Vincenzo Gioberti

autour de la chrétienté, et donc du Pape, dans son livres Des cinq plaies de la sainte église, écrit en 1832. Ce mouvement doit donc former une démocratie d'inspiration chrétienne, évitant toute forme de despotisme. Dix années plus tard, l'abbé Vincenzo Gioberti publie en exil son Primato morale e civile degli Italiani : opposant la grandeur historique de son pays aux fausses valeurs propagées par la France, il propose son unification sous la forme d'un groupement des princes autour du pape, arbitre

désires d’unification. Comme Giuseppe Mazzini croyant en une patrie italienne il participe ardemment a ce « printemps », ardent propagandiste des ses idées révolutionnaires et démocratiques, il forme des révolutionnaires tout au long de sa vie. Vincenzo Gioberti est l’un des chefs du risorgimento, il n’est pas partisan de la révolution mais voit plutôt une Italie unifié avec le Pape en tant que roi (néo-guelfisme), cette idée est impossible mais il montre aux italiens que des solutions sont possibles

Jacopo Sansovino, décédé, à la charge d’architecte en chef de la Sérénissime ; il y construit les églises de San Giorgio Maggiore et du Redentore. Andrea Palladio meurt en 1580 avant d'avoir achevé le Théâtre Olympique de Vicence que son disciple Vincenzo Scamozzi terminera.

Dans le cadre du cours: Littérature musicale Vincenzo Bellini Au XVIIIième siècle, la musique prenait une place importante dans le train de vie auquel les paysans étaient voués à avoir. Plusieurs compositeurs classiques essayaient de se faire connaitre grâce à leur musique. Par contre, aujourd’hui je parlerai d’un compositeur romantique qui vient tout droit d’une famille de musiciens d’origines Italiennes, Vincenzo Bellini. Je parlerai entre autre de ses études, des différentes rencontres

participation), arrivait sur ces ardennaises le couteau entre les dents. Liège-Bastogne-Liège, il en rêvait. Toute fois, celui qui se fait surnommé le petit prince par ses tifosi, fut toujours bien placé, mais jamais gagnant (5ème, 3ème, 7ème). Vincenzo Nibali, la lueur dans un ciel sombre Il serait inutile de mentir, on s’attendait à un bon Nibali sur la Grande Boucle. Mais ce qu’à réaliser le coureur de Messine est bien plus que ça. Bien qu’il n’a pu parvenir à remporter d’étapes, Nibali est

 LA MORT DE CESAR I.Présentation de l'oeuvre Ce tableau , qui s'intitule la mort de César , est une huile sur toile peinte en 1793 par Vincenzo Camuccini . Il en existe deux versions : une grande ( 400*707 cm) exposée à Naples au Musée Capodimiente et une plus petite ( 112*193 cm ) qui à était commandé par un lord anglais , le lord Bristol , exposée à la Galerie d'art moderne et comtemporain à Rome . Cette œuvre appartient au néo-classicisme. Le néo-classicisme est un mouvement artistique qu’on

La mort de César 1804-1805, Vincenzo Camuccini, huile sur toile (112 x 195 cm) Galleria Nazionale d’Arte Moderna e Contamporanea, Rome I Le contexte 1.1) La date de l’œuvre L’œuvre est une commande d’un Lord anglais passée en 1793. Insatisfait par les critiques, Camuccini entreprend de peindre différentes versions qu’il détruira lui-même. Une huile sur toile (400×707 cm) a été finalement réalisée et est actuellement exposée au musée Capodimonte de Naples. L’œuvre exposée

1848-1849, également baptisé « Quarantotto » par les italiens. La première phase de la révolution est une période de revendications et d'insurrections libérales et constitutionnelles. Le modèle libéral, modéré, prône, à l’image de son leader Vincenzo Gioberti, la création d'une confédération des États italiens sous la domination du pape. La seconde phase est celle des expériences révolutionnaires radicales du début de l'année 1849, menées par les démocrates révolutionnaires qui, s'inspirant des idées

(libéral, chrétien et national) a écrit plusieurs œuvres : drame ou roman historique (Les fiancés), la poésie engagée, l’histoire (Histoire de la colonne infâme) ou il 7 plaide pour l’unité linguistique du pays autour du dialecte toscan. Vincenzo Gioberti philosophe et théologien qui représente le courant néo-guelfe. Il imagina une Italie fédérale dont l’Eglise prendrait la tête (De la suprématie morale et politique des Italiens.). Cesare Balbo historien qui refuse le principe de l’insurrection

mouvement d'unification ? Trois tendances s’opposent : Pour Mazzini, qui incarne le mouvement démocratique, le soulèvement populaire doit donner naissance à une république. Dans son ouvrage Il primato morale e civile degli Italiani (1843), l'abbé Vincenzo Gioberti prône l'idée que le pape doit régénérer l'Italie (mission civilisatrice de l'Église catholique) et présider une confédération des États italiens. Pour Cesare Balbo dans Speranze d'Italia (1843) ou Massimo d'Azeglio dans Degli ultimi casi di Romagna