Violence Qui Ruine

Texte 1 : Les fausses confidences Acte 1, Scène 14 : L’extrait étudié est tiré de l'acte l, scène 14, des Fausses Confidences. Cette pièce de Marivaux a été représentée en 1737. Elle met en scène Le valet Dubois et la riche veuve Araminte. Dubois est l’ancien valet de Dorante un bourgeois déclassé, amoureux d’Araminte. Le valet Dubois est maintenant au service de cette veuve, engagé comme intendant et missionné par son ancien maître pour servir sa cause auprès d’Araminte. Le valet Dubois

« L’écume des jours » de Boris Vian [pic] I – AUTEUR 1) Sa vie Boris Vian est né le 10 mars 1920 à Ville-d’Avray en second fils de Paul Vian, un homme libéral et anti-conformiste, et Yvonne Revenez. 9 ans plus tard, son père est ruiné alors qu’il vivait de ses rentes, il est donc obligé de louer sa maison et de vivre dans la maison de service. En 1932, Boris, dont la santé est fragile, développe une angine infectieuse qui lui causera une faiblesse cardiaque. Cette même année il entre

lesquelles il lui sera possible, ayant défini son cap, de s'y tenir. L'engendrement michaldien est autogénétique. Il illustre une obsession de la naissance, nette dans le poème du même nom et plus largement une passion du commencement ., du germinatif. La violence est positive, mise au service d'une force de libération essentielle. Rage et élan y sont indissociables : Je frappe, je frappe, j'éventre, j'ai des satisfactions surhumaines, je dépasse sans effort la rage et l'élan des grands carnivores et des oiseaux

relation à autrui inauthentique. Lorsque j’ai recours au mensonge pour servir mes intérêts, comme dans le cas d’une fausse promesse, j’utilise l’autre, je le réduis à un instrument et je nie donc en lui l’humanité. Le mensonge est déjà une forme de violence. Ensuite, le mensonge ne saurait être considéré comme un droit moral car il n’est pas « universalisable ». Le droit est général, ses prescriptions valent pour l’ensemble de la communauté. Imaginons une société dans laquelle tout le monde ment pour

RÉ SU M É Le XXe siècle est un siècle marqué par la guerre. La première Guerre Mondiale place la violence au centre des relations internationales, mettant la paix à l'épreuve. La deuxième Guerre Mondiale surenchérît encore dans l'horreur avec l'ordre nazi. Pourtant, les efforts de la communauté internationale aboutissent à la création de l'ONU. I 1914 - 1925 : l'expérience de la guerre mondiale A Les origines et le déroulement de la guerre 1 Les causes profondes et le déclenchement du conflit

entière. Son roman Le Père Goriot qui a paru en 1835 révèle une vison de l’homme et de la société en même temps qu’il constitue un roman d’apprentissage. Balzac met en scène dans un décor parisien des personnages dominé par l’appât du gain, un père ruiné qui s’est sacrifié pour ses filles et un jeune pauvre et ambitieux. Le passage se situe au début du roman. L’auteur évoque une pension bourgeoise ainsi que la misère et les souffrances que Paris peut renfermer. Pb : En quoi ce début de roman présente

annonçant suspension assauts et améliorations conditions vies (nourriture, permissions + nombreuses…). Répression limitée : 50 000 dossiers, slmt 3500 condamnations. 2.3- Les civils face aux violences Introduction : La séparation entre civils et combattants s’estompe pendant cette guerre. Des violences sont infligées aux civils, certes elles sont largement inférieures à la masse des combattants mais restent significatives et témoignent de l’expérience combattante des civils. 1- Viols, massacres

ses amis, d’argent etc…) devient un véritable héros qui perd son insousciance : devient une ombre au rire désespéré. 8)Comment se nomme l’ami du principal héros du roman ? Quelle est sa passion ? ……Chick ; sa passion est Jean Sol Partre .Il se ruine pour acheter des objets lui ayant appartenu, et ne peut donc épouser Alise. Il dilapide même ce que lui offre Colin. Pourquoi ce personnage ne peut-il épouser Alise ? ……: il dépense tout son argent pour l’achat de manuscrits ou d’objets appartenant

Maltraitance des femmes la violence à l’égard des femmes telle que formulée par l’ONU. À savoir : « La violence faite aux femmes désigne tout acte de violence fondé sur l’appartenance au sexe féminin, causant ou susceptible de causer aux femmes des dommages ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques, et comprenant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté, que ce soit dans la vie publique ou dans la vie privée. » La violence envers les femmes n’existe

qui sont ici compris dynamiquement comme des forces actives qui n'offriraient d'autre voie à l'éducateur que l'opposition d'une force plus grande encore. Punitions, fessées sont opposées traditionnellement à ces forces innées. La violence de l'éducation s'oppose à la violence de la nature. L'homme n'est en effet pas " cet être débonnaire " qui aime son prochain. Il est au contraire animé à l'égard de l'autre d'intentions que la société civilisée condamne. Ces instincts puissants le portent à tuer, piller