Violences urbaines

point de vue des connaissances didactiques que de notre capacité à analyser notre pratique pour l’améliorer peut se trouver en échec face à des situations que l’on pourrait qualifier d’anormales. Ces situations se traduisent bien souvent par une violence qui peut mettre en jeu différents partenaires. Même si on peut considérer à première vue que l’école primaire est davantage préservée des risques de comportements violents que le secondaire, compte tenu du jeune âge des élèves, la politique actuelle

sociale. Il rejette à deux reprises la main tendue par L. XIV via ses émissaires, rejet qui se manifeste de façon dure et violente. Le film nous le montre chassant par le collet M. Caignet, puis brisant une chaise lors de la 2nde tentative.  Une violence qui dit le rejet absolu, définitif de la vie mondaine. Incapable de flatterie, il formule au contraire la petitesse du roi : « Votre palais est plus petit qu’une cabane et votre public moins qu’une personne » (chp V). SC partage en cela le rejet

Communication Mission d’évaluation, d’analyse et de propositions relative aux représentations violentes à la télévision. LA VIOLENCE A LA TELEVISION RAPPORT de Madame Blandine Kriegel à Monsieur Jean-Jacques Aillagon, Ministre de la Culture et de la Communication. 1 LA VIOLENCE A LA TELEVISION Résumé du rapport de la mission Kriegel La dérive de la violence dans notre société républicaine démocratique particulièrement attachée à la liberté est un phénomène dont nous avons pris lentement

Les travaux de Jean-Marie Firdion et Maryse Marpsat (sociologue français) montrent très clairement que le risque de s'engager dans une trajectoire de SDF est fortement accru par le fait d'avoir vécu de graves problèmes familiaux (mésentente ou violence des parents) durant la jeunesse. Ces résultats sont confirmés également par les enquêtes de Maryse Esterle-Hedibel (sociologue française) pour les itinéraires des jeunes s'engageant dans des bandes aux comportements violents. La ségrégation sociale

constat est attesté par les articles de presse, les données statistiques2, les recherches et les études de cas, qui révèlent la diversité des formes d’anti-socialités et les difficultés des acteurs confrontés à ces diverses formes de violence. Ces contraintes ou violence peuvent provenir d’un supérieur hiérarchique, d’un collègue ou d’un subalterne. La répétition de ces pressions peut être qualifiée de harcèlement qui ne reste sans conséquence en droit pénal. Traiter la question du harcèlement devrait

l'utilisation légitime de la violence par des civils dans un territoire occupé, et catalogueraient ainsi tous les mouvements de résistance comme groupes terroristes. D'autres font une distinction entre un usage légal ou illégal de la violence. Au bout du compte, la distinction est un jugement politique, qui ne peut être que biaisé par la conviction que «le criminel c'est l’Autre». La définition du terrorisme est de façon inhérente sujet à controverse. L'utilisation de la violence à des fins politiques

par des pères soudain démunis devant ce qu’on nomme la vie. Père de famille !! Risible association de mots vidés !! Rendez-nous le sacré, rendez-nous le meurtre sacré et vous n’aurez plus de ces sortes de crimes sans fondements, ces crimes urbains dictés par un immédiat devenu incompréhensible. Appelons ça : crime à deux dimensions ! Le théseur français : Il semble que dans l’énigme de l’Ouranos, nous ne soyons pas dans ce genre de crime à deux dimensions. Mais je ne serais pas étonné

conflits religieux. C'est la peur sociale des nantis et des classes aisées qui provoque les affrontements religieux les plus sanglants. Pour Denis Richet, ce sont des jalousies sociales et culturelles entre bourgeoisies et noblesse qui ont amené les violences de la St Barthélémy en 1572. Cette confrontation est typique de la crise qui se produit à cette période en France. Selon Venard, c’est souvent la peur sociale des nantis, plus que l’espoir ou la colère éveillés par les prédicateurs religieux, qui

dont l'objet politique est abordé dans les deux domaines. La science politique est plus large que le droit public. Ces deux discipline sont complémentaire car elles doivent prendre en compte l'une et l'autre. Tout pouvoir repose t-il sur la violence ? Le pouvoir n'est pas nécessairement le pouvoir politique. Partir du pouvoir en général pour en venir au pouvoir politique. Le pouvoir en général est relationnel. Le pouvoir n'émerge que dans une relation. La définition du pouvoir selon Max WEBER

Madame Gabrielle Balazs Abdelmalek Sayad La violence de l'institution [Entretien avec le principal d'un collège de Vaulx-en-Velin] In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 90, décembre 1991. La souffrance. pp. 53-63. Citer ce document / Cite this document : Balazs Gabrielle, Sayad Abdelmalek. La violence de l'institution [Entretien avec le principal d'un collège de Vaulx-en-Velin]. In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 90, décembre 1991. La souffrance. pp. 53-63