Vie Associative

nécessairement une signification à ce qui se déroule devant nos yeux, au point d'assimiler le résultat du fonctionnement de la nature à une finalité morale. Ainsi prenons l’exemple suivant : imaginons qu’une personne créé un objet complexe qui révolutionne la vie d’une société, alors la créativité de cette personne, qui ora usée d’imagination et d’intelligence peut être remis à la nature, celle-ci qui est à l’origine de l’homme, et à l’origine de l’intelligence. La nature a permis aux êtres vivants d’avoir un

copie pas la vie. Je dresse un bilan des valeurs humaines», affirmait Duane Hanson. Stimulé par le pop art, en particulier par le travail de George Segal, ce sculpteur américain hyperréaliste, né en 1925 dans le Minnesota, a élaboré tout au long de son œuvre une analyse critique des injustices de la société américaine. Le Musée d’Ixelles lui consacre une belle exposition, en collaboration avec l’Institute for Cultural Exchange et la famille Hanson. Humaniste, Duane Hanson a consacré sa vie à détourner

aérienne : 1) Un univers infini : 2) Supériorité du poète : B) L’art poétique : 1) Noblesse et pureté de forme : 2) La noblesse du poète : 3) La liberté poétique de Baudelaire : III) Le spleen de Baudelaire : le poète dans la vie : A) Réalisme et réalité : 1) Une civilisation hostile : 2) Capture et environnement : 3) Mal universel : B) Fatalismes et regrets : 1) Un idéal impossible à atteindre : 2) Un voyage vers la mort : C) Le poète marginale et exclu :

f i c h e t e c h le sol : un milieu de vie définition Le sol se situe dans la biosphère à l’interface de la lithosphère et de l’atmosphère. Il est le résultat de la dégradation de la matière organique (d’origine végétale et animale) provenant de la surface et de la matière minérale ayant essentiellement pour origine la roche-mère qui le supporte. rôle Le sol est le support sur lequel vivent et se déplacent les êtres vivants aériens. Les végétaux y puisent

» en tant qu'être intelligent, c'est à dire rationnel et raisonnable. A sa naissance, l'homme fait partie d'une société, maisest-il réellement fait pour y vivre ? On peut alors se demander ce qu'on entend par le verbe vivre. Vivre signifie être en vie. Ainsi, la société permet-elle à l'homme d'exister comme l'entend le motvivre ? La société est souvent définie comme un regroupement d'individualités, structuré par des liens de dépendance réciproque et évoluant selon des schémas réglés. Cette définition

 ISLAM : LA SPLENDEUR DU TRÔNE D'ALLAH. Au commencement il y eut l’eau. Et l’eau était agitée de mille petits mouvements. Et il lui fut ordonné de cesser de remuer. Ce fut alors une eau claire et sans écume. Sur l’eau fut installé le trône du Créateur, fait d’une substance verte dont la beauté, l’immensité et l’éclat sont indescriptibles. Soixante-dix mille langues sont attachées au trône et y louent le Créateur en une multitude de langages. Allah fit

génie de l'homme. Vive ce génie qui permet à l'homme de mettre à sa portée des connaissances qui lui ouvrent les portes de l'univers. Mais la science est maudite par desgens qui trouvent que son progrès va sans doute détruire la terre et déforme la vie humaine; alors ils regrettent la terre vierge qui n'était pas encore souillée par les griffes de la science. C'estainsi que le progrès scientifique se pose comme un sujet paradoxal : le progrès scientifique et technique est-il à l'avantage de l'homme

élément nécessaire à l’homme s’il semble maître et responsable de ses actes. Il énonce sa thèse en démontrant qu’elle réside dans le fait de ne pas déshonorer son humanité. On observe deux genres d’argumentation dans ce texte. La première étant que la vie humaine n’a de valeur que si nous ne déshonorons pas notre humanité : « offre son corps à la malice d’autrui pour en retirer un profit ». La seconde étant de ne pas sacrifier sa dignité. Pourquoi un individu renoncerait-il à sa liberté ? Sous quelle

données du débat se sont modifiées depuis Descartes. D'une part, le courant spiritualiste, qui remonte à Aristote, s'est perpétué dans la science et la philosophie modernes sous la forme de ce qu'on appelle le vitalisme. Il consiste à attribuer la vie non pas à l'âme, mais à une force vitale, ou encore à un élan vital, comme le dit le philosophe Bergson (1859-1941). Notons ici qu'il existe aussi une version récente du vitalisme, ou néovitalisme, qui suppose l'existence d'une « idée directrice »

des thèmes qui tiennent le plus à cœur à ces poètes du Siècle d'Or (Siglo de Oro) est celui de la fragilité de la vie face à la mort. L'image de la flore comme symbole du passage du temps est devenue un lieu commun : son caractère éphémère est souligné à tout moment dans les œuvres des grands auteurs tels que Garcilaso de la Vega. La vie humaine est représentée à travers le cycle de vie d'une fleur, le passage du temps est associé à l'idée de la fanaison et la mort à celle de la stérilité. Dans le