Vie religieuse

PARTIE 1 : LA TERRE DANS L’UNIVERS, LA VIE ET L’EVOLUTION DU VIVANT L’histoire de la terre s’inscrit dans celle de l’univers et plus précisément dans celle du système solaire. Cependant, il semble, en l’état actuel des connaissances, que la vie ne se soit développée que sur cette planète, grâce à certaines particularités qui lui sont propres. Par ailleurs, malgré leur apparente diversité, les êtres vivants qui peuplent cette planète présentent une certaine unicité tant sur le plan structural que

apparaît dans la conclusion des propos de Micromégas (L.4 à 5) avec une litote "personne ne m'a donné des nouvelles positives de ce pays-là". Le dialogue au style direct des (L.7 à la fin) a pour sujet la durée de la vie variable selon les mondes. Voltaire s'amuse à imaginer des durées de vie hyperbolique sur certaine planéte qui sont pourtant, percus par leurs habitants, éphémères. La fantaisie propre au conte apparaît encore dans l'expressio de la modalisation ironique (L.9 à 10) "nous ne vivons que

Introduction Toutes les espèces vivantes actuelles et fossiles ont pour ancêtre commun les premières formes de vie apparues sur Terre et sont donc plus ou moins étroitement apparentées. De façon continue au cours de l'histoire de la vie, des espèces préexistantes ont disparu et d'autres sont apparues. Ce renouvellement permanent a assuré une diversification des formes de vie, ce qui a incité les chercheurs à tenter d'établir des relations de parenté entre les espèces.Nous allons préciser selon quels

« Te crois-tu seul pensant / dans ce monde où la vie éclate en toute chose ? » Cette phrase interrogative semble avoir un ton de reproche tandis que le fait qu’elle soit une question destinée aux lecteurs laisse à penser que l’auteur cherche à faire réfléchir les Hommes sur leurs conditions de vie parmi les autres espèces, les autres « choses ». Le terme « éclate » donne un effet d’impact, d’action vive qui insiste sur la thèse de l’auteur : la vie est partout. Il s’agit d’une hyperbole. - « Des

L'écologie est au sens large le domaine de réflexion qui a pour objet l'étude des interactions, et de leurs conséquences, entre un individu (isolé et/ou en groupe social constitué) et le milieu biotique et abiotique qui l'entoure et dont lui-même fait partie ; les conséquences étant celles sur le milieu, mais aussi celles sur l'individu lui-même. Cette acception générale (dite « large ») fait de l'écologie un domaine de réflexion très vaste, puisque par biotique il faut entendre la totalité du

•homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. •besoin : Ce qui est nécessaire à l'existence, à la conservation ou au développement d'un être vivant. En dehors

Ombres anciennes et vénérables qui survolez la nuit ce lac, endormez-vous et faites que nous rêvions de ce qui arrivera dans deux cent mille ans. Dans deux cent mille ans il n’y aura rien du tout. Les hommes, les lions, les aigles et les perdrix, les cerfs à cornes, les oies, les araignées, les poissons silencieux, habitants des eaux, les étoiles de mer et celles qu’on ne peut voir à l’oeil nu, bref, toutes les vies, toutes les vies, toutes les vies se sont éteintes, ayant accompli leur triste cycle…Dans

salinité, conditions anoxiques des eaux. Les changements climatiques globaux (refroidissement / réchauffement) rythment la vie sur Terre. Enfin, les impacts de météorites de grande taille ont des conséquences à l’échelle de la planète. Une conjugaison d’effets : C’est cette conjugaison d’effets qui permet d’atteindre un seuil critique au-delà duquel les conditions de vie sont limites ; alors, l’extinction survient brutalement et massivement.

horizons moraux chez l’homme moderne. En effet, ce penseur affirme que l’individualisme, en supprimant les hiérarchies sociales, a amené les gens à se replier sur eux-mêmes tout en supprimant du même coup le sens que l’on donnait «  au monde et la vie sociale ». La primauté de la raison instrumentale est un autre malaise de la modernité. Taylor entend par raison instrumentale le fait que nous utilisons les moyens les plus simples afin de parvenir à une efficacité maximale. Cette primauté de

Tout ce que nous avons aujourd'hui devant nous de civilisation humaine, de produits de l'art, de la science et de la technique est presque exclusivement le fruit de l'activité créatrice des Aryens. Ce fait permet de conclure par réciproque, et non sans raison, qu'ils ont été seuls les fondateurs d'une humanité supérieure et, par suite, qu'ils représentent le type primitif de ce que nous entendons sous le nom d'« Homme ». L'Aryen est le Prométhée de l'humanité ; l'étincelle divine du génie a de tout