Violence Litterature Jeunesse

fr • lettres.ac-rouen.fr • www.ac-strasbourg.fr • expositions.bnf.fr A l’époque de Victor Hugo, au 19ème siècle, la violence était très présente et occupait une grande place dans la vie des habitants de ce même siècle. Cette violence se présentait sous différentes formes de celles que nous connaissons de nos jours. Pour lutter contre cette violence, le gouvernement n’avait que deux solutions: soit l’enfermement soit la peine de mort (la guillotine a cette époque). Dans ces années

dans la forêt. Il devient le héro, le guide, le responsable de toute la famille entière. Aussi, la famille du petit Poucet m’apparaît être une famille connaissant la violence familiale. Le petit Poucet est le mal-aimé, le mal-traité mais nous pouvons aussi remarquer que le père exerce une certaine autorité et même une forme de violence envers la mère : « Il la menaça de la battre si elle ne se taisait pas. ». De plus le fait que le père décide d'abandonner ses enfants dans la forêt pour qu'ils se

Mussolini, il établit un pouvoir totalitaire donc il est le « Duce ». Il met en place une police Ainsi une autre forme de conflit apparaît beaucoup plus perfide que les combats militaires : la guerre psychologique. I) La Propagande Dans La Littérature Dans toute dictature, la culture du Chef suprême est une valeur fondamentale. Pour manipuler les peuples , ils se font appeler du nom de Führer (le Guide) tel A. Hitler, de même Staline porte le surnom de « petit Père des peuples » terme communément

est décrit sur la 4ème de couverture comme "presque autobiographique". Il permet de découvrir la vie des indiens Spokane, parqués dans des réserves, qui ont perdu leur culture et qui ont du mal à s'intégrer à la société moderne. Chômage, pauvreté, violence, alcoolisme, découragement, mort sont leur lot quotidien. Junior, qui raconte son histoire, va tenter de se sortir de cette ornière. Il est en effet un adolescent vivant, plein d'humour et de malice. Il porte en lui assez d'espoir et de courage

http://www.bibliomonde.com/livre/pain-113.html par Mohamed Choukri ( Livre ) Points Collection Littérature  Langue d'origine : arabe marocain Traduit par Tahar Ben Jelloun avril 1997, 160 p., 4.88 euros Première édition : 1980 ISBN : 2020317206 Roman autobiographique où l’auteur raconte son enfance et son adolescence marquée par la misère et l’exil. Ce classique de la littérature marocaine a été interdit au Maroc jusqu’en 2000, cette censure était motivée par l’évocation des expériences

Intro : La littérature est l’ensemble des œuvres écrites auxquelles on reconnaît une finalité esthétique. Il n’est donc pas étonnant de voir les écrivains utiliser leurs manuscrits pour défendre une thèse : c’est ce que nous appelons la « littérature engagée ». Ainsi nous pouvons nous demander si la littérature est le meilleur moyen pour défendre une thèse et s’il existe d’autres moyens permettant de défendre une idée. D’abord nous étudierons les différents genres littéraires pouvant défendre

L’œuvre choisie ………………………….……………8 iv CHAPITRE II: LES THEMES PRINCIPAUX……………………20 2.1 La souffrance…………………………………………………20 2.2 La peine de mort…………………..…………………………21 2.3 La peur ………………………………………………………23 2.4 Le haine………………………………………………………24 2.5 La violence……………………………………..……………27 CHAPITRE III : LES THEMES SECONDAIRES……….………..28 3.1 La religion……………………………………………..……28 3.2 L’angoisse…………………………………………………...29 3.3 L’horreur……………………………………………………..30 3.4 L’injustice……………………………………………………32 v Conclusion……………………………………………………34

axé sur les romans policiers en général car c’est un genre que j’aime bien personnellement et qui je pense peut stimuler la lecture chez les enfants. Ce livre là m’a beaucoup plus notamment de part sa fin qui sort des clichés des livres de littérature de jeunesse qui se finissent toujours bien. L’extrait que j’ai choisi de vous lire est situé au début du chapitre 5 qui représente l’apogée de l’angoisse pour le jeune Ricky… II) Lecture à haute voix (1’)

culturel. Reprenant Althusser, dans L’Emprise des signes, Jean-Jacques Lecercle propose une vision de la « vraie » littérature non comme le lieu de revendication d’identité, mais plutôt comme le lieu de contact avec l’altérité. La littérature permet au sujet (lecteur) de pénétrer la conscience d’autrui telle qu’elle est reconstruite imaginativement par, et dans, le langage. « La littérature, écrit-il, est donc ce qui est capable de transformer une revendication d’identité en expérience d’altérité »1

personnage comporte souvent une faille ou une blessure interne qui justifie une recherche sur soi et, par conséquent, un parcours narratif. Le récit raconte généralement comment une personne qui, au début, souffre d’un manque ou bien est victime d’une violence externe ou interne, parvient peu à peu à combler la fissure ou à s’affirmer face aux autres tout en consolidant son identité. La manière dont le protagoniste vient à bout de son problème initial et la nature de ce problème nous permettront d’identifier