Victor Noir

roman d’analyse comme La Princesse de Clèves, de Madame de Lafayette, s’intéresse à la psychologie des personnages. Le roman d’apprentissage du XIXe siècle suit l’évolution sentimentale, intellectuelle et sociale du héros (Stendhal, Le Rouge et le Noir, 1830). Le roman peut aussi étudier la société et les mœurs comme chez Balzac ou Zola. - D’autres romans privilégient les événements racontés. C’est le cas des romans historiques, des romans d’aventure, mais aussi des romans policiers ou de science-fiction

lecteur pense que c'est sa compagne. La dernière phrase apprend au lecteur que ce n'est pas sa femme mais sa fille, de sept ans. Il y avait quelques indices, l'auteur a donc finement manipuler le lecteur. L'effet de surprise est réussi. « L'Enfant » de Victor Hugo se termine aussi en une belle chute. Le narrateur propose un monde merveilleux à un enfant, mais celui-ci voudrait de la poudre et des balles. Le lecteur est donc choqué, c'est une mauvaise surprise. Dans un troisième temps, une fin imprévue

Magnard, Lycée, 2006 DIDEROT, Supplément au voyage de Bougainville, Pensées philosophiques, Lettre sur les aveugles, GF-Flammarion. Eugène IONESCO, Rhinocéros, Gallimard, Folio Plus Classique. MOLIÈRE, Le Tartuffe, Hatier, Classiques et cie, Victor HUGO, Quatre-vingt-treize, Gallimard, Folio Classique n°3513. Madame de La FAYETTE, La Princesse de Clèves, Hatier, Classiques & cie, n°14. II) LECTURES OBLIGATOIRES DE L’ETE Ces lectures feront l’objet d’un contrôle en début d’année scolaire

poète chilien Pablo Neruda est « Neftalí Ricardo Reyes Basoalto » . - Alekseï Maksimovitch Pechkov n’est que le nom réel du fameux écrivain russe soviétique connu Maxime Gorki. - Le romancier français « Marie-Henri Beyle »( auteur de LE ROUGE ET LE NOIR)est dit « Stendhal ». - Jean-Baptiste Poquelin n’était autre que Molière. II) Présentation structurelle de la nouvelle A/ Le Cadre 1. Cadre spatio-temporel a- Cadre spatial - Le cadre spatial de cette nouvelle est bien précis. - Dans cet ouvrage

qu'on en fera. Rire est un événement naturel de notre existence qui nous permet de vivre des émotions spontanées. Deux auteurs du XIX° siècle, Charles Baudelaire et Victor Hugo, s'interrogent sur la dualité humaine. Dans les extraits tirés de l'œuvre «De l'essence du rire » rédigé par Charles Baudelaire et « L'homme qui rit » de Victor Hugo, le rire apparaît comme « l'occasion de faire ressortir ce qui apparente l'homme au divin et au démoniaque ». Idée qu'illustre le film réalisé par Patrice Leconte

horriblement laids (Quasimodo de Notre Dame de Paris de Victor Hugo) 2. Certains romans présentent des personnages qui vont au bout de leur destin, par exemple en accomplissant des choix difficiles et acquièrent une certaine grandeur. Le romancier Georges Simenon dit : « Un personnage de roman, c’est n’importe qui dans la rue, mais qui va jusqu’au bout de lui-même ». On peut penser notamment à Jean Valjean, le personnage des Misérables de Victor Hugo. 3. Maupassant dans la Préface de Pierre et Jean

lettres de noblesse avec le début des sciences humaines : exploration personnelle -> romantisme, réalisme, naturalisme. On considéra le romancier comme un témoin de son époque. ← Chateaubriand : René ← Stendal : Le rouge et le noir ; La chartreuse de Parme ← Victor Hugo : Les misérables ; Le dernier jour d’un condamné ← de Balzac : Le père Goriot ; Peau de chagga ← Maupassant : Bel ami ; Pierre et Jean ; Une vie. C’est l’auteur le plus proche du roman moderne, ses visions ne sont pas sentimentales

Genres dominants : la poésie lyrique (Lamartine, Méditations poétiques, Musset, Les Nuits, Victor Hugo, Les Contemplations), le théâtre (Victor Hugo, Hernani, Musset, Lorenzaccio), le roman (Victor Hugo, Les Misérables, Notre Dame de Paris, Nerval, Les Filles du feu...). _ le réalisme vise la reproduction exacte de la réalité psychologique et sociale. Genre dominant : le roman (Stendhal, Le Rouge et le Noir, La Chartreuse de Parme), Balzac, l’ensemble de La Comédie humaine, Flaubert, L’Éducation

Paul  et  Virginie,  Don  Quichotte, Les Liaisons dangereuses, Werther, Les Affinités électives,  Clarisse  Harlowe,  Emile,  Candide,  Cinq­Mars,  René,  Les  Trois  Mousquetaires, Mauprat, Le Père Goriot, La Cousine Bette, Colomba,  Le Rouge et le Noir, Mademoiselle de Maupin, Notre­Dame de Paris,  Salammbô,  Madame  Bovary,  Adolphe,  M.  de  Camors,  L'Assommoir,  Sapho, etc., ose encore écrire : « Ceci est un roman et cela n'en est pas  un  »,  me  paraît  doué  d'une  perspicacité  qui  ressemble 

prise de distance par l’auteur. La présence de personnages caricaturaux serait ainsi révélatrice de cette distanciation de la réalité, ceux-ci jouant le rôle de miroirs délibérément teintés et donc faussés du réel. Dans Les Misérables par exemple, Victor Hugo dépeint une famille représentative de la médiocrité perverse et vulgaire de la misère. Ceux-ci ne font preuve à aucun moment de qualités rédemptrices : ils sont menteurs, fourbes et criminels dès le début du roman, exploitant sans pitié la pauvre