Vie sauvage

autochtone qui dénonça de manière virulente les méfaits des comportements européens à l’égard des des indigènes de Tahiti, vivant en accord parfait avec la nature, et dont les valeurs qui fondent leur société ont été perverties par l’intrusion du mode de vie européen. Ce discours est ensuite complété par une réflexion approfondie sur le heurt de deux civilisations qui se trouvent à un degré différent d’évolution. Deux personnages sont alors introduits : un Tahitien nommé Orou et l’aumônier de l’expédition

moralité et le caractère universel de la morale. A et B approuvent les mœurs tahitiennes et remettent en cause la civilisation qui assujettit les hommes à des lois artificielles, arbitraires et contradictoires. Puis ils revisitent les conventions de la vie amoureuse instituées par le code civil et le code religieux au regard du code de la nature : le mariage, la galanterie, la coquetterie, la constance, la fidélité, la pudeur. Parmi les figures des Lumières à avoir critiqué l’esclavage et la colonisation

Terre. On constate également d'autres oppositions, cette fois-ci lexicales, notamment lorsqu'il dit de la ligne 12 à 13 « […] les vastes forêts se changèrent en des Campagnes riantes ». Rousseau oppose la forêt sauvage aux « Campagnes riantes » dans une opposition sémantique car pour lui « sauvage » est une caractéristique positive, et « riantes » est une antiphrase au contraire de ce que pense les gens du commun. De surcroît, Rousseau fait de son discours, un récit étiologique. En effet, ce dernier

INTRO TEXTES DE FRANCAIS Voyage autour du monde, BOUGAINVILLE Au XVIII siècle naît un mythe du bon sauvage, lié à une thèse, exprimée par J.J ROUSSEAU. L'homme est né bon mais la société l'a corrompu. Le fameux bon sauvage va représenter un état d'innocence et de vertue naturelle qui s'oppose à la et corruption et au vice de la société de l'époque. Alimenté par les récits de voyage qui permettent de décrire des civilisations primitives, des peuples qui vivent encore dans le fameux état de nature

l’Eglise (attention : on ne remet pas en cause Dieu lui-même). On a notamment l’apparition du protestantisme : les idées avancent. Mythe du bon sauvage : on découvre des populations primitives, qui vivent heureuses grâce à leur accord avec la nature. Certains mots ne sont pas connus de ces primitifs : meurtres, jalousie. Ne serait-ce pas nous les sauvage ? XVIème : La Pléiade Le sonnet Italien (Pétrarque) est repris en France. On a également l’apparition de lyrisme : expression des sentiments

classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme. Chantre de la "modernité", il occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil certes bref au regard de l'œuvre de son contemporain Victor Hugo, mais qu'il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du Mal. Parfum exotique est le premier poème de la section Spleen et idéal dans Les Fleurs du Mal, aux éditions de la Pléiade. Ce sonnet est consacré à Jeanne Duval, la « Vénus noire », la maîtresse de Charles Baudelaire rencontrée

Biographies: Baudelaire Né à Paris, 1821 – 1867 Poète du XIX°, marqué par des relations conflictuelles avec sa famille, surtout sa mère. Provocateur, mène une vie dissolue. Plusieurs femmes marquent sa vie, inspirent de nbeux poèmes dans les Fleurs du Mal,1857. Recueil de toute une vie, rassemble poèmes de 1841 à 1857, certains condamnés et retirés. Nouvelle édition en 1861. Définitive, construite en 6sections, la principale est «Spleen et idéal», titre révélant une contradiction et 2tendances

son essor dés le XVIéme siècle et notamment avec la découverte des nouveaux continents et de nouveaux individus. On pourrait donc se demander I) LES FACTEURS DE LA MONTEE DES DIVERSITES CULTURELLES Découverte du nouveau monde mythe du bon sauvage (INFERIORITé des autres) ETHNOCENTRISME Refutation des thèses elitistes. Declaration des droits de l'homme persecutions des juifs 39/45 manque de tolerance.... dangereux Il semblerait qu’il soit nécessaire de préserver et même de défendre la

oiseaux du ciel, les bestiaux, toutes les bêtes sauvages et toutes les bestioles qui rampent sur la terre. » « Dieu créa l'homme à son image, À l'image de Dieu il le créa, Homme et femme il les créa. »[2] Dans la seconde version, la femme fut bâtie de la côte prise d'Adam: « Alors Yahvé Dieu modela l'homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l'homme devient un être vivant [...].

à la vie sociale, d’être en contact avec d’autre et de se rendre utile ce qui permet d’accéder au bonheur. La société qui permet ce travail humanise donc l’homme car il permet l’épanouissement de l’individu. Après, grâce à l’éducation, l’homme est humanisé. En effet, la société et l’éducation font de l’homme quelqu’un de digne, de responsable, de raisonnable car elles lui apprennent à réfléchir. L’éducation va diminuer la violence naturelle et l’égoïsme. Le cas des enfants sauvages illustre