Vieille brune

Presse encor son amant, En s’endormant ; Et Narcissa, la folle, Au fond de sa gondole, S’oublie en un festin Jusqu’au matin. Et qui, dans l’Italie, N’a son grain de folie ? Qui ne garde aux amours Ses plus beaux jours ? Laissons la vieille horloge, Au palais du vieux doge, Lui compter de ses nuits Les longs ennuis. Comptons plutôt, ma belle, Sur ta bouche rebelle Tant de baisers donnés… Ou pardonnés. Comptons plutôt tes charmes, Comptons les douces larmes, Qu’à nos yeux

“entre Mathilda May et LaetitiaCasta...” donc une brune pour une blonde !!! Cette blonde/brune se nourrit du Marseille des années 30, de Pagnol, de Marius et César, du Bar de la Marine, des Calanques et des pointus... Bref, cette bière a l’accent de chez nous et parle le marseillais couramment. La Cagole surfe sur les tendances du moment. D’un côté le rétro et l’authentique, de l’autre le “Made in Marseille”. (Cf. pages 10 et 11) La vieille Juvaquatre, le pack de 6 (imaginé par Richard Campana

goût pieux, l’étroite et modeste pièce avait une apparence de chapelle. Des images du Sacré-Cœur de Jésus, du Sacré-Cœur de Marie, de Saint Joseph, de Saint Louis de Gonzague et de Saint JeanBaptiste étaient épinglées aux murs. Sur la haute commode brune, recouverte de toile blanche, des branches fleuries de pruniers, placées dans des vases en porcelaine, de chaque côté d’une statuette de la Vierge, répandaient un délicat parfum. On aurait cru qu’un vol de séraphins venant des jardins célestes avait

les dévots, les lecteurs délicats et simples lecteurs ? BILAN : Cette œuvre propose, avant même que l’on commence à la lire, une énigme : laquelle ? du 3 août 17** au 1er septembre 17** « il n’aurait jamais fait ce mariage, si elle eût été brune, ou si elle n’eût pas été au Couvent. Prouvons-lui donc qu’il n’est qu’un sot » 7. Présentation des personnages Les personnages sont construits sur des stéréotypes et par opposition : manipulateur / manipulé ; libertins / dévot (ou naïf) ; homme

claire et plus pâle que les brunes traditionnelles. Le goût de cette bière se rapproche plus d'une brune mais sa couleur rappelle plus une pils. Spéciales5 : Dans les spécialités, nous retrouvons les bières inclassables dans les autres catégories. En général, ce sont des bières du terroir attachées à une ville ou une région. Les spécialités sont généralement des bières de haute fermentation, blonde brune ou ambrée, forte ou légère,... Bref, il y’en a pour tout les goûts ! Trappistes6 : Il n'existe que

des cris joyeux Entremêlés de ritournelles, Avec des lieds joyeux Elles passaient, la gloire au yeux, Sous le frisson des tonnelles, Comme en les villanelles 18 Cependant que venaient, du fond de la villa, Des accords de guitare ancienne, De la vieille villa, Et qui faisaient deviner là Près d’une obscure persienne, Quelque musicienne. Mais rien n’est plus amer que de penser aussi À tant de choses ruinées ! Ah ! de penser aussi, Lorsque nous revenons ainsi Par des sentes de fleurs fanées, À nos

accompagné le Petit à la boulangerie. Un chien épileptique, sa langue pendait sur le côté. La plaque de verglas ressemblait à une carte d’Afrique et recouvrait toute la surface du carrefour que la vieille dame avait entrepris de traverser. Oui, sur la plaque de verglas, il y avait une femme, très vieille, debout, chancelante. Elle glissait une charentaise devant l’autre avec une millimétrique prudence. Elle portait un cabas d’où dépassait un poireau de récupération, un vieux châle sur ses épaules

embaumée,La Vanina pâméePresse encor son amant,En s’endormant ; Et Narcissa, la folle,Au fond de sa gondole,S’oublie en un festinJusqu’au matin. Et qui, dans l’Italie,N’a son grain de folie ?Qui ne garde aux amoursSes plus beaux jours ? Laissons la vieille horloge,Au palais du vieux doge,Lui compter de ses nuitsLes longs ennuis. Comptons plutôt, ma belle,Sur ta bouche rebelleTant de baisers donnés…Ou pardonnés. Comptons plutôt tes charmes,Comptons les douces larmes,Qu’à nos yeux a coûtéLa volupté

ennuis, de mes dégoûts, de mes détresses ! Si que me voilà seul à présent, morne et seul, Morne et désespéré, plus glacé qu’un aïeul, Et tel qu’un orphelin pauvre sans sœur aînée. O la femme à l’amour câlin et réchauffant, Douce, pensive et brune, et jamais étonnée, Et qui parfois vous baise au front, comme un enfant ! Marie, vous avez la joue aussi vermeille de Pierre de RONSARD Issue du recueil « Les Amours », Pierre de Ronsard décrit ici son amour à Marie une jeune paysanne. On peut

rencontre est celle de la «femme du Vittoria 2004», un bateau qu’il avait intercepté au large des côtes italiennes quelques années auparavant. «Il la regarda avec une sorte d’appréhension. Il sentait que le moment de la surprise était proche». Elle est brune, la peau mate, yeux noir, visage sans expression . Il va faire rentrer la femme , et celle-ci va lui raconter la traversée éprouvante qu'elle a fait avant qu'ils les sauvent. Il apprend alors qu'elle avait un enfant de 11 mois sur le bateau, les équipages