Vieille brune

les salua ». • L’anonymat de cette collectivité permet au lecteur d’en comprendre la portée plus générale : Oran symbolise toute la ville moderne et les Oranais toute communauté humaine. • Telle est la signification de la réflexion du vieil Espagnol (l’un de ses patients auquel il vient de rendre visite) que se remémore Rieux : « Le vieux avait raison, les hommes étaient toujours les mêmes ». • Aussi le propos du texte évolue-t-il vers une généralisation « la ville, « les hommes »

mendiante rousse.....................................121 LXXXIX. – Le Cygne ............................................................... 123 XC. – Les sept vieillards ...........................................................125 XCI – Les petites vieilles ..........................................................127 XCII. – Les aveugles................................................................ 130 XCIII. – À une passante ........................................................... 131 XCIV. –

................................70 LXXXIX. – Le Cygne.......................................................................... 71 XC. – Les sept vieillards ....................................................................73 XCI – Les petites vieilles....................................................................75 XCII. – Les aveugles .......................................................................... 77 XCIII. – A une passante.....................................................

mendiante rousse.....................................121 LXXXIX. – Le Cygne ............................................................... 123 XC. – Les sept vieillards ...........................................................125 XCI – Les petites vieilles ..........................................................127 XCII. – Les aveugles................................................................ 130 XCIII. – À une passante ........................................................... 131 XCIV. –

croisées (ABAB). C'est un poème se rapprochant de l'érotisme pour certaines critiques. Il décrit la beauté de la femme. La description n'en est pas moins charnelle. La Maline Dans la salle à manger brune, que parfumait Une odeur de vernis et de fruits, à mon aise Je ramassais un plat de je ne sais quel met Belge, et je m’épatais dans mon immense chaise. En mangeant, j’écoutais l’horloge, - heureux et coi. La cuisine s’ouvrit avec une bouffée,

illustrer ce bonheur, le récit passe ensuite au rôle du décor, d’abord généralisé, « tout ce qui nous environne », puis par une énumération précise du décor de la mansarde où vit le héros : « Le bureau chétif sur lequel j’écrivais, et la basane brune qui le couvrait, mon piano, mon lit, mon fauteuil, les bizarreries de mon papier de tenture, mes meubles », jusqu’au plus petit détail, « une moulure déjetée », c’est-à-dire la courbe d’une boiserie. Mais ce cadre réaliste subit une métamorphose

selon les codes en usage). | Femme d'honneur, femme de bien (jugée positivement sur le plan moral).  Fam. | Une femme comme il faut*.  46  (…) elle a presque l'air d'une femme comme il faut, en n'étant qu'une femme comme il en faut. Balzac, la Vieille Fille, Pl., t. IV, p. 332.  (Style de vie). | Femme libre, active, affranchie (cit. 4). — Femme moderne. | Femmes d'aujourd'hui. | Une femme de l'ancienne génération, conservatrice*. | Le monde des femmes qui prennent du tabac. → Platitude, cit

(p. 53). Nommez les personnages invités à ces soirées. Les « réceptions du jeudi », qui réunissent l'ancien commissaire de police Michaud. Son fils Olivier, commis principal dans le bureau de l'ordre et de sûreté, et sa femme Suzanne. Grivet, vieil employé du chemin de fer d'Orléans. Un personnage se distingue dans ses soirées. Lequel et pourquoi ? Grivet, par ses plaisanteries lourdes, ses allusions grivoises. Quel jeu de société ponctue ces soirées ? Les dominos. « Parfois, des hallucinations

vitales de l’amant, et le lie à la chair « comme le forçat à sa chaîne » (Le vampire). Dans A une madone, c’est la même figure féminine qui inspire adoration mystique et sadisme. Paris, « où tout, même l’horreur, tourne aux enchantements » (Les petites vieilles), est à la fois « l’immonde cité », capitale de la déchéance, et le théâtre de l’inattendu, parfois sublime (Le spleen de Paris). C’est à la langue anglaise, bien connue de Baudelaire, traducteur d’E. A. Poe, qu’est emprunté le terme « spleen »

longueur du passage, s’étend une muraille contre laquelle les boutiquiers d’en face ont plaqué d’étroites armoires ; des objets sans nom, des marchandises oubliées là depuis vingt ans s’y étalent le long de minces planches peintes d’une horrible couleur brune. Une marchande de bijoux faux s’est établie dans une des armoires ; elle y vend des bagues de quinze sous, délicatement posées sur un lit de velours bleu, au fond d’une boîte en acajou. Au-dessus du vitrage, la muraille monte, noire, grossièrement