Village gai

L’exploration de la mémoire devient une quête du moi. La mémoire affective transforme le pays natal en un paradis, mais l’auteur a conscience que c’est un paradis perdu que la narratrice fait revivre le temps d’une lecture. Colette demeure très attachée au village de son enfance, comme l’atteste l’affectivité du style, mais une distanciation s’est produite : la romancière établit clairement une différence entre le temps évoqué et celui de l’écriture. L’appel aux souvenirs n’est plus seulement la recherche d’un

leur montrer avant sa mortQue le travail est un trésor. 1668. Jean de LA FONTAINE   (1621-1695). Recueil : Premier recueil des Fables de La Fontaine. Troisième poéme : L'enfant et le miroir.Fable VIII, Livre II.Un enfant élevé dans un pauvre village Revint chez ses parents, et fut surpris d'y voir Un miroir. D'abord il aima son image ; Et puis, par un travers bien digne d'un enfant, Et même d'un être plus grand, Il veut outrager ce qu'il aime, Lui fait une grimace, et le miroir la rend. Alors

servante , qui se montre maladroite , des Grieux s’aperçoit que M. de B., fermier général âgé et riche , vient de quitter furtivement leur logis. Le soir même, pendant le souper, des Grieux espère des explications spontanées de Manon. Il se montre gai et a toute confiance en sa maîtresse. Mais Manon fuit les questions et éclate en sanglots. On entend alors des pas dans l’escalier. Quelqu’un frappe à la porte. Après avoir offert un baiser à son amant, Manon s’esquive. Ce sont les laquais de son père

servante , qui se montre maladroite , des Grieux s’aperçoit que M. de B., fermier général âgé et riche , vient de quitter furtivement leur logis. Le soir même, pendant le souper, des Grieux espère des explications spontanées de Manon. Il se montre gai et a toute confiance en sa maîtresse. Mais Manon fuit les questions et éclate en sanglots. On entend alors des pas dans l’escalier. Quelqu’un frappe à la porte. Après avoir offert un baiser à son amant, Manon s’esquive. Ce sont les laquais de son

commune à tous les peuples, mais ici ce... - La guerre ? Quelle guerre ? Il quitte sa table et s'avance. Son émotion devient très vive et très visible. - Ces peuples ne nous faisaient pas la guerre ! Ils venaient à nous tout souriants, je visage gai, curieux de nous connaître, chargés de fruits et de présents ! Ils ne savaient même pas ce qu'est la guerre ! Et nous leur avons apporté la mort ! Au nom du Christ ! Plusieurs assistants se dressent, comme scandalisés. Parmi eux le supérieur, qui

regrets. - "Demain, dès l'aube...", écrit par Victor Hugo le 4 octobre 1847. Ce célèbre poème est un poème de deuil concernant la mort de sa fille Léopoldine, disparue quatre ans plus tôt et dont il commémore la mort en se rendant une fois par an au village de Normandie où elle s'est noyée accidentellement avec son mari ; et où elle est enterrée. Ce poème d'une intense tristesse est l'un des plus connus de l'écrivain. - "Complainte de l'oubli des morts", écrit par Jules Laforgue en 1885. Ce poème est

délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses cireux, qui l'attachent à ce qu'on pense et à ce qu'on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l'air lui-même. J'aime ma maison où j'ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine, qui va je Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent.

délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même. Le Horla J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux

délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même. J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine, qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui passent

délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même. Le Horla J’aime ma maison où j’ai grandi. De mes fenêtres, je vois la Seine qui coule, le long de mon jardin, derrière la route, presque chez moi, la grande et large Seine qui va de Rouen au Havre, couverte de bateaux qui