Vie extraterrestre

mélancolique d'une femme agée au soir et de ses occupations. La fait que l'action se déroule le soir vient insister sur la vision du futur dans laquelle on est projeté, le soir signifie la fin de la journée tout comme la vieillesse renvoie à la fin de la vie. On remarque alors une figure d'insistance sur la finalité. Dès les premiers vers on nous met dans une atmosphère de nostalgie par la description du portrait d'une femme seule qui, perdue dans ses songes, se remet à penser à son jeune temps. Les souvenirs

escarpées comme le montrent les termes « écume de la mer » (v.1) ; et « flots destructeurs » (v.9), « brouillard » (v.4) et « vent » (v.8), « gouffre » (v.2), « pis » (v.3) et « hauts caps » (v.9), « glace » (v.11) et « neiges » (v.12). Toute forme de vie paraît à première vue bannie : « monde mort » (v.1), « gouffre d’ombre stérile » (v.2). 2/ Les « personnages » Ce n’est qu’à la fin du poème que surgissent les « personnages » attendus : les « grands ours » (v.12). Ils sont saisis dans un

une chose, il n’a pas les propriétés d’une chose. Peut-être est-ce d’ailleurs pour cela qu’il intéresse autant les scientifiques ? Dans le vivant on retrouve effectivement la notion de vie. La vie, c’est le fait de se nourrir, de croître, et de dépérir par soi-même. L’être vivant fait tout pour se maintenir en vie. Pour cela, Aristote supposait l’existence de quelque chose « comme » une âme. La matière est en effet aveugle, elle n’a pas d’intelligence, pas de mémoire. On ne peut donc comprendre,

l’accent sur la distinction matière vivante et inerte, qui ne suppose pas de saut fondamental. Conséquences : les animaux n’ont pas d’âme ; un être vivant n’ayant rien de spécifique, on ne voit pas en quoi on pourrait bien alors parler de « droit à la vie ». On peut faire ce qu’on veut d’un animal ! Validité : Au sens logique il faut distinguer la vértité d’une proposition, qui consiste dans l’accord entre ce qu’ele énonce et les faits qui la vérifient, et la validité d’un raisonnement, qui ne concerne

78h pdt 36 semaines Période 1 Septembre-octobre 15 séances Période 2 Novembre-décembre 13 séances Période 3 Janvier-février 16 séances Période 4 Mars- avril 12 séances Période 5 Mai-juin 16 séances CE2 - Circuits électriques alimentés par des piles. - Règles de sécurité, dangers de l’électricité. - L’évolution d’un environnement géré par l’homme : la forêt ; importance de la biodiversité. - Les stades de développement de l’arbre 1 : carte d’identité. (Photo d’un arbre en octobre)

chacun aprehende la mort de la meme façon, Marc Gendron est de ceux qui distingue les hommes et les femmes sur ce sujet la « La femme ne s'exalte pas, comme l'homme, face a la mort. Parce qu'elle donne la vie, elle accepte aussi la mort ». On peut aussi constater qu'il y a un lien étroit entre la vie et la mort. Guillaume Appolinaire y fait d'ailleurs référence dans « Cortèges » où il exprime la mort d'un oiseau auquel nous nous identifions sans peine, dans le dernier verset est ecrit « Rien n'est mort

adaptations, les graines plumeuses (peuplier), les graines à aigrettes (pissenlit). L'anémochorie est un moyen de dissémination très efficace. Le premier organisme vivant retrouvé après l'éruption volcanique d'un ilot, devenu complètement dépourvu de vie) était une petite araignée disséminée par anémochorie. Sur des supports peu rugeux, des espèces sont roulées sur le sol. Hydrochorie = dissémination par l'eau. La graine ou la plante est transportée par l'eau. Ce moyen de distribution touche

Texte de Eric Weil « Logique de la philosophie » L’idée essentielle est que l’Homme ressemble à l’animal. Ils ont quelques besoins en commun mais n’ont pas pour autant la même façon d’y répondre, car l’Homme a le langage en plus de l’animal. Etape 1 (ligne 1 à 3) : les besoins en général de l’homme La fonction de cette étape première est de donner la place de l’Homme et de ses besoins. Lorsque Weil commence sa première phrase par l’homme il faut qu’on comprenne qu’il parle de tous les personnes

Ferry distingue trois formes d'écologie, dont les fondements et les implications diffèrent. L'écologie superficielle est pour la protection de la nature, mais seulement pour préserver l'homme. La nature n'est prise en compte qu'en tant que cadre de vie de l'être humain, et non pour elle même. Le mouvement de « libération animale » prend en compte la quantité de souffrance. Tous les êtres dont il est scientifiquement prouvé qu'ils puissent éprouver du plaisir ou de la souffrance ont des intérêts –

* homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. * besoin : Ce qui est nécessaire à l'existence, à la conservation ou au développement d'un être vivant. En dehors