Vicus

peuplement » pour le territoire (selon Jean-Michel Desbordes, Directeur des Antiquités Historiques du Limousin -l’équivalent de la DRAC*-, dans l’ouvrage Millevaches, architectures du plateau et de ses abords – voir bibliographie en fin de mémoire-). Ce vicus* (gros bourg rural) se situe par ailleurs non loin de la grande voie romaine dite d’Hadrien*, reliant Lyon à Bordeaux et Saintes. Après les pistes antiques, reprises pour la plupart par les voies romaines, vient l’aire des routes royales (les fameuses

des Patois gallo-romans I (1887), 161-171, 264. 865.* H. D'ARBOIS DE JUBAINVILLE, Laurus, Lauracus, Laurius, Lauriacus. Rev. celtique XVI (1895), 129-134. 866. H. D'ARBOIS DE JUBAINVILLE, Noms celtiques dans les chartes de Néronville. Pennobrias vicus. Rev. celtique XVIII (1897), 245-248. Nemours. Pithiviers. Pennobriga. 867.* H. D'ARBOIS DE JUBAINVILLE, Noms de lieux français identiques au masculin singulier de gentilices romains en -ius. Rev. des Patois gallo-romans II (1888), 241-256 ; III

mainmise de l'aristocratie sur les pouvoirs locaux. Au delà des enceintes urbaines on ne trouve que des monastères, des basiliques, quelques agglomérats de population. Naissent ainsi les portus : quartiers à proximité de la mer ou d'un cours d'eau, les vicus : qui sont des quartiers extérieurs aux remparts, les burgus : petites agglomérations dans des espaces lâches ou à proximité immédiate de la ville. Mais ces établissements demeurent instables du fait de la situation et des sites incertains et beaucoup

vient au-dessus ce que César appelle la Civitas (= équivalent latin de la Polis grecque, l’Etat, la cité-état ; pour César, les tribus sont organisées en Civitas, en états). Sur le territoire de la Civitas, on trouve deux types d’habitations : le Vicus (= une ville ouverte, sur le même modèle que les grandes cités de l’Antiquité gréco-romaine) et, à côté de ces Vici, on trouve également l’Oppidum (des Oppida), qui est un lieu retranché, un site fortifié construit en haut d’une colline. Les romains

Sûre près de Wasserbillig ; une route joignait Metz à Trèves et passait par Thionville, Mondorf, Dalheim, pour rejoindre la voie Reims-Trèves ; enfin, le tracé qui reliait Reims à Cologne et traversait les villes d’Arlon (Orolaunum Vicus) et de Bitburg (Beda Vicus). Outre ces voies principales, il existait un réseau de voies vicinales qui reliaient redoutes, villas, fermes et autres établissements importants à la chaussée voisine. Ces diverticuli, connus dans le Luxembourg sous le nom de Kiem

de 2 sortes : les églises des vici et les églises des villaes. 1 – Les archiprêtres des vici Les ici sont des agglomérations à l'intérieur du diocèse. L'église du vicus est desservie par un prêtre qui a autorité sur les autres églises rurales. Il porte le nom d'archiprêtre ou parfois doyen. Pendant très lgtps l'église du vicus a eu le privilège des baptêmes. 2 – Prêtres des villaes ou gds domaines Dans chaque gd domaine, une église est construite par le ou les propriétaire(s). Ils ont le

retour, c’est qu’il n’exprime nullement un ordre qui s’oppose au chaos, et qui le soumette. Au contraire, il n’est pas autre chose que le chaos, la puissance d’affirmer le chaos. Il y a un point par lequel Joyce est nietzschéen: quand il montre que le vicus of recirculation ne peut affecter et faire tourner un «chaosmos». À la cohérence de la représentation, l’éternel retour substitue tout autre chose, sa propre chao-errance. C’est que, entre l’éternel retour et le simulacre, il y a un lien si profond

exacte de l’évêché d’Arisitum, qui change à plusieurs reprises de mains entre Wisigoths et Francs, sans compter les Arabes, entre le vie et le viiie siècle. On a pu établir de façon convaincante qu’il s’agissait de la ville du Vigan (du mot latin vicus), dans la partie nord-occidentale du diocèse de Nîmes (jusqu’à la petite ville de Meyrueis, aujourd’hui lozérienne, sur le versant océanique de l’Aigoual), auquel Arisitum a été rattaché, et de la région dite au Moyen Âge « terre d’Hierle » [5]. Cette

exacte de l’évêché d’Arisitum, qui change à plusieurs reprises de mains entre Wisigoths et Francs, sans compter les Arabes, entre le vie et le viiie siècle. On a pu établir de façon convaincante qu’il s’agissait de la ville du Vigan (du mot latin vicus), dans la partie nord-occidentale du diocèse de Nîmes (jusqu’à la petite ville de Meyrueis, aujourd’hui lozérienne, sur le versant océanique de l’Aigoual), auquel Arisitum a été rattaché, et de la région dite au Moyen Âge « terre d’Hierle » [5]. Cette

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