Virée de Galerne

salut public : « Détruisez la Vendée… » ; 5 septembre : La Terreur à l’ordre du jour : nouveau calendrier, loi des suspects, Notre Dame de Paris devient Temple de la Raison ; 17 octobre : défaite des Vendéens à Cholet. 18 octobre-23 décembre : Virée de Galerne. 1794 19 janvier : Turreau présente un plan d’extermination de la Vendée ; le 21 janvier, le comité de salut public lance les Colonnes infernales sur la Vendée militaire ; 28 janvier : rappel à Dieu à l’âge de 21 ans de Henri de La Rochejaquelein

permet à leur nouveau, chef Henri de La Rochejacquelein, de tenter de prendre le port de Granville, dans le cotentin, pour réaliser une jonction avec les anglais et les émigrés qui doivent y débarquer. Cette expédition, connue sous le nom de Virée de Galerne, se solde par un échec, (14 novembre 1793)[180] mais témoigne de la force et de la détermination des contre-révolutionnaire. Après ce revers les restes de l’armée royale se dirigent vers Le Mans où ils sont écrasés (16-19 décembre) ; le restant

qui permet à son nouveau chef, Henri de La Rochejacquelein, de tenter de prendre le port de Granville, dans le Cotentin, pour réaliser une jonction avec les Anglais et les émigrés qui doivent y débarquer. Cette expédition, connue sous le nom de Virée de Galerne, se solde par un échec (14 novembre 1793)198 mais témoigne de la force et de la détermination des Vendéens. Après ce revers, les restes de l’armée royale se dirigent vers Le Mans où ils sont écrasés (16-19 décembre) ; le restant est massacré

permet à leur nouveau, chef Henri de La Rochejacquelein, de tenter de prendre le port de Granville, dans le cotentin, pour réaliser une jonction avec les anglais et les émigrés qui doivent y débarquer. Cette expédition, connue sous le nom de Virée de Galerne, se solde par un échec, (14 novembre 1793)194 mais témoigne de la force et de la détermination des contre-révolutionnaire. Après ce revers les restes de l’armée royale se dirigent vers Le Mans où ils sont écrasés (16-19 décembre) ; le restant

permet à leur nouveau, chef Henri de La Rochejacquelein, de tenter de prendre le port de Granville, dans le cotentin, pour réaliser une jonction avec les anglais et les émigrés qui doivent y débarquer. Cette expédition, connue sous le nom de Virée de Galerne, se solde par un échec, (14 novembre 1793)[179] mais témoigne de la force et de la détermination des contre-révolutionnaire. Après ce revers les restes de l’armée royale se dirigent vers Le Mans où ils sont écrasés (16-19 décembre) ; le restant

qui permet à son nouveau chef, Henri de La Rochejacquelein, de tenter de prendre le port de Granville, dans le Cotentin, pour réaliser une jonction avec les Anglais et les émigrés qui doivent y débarquer. Cette expédition, connue sous le nom de Virée de Galerne, se solde par un échec (14 novembre 1793)[200] mais témoigne de la force et de la détermination des Vendéens. Après ce revers, les restes de l’armée royale se dirigent vers Le Mans où ils sont écrasés (16-19 décembre) ; le restant est massacré

l’envoi du Général KLEBER (bon général) avec de meilleures troupes qui bat les vendéens pour la première fois autour d’octobre 1793 à Cholet. Les Vendéens partent de Cholet, passent la Loire et montent vers la Manche jusqu’à Granville, c’est la Virée de Galerne. Près de 20 000 Vendéens (hommes, femmes, enfants) pour attendre les Anglais qui viennent battre la République et réinstaller la monarchie. Or les Anglais ne sont pas là d’où demi-tour par le même chemin (hiver 1793), morts, ils arrivent à la

insurrection fédéraliste menée par les Girondins ou soulèvements royalistes (Lyon, vallée du Rhône, Provence, Ouest surtout). Le danger vendéen est le plus important, avec des armées royalistes qui parcourent tout l’Ouest jusqu’à Granville (la « virée de Galerne ») avant d’être finalement vaincue à Savenay (décembre 1793). DOSSIER -  ui sont, que veulent Q les sans-culottes ? (pp. 286-287) Doc. 1 : Qu’est-ce qu’un sans-culotte ? Ce passage donne une définition sociale et politique : un

insurrection fédéraliste menée par les Girondins ou soulèvements royalistes (Lyon, vallée du Rhône, Provence, Ouest surtout). Le danger vendéen fut le plus important, avec des armées royalistes qui parcourent tout l’Ouest jusqu’à Grandville (la « virée de galerne ») avant d’être finalement vaincue à Savenay (décembre 1793). Doc. 5 : Les grandes mesures révolutionnaires LEÇON 3 - Girondins et Montagnards (1792-1794) (p. 192-193) Doc. 1 : La Convention La Convention (ainsi nommée d’après la Convention