Villes et Pays d'art et d'histoire

STREET ART Les œuvres d’arts enrichissent notre patrimoine et se trouvent communément sous forme d’exposition dans les musées et galeries. Quand est-il pour les autres formes d’arts? La rue offre aux passants et aux publics des graphismes souvent éphémères qui naissent puis disparaissent au fil du temps. De nos jours, la société reste partagée sur le sujet des graffitis, certains considèrent ces inscriptions comme un acte de vandalisme et d’autres comme une œuvre picturale a part entière. En quoi

contribuent à cela. La démarche programmatique de Riegl à propos du culte des monuments, combinée à ses autres écrits consacrés au concept du monument, a pris racine dans la législation et la pratique de la conservation des monuments, y compris dans des pays où la pensée dominante s’inscrit davantage dans les enseignements nuancés et différemment pondérés de Georg Dehios ou Camillo Boito. La démarche de Riegl en matière de conservation des monuments est ainsi inscrite dans la législation, entrée dans

Il leur était interdit de posséder, pour la cultiver, la terre. Ils vivaient donc dans les villes, où ne leur restaient comme possibles activités pour gagner leur vie, que celles qui étaient précisément interdites aux chrétiens. Si bien qu’ils furent repoussés de presque tous les métiers, et contraints principalement de s’orienter vers le commerce Par exception, les Juifs s'occupèrent aussi d’artisanat d’art (orfèvrerie, taille des pierres précieuses) et de médecine : c’est ainsi que des professeurs

la ville, non seulement radicalement différents mais surtout en concurrence directe les uns avec les autres. Le quartier du gouvernement de la R.D.A prend pied dans le centre historique de Berlin. S’inspirant du modèle russo-soviétique des grandes villes, des voies larges de parade et des logements monumentaux sont construits à travers Berlin-Est. A Berlin-Ouest, on cherche à retrouver la tradition de l’architecture Bauhaus interrompue par la dictature nazie et la guerre, une autoroute périphérique

Le terme baroque désigne une forme d'art, née en Italie, qui s'épanouit entre la fin de la Renaissance et le retour au classicisme. Dominant l'art et l'architecture de l'Europe au XVIIe s. et dans la première moitié du XVIIIe s., son influence se poursuit en Amérique latine jusqu'à l'aube du XIXe s. Le baroque propose un style à la fois très structuré (il joue abondamment de la symétrie) et très dynamique (il insère ses formes dans un puissant mouvement de volutes et de spirales). – ARCHITECTUREEn

considère l'outil qui l'a produit. ...   | | | | L'orfévrerie | Bracelets semainiers colliers fibules ne cessent de faire rêver les femmes ...   | | | | Les tapis | L’incontournable tapis de laine, tout un symbole d’art, d’histoire et de culture. Le Tapis est le mobilier le plus important pour tout intérieur ...   | | | | Les zelliges | Le travail de ces très beaux carreaux de Zellige en faïence émaillée, encore bien conservé de nos jours revêt les minarets

France que vers 1960. Le formalisme débutera par la création, en 1915, du Cercle de linguistique de Moscou (pour promouvoir la linguistique de la poétique). La revue ‘’Poética’’ est publiée avec l’aide des formalistes par l’Institut d’Etat d’Histoire et d’Arts. *Les grandes idées du formalisme : Le formalisme naît en réaction contre une méthode de critique qui s’attachait à l’étude des symboles et d’éléments qui influencent l’Œuvre (l’Histoire, la Société). Contre cette manière de faire, les formalistes

inscrits à l’inventaire » le sont par accord amiable avec les propriétaires ou bien peuvent faire l’objet d’une inscription d’office. Cette labellisation a pour objectif d’empêcher la démolition des quartiers historiques et anciens des villes. Elle met en place le concept de « secteur sauvegardé » qui protège des portions de tissu urbain présentant une unité architecturale, une valeur urbanistique, un intérêt historique. Dans ce titre s’inscrit le label international (Site Inscrit au Patrimoine

forte, en demande de renouvellement de d e ca s •  Petite région « sans nom », composée de terres assez basses, humides et souvent teintées de grisaille, le NordPas-de-Calais n’en dispose pas moins d’une identité forte faite d’un passé riche, d’histoire et de travail, récemment douloureux. C’est oublier que la vie des gens du Nord est égayée par une culture populaire vivante, festive et colorée. « Mal jugée de l’extérieur, aimée de l’intérieur » (A. Frémont), la région s’emploie à corriger le stéréotype

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