ambitions, cette leçon

beaucoup plus radicale dont attestent Une saison en enfer (1873) et Les Illuminations, Rimbaud demande à son ami de brûler les Cahiers de Douai. Ce dernier n’en fait rien et les poèmes seront publiés 17 ans plus tard. • Une poésie ambitieuse. Après Hugo qui « jette sa flamme / Sur l’éternelle vérité » et Baudelaire le déchif- freur d’« une forêt de symboles », Rimbaud empruntera le chemin d’Orphée (voir p. 321) et se fera « voyant » grâce à « l’alchimie du verbe ». À 20 ans, il renoncera à toute