Violence Qui Ruine

leur différence relative. (p.34) Les préjugés Un gouvernement mondial rendrait le pouvoir bureaucratique, dirigé par un ‘’personne’’- on se débarrasse des hommes en tant qu’acteurs- La politique étrangère oscille entre la pure propagande et la violence brutale (p.37) Nietzsche : ‘’aucun individu isolé ne peut détenir la puissance, puisqu’elle trouve sons sens dans l’action commune des masses’’ (p.38) Un homme ne peut être dépourvu de préjugés; aucun homme n’est assez avisé ou doué d’une capacité

tolérance, la reconnaissance du verdict des urnes, la séparation des pouvoirs, etc. MAO met en perspective deux concepts diamétralement opposés d'un point de vue axiologique : la politique et la guerre. Cette dernière ne peut se départir de la violence, de l'effusion de sang. Elle est une « politique » des arguments de la force, quand la force des arguments a fait kalata - Préparation Supérieure Privée aux concours administratifs – www.kalata.cm 1/5 preuve de son inefficacité. 2. La consigne

montrent que Bruxelles comporte plus de criminalité que des villes comme Londres, Paris, Barcelone,… Comment pourrait-on limiter, voire contrecarrer toute cette violence ? Victor Hugo a dit : « Ouvrez des écoles et vous fermerez des prisons. ». Selon lui, l’instruction est l’un des moyens qui aurait le plus de chance de limiter la violence. Effectivement, cet homme a vécu peu de temps après les philosophes du siècle des lumières et en a été inévitablement influencé. Il a hérité de la même pensée,

jusqu'à son drâle ; Il le pratèle et le libucque et lui barufle les ouillais ; Il le tocarde et le marmine, Le manage rape à ri et ripe à ra. Enfin il l'écorcobalisse. L'autre hésite, s'espudrine, se défaisse, se torse et se ruine. C'en sera bientôt fini de lui ; Il se reprise et s'emmargine...mais en vain. Le cerceau tombe qui a tant roulé. Abrah ! Abrah ! Abrah ! Le pied a failli ! Le bras a cassé ! Le sang a coulé ! Fouille, fouille

Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857 I / Le malaise (le mal être) de l’héroine a. Le point de vue dépréciatif d’Emma b. Le regret du temps passé c. La colère d’Emma II / Le personnage de Charles a. Une réputation professionnelle ruinée b. Un homme sans caractère c. Un mari bafoué III / La satire a. Le romantisme anéantie b. Le bovarysme c. Un roman réaliste Introduction : Flaubert se situe dans la lignée des grands romanciers de la première moitié du XIXème siècle qui ont voulu

romantique, qui pour échapper a une vie conjugale monotone et ennuyeuse, va multiplier les passions adultérines avant de se suicider en avalant de l'arsenic. (*Une telle héroïne ne peut que choquer les lecteurs de l'époque, car elle trompe son mari, le ruine, n'est pas une bonne mère ( ne s'occupe pas de son enfant) et enfin se suicide. Ce roman a fait scandale. ) *Société de l'époque très pieuse et qui en plus a des valeurs bourgeoises (= la 1ere valeur est la famille, mariage pour la vie, on ne divorce

très cru (corps en putréfaction, essaims de mouches, cadavres noirâtres, etc.). L’idée de choc, de violence est accentuée par le mot cadavre, et la comparaison du champ de bataille à un rideau de théâtre qui se lève. Son regard se porte sur tel ou tel détails qui renforcent l’idée de dégoût. L’odeur du charnier sature l’atmosphère. René Jacob établit un différence entre la carnage humain et la ruine des choses qui, elle, est plus forte que la mort car elle entraine un écrasement de la trace humaine :

donner » (l.14). On a ici une opposition entre la violence d’un supposé combat pour la liberté, et la véritable solution, plus simple à obtenir : « Et pourtant ce tyran, seul, il n'est pas besoin de le combattre, ni même de s'en défendre ; il est défait de lui-même, pourvu que le pays ne consente point à la servitude » (l.10-13). La phrase « Qu'une nation ne fasse aucun effort, si elle veut, pour son bonheur, mais qu'elle ne travaille pas elle-même à sa ruine » (l.15-16) révèle toute l’absurdité du paradoxe

(engagé par Vogue en 1924) le détrône, en utilisant lui, une image nette avec des poses simples. Tandis que la guerre fait rage en Europe, l'américain John Rawlings impose la photographie de mode en couleur. La domination américaine sur une Europe ruinée se concrétise par la célébrité des Richard Avedon (avec sa célèbre photo : Made in France) et Irving Penn. Dans les années 60 on assiste à la montée en puissance des modèles non conventionnels (Jean Shrimpton, Veruschka ou Twiggy) tandis que les

monde dans un XX eme s. qui se caractérise par la brutalité inouïe de ces conflits. I. LES 3 PHASES DU CONFLIT. Au début du XX eme s. en Europe, des tensions fortes mènes à la signature d'une série d'alliance entre différents états en cas de violence -La Triple Entente = France + R.U + Russie -La Triple Alliance = All+Autriche = Hongrie + Italie L’héritier du trône d'Autriche-Hongrie assassiné le 28juin 1914, va conduire à d'innombrables déclarations de guerres du fait des alliances. Début