Virginité

leur grand-mère. Il y a alors un établissement d’une dominance de l’un des individus par rapport à l’autre, ici, c’est l’oncle qui domine ses nièces. L’oncle sait que cette dominance permet de garder à sa disposition ses nièces (et donc de leur virginité) qui peuvent être convoitées par les garçons, et faire en sorte de pouvoir conservé la dignité familiale de manière intacte. Sous cet enfermement punitif, les sœurs sont au début inquiètent, mais très rapidement elles réussissent à éviter la punition

actes I et II Etymologiquement, est sacré ce qui ne doit pas être touché, ce qui devrait être protégé dans une société normale : le premier sens de ce mot est donc un sens religieux mais le sacré a aussi un sens plus large et peut englober la virginité, la famille ou la vie par exemple. Le sacré est un thème très présent dans Lorenzaccio et particulièrement dans les actes I et II mais dans la ville corrompue qu’est Florence, le sacré est bien souvent désacralisé. Quelles différentes visions du

Augustin « CHAPITRE VIII. POURQUOI LA VIRGINITÉ DOIT ÊTRE HONORÉE. 8. Aucune fécondité de la chair ne peut donc être comparée à la sainte virginité, même à la virginité corporelle. Si nous honorons cette virginité, ce n'est pas en tant qu'elle est virginité, mais en tant qu'elle est consacrée à Dieu; car si c'est dans la chair qu'elle se conserve c'est surtout par la religion et par la dévotion de l'esprit. En ce sens, quoi de plus spirituel que la virginité même du corps, quand elle est vouée et

Lecture du texte: LXII - Moesta et errabunda Dis-moi ton coeur parfois s'envole-t-il, Agathe, Loin du noir océan de l'immonde cité Vers un autre océan où la splendeur éclate, Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité? Dis-moi, ton coeur parfois s'envole-t-il, Agathe? La mer la vaste mer, console nos labeurs! Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse Qu'accompagne l'immense orgue des vents grondeurs, De cette fonction sublime de berceuse? La mer, la vaste mer, console nos labeurs

sa culpabilité, partager pour la première fois quelque chose avec son mari. Confiant à cet homme qui ne l’a jamais écoutée, ses désirs inassouvis, ses secrets – durant leurs premiers ébats elle a fait passer le « sang impur » pour le sang de la virginité. Pour la première fois en dix ans de mariage et trois de vie commune, elle se sent proche de lui, elle peut l’embrasser, lui parler sans être blâmée.Elle évoque les figures qui l’ont marquée – un père violent, une tante enchanteresse, une belle-mère

naissance, et recueillie par une ourse dans la forêt du Pélion. Des chasseurs enfin la trouvèrent et l'élevèrent ; elle devint une chasseresse redoutable, se distinguant notamment à la chasse du sanglier de Calydon. Elle fit, comme Artémis, vœu de virginité. Ainsi périrent sous ses flèches deux centaures, Hyléos et Rhoécos, qui tentèrent d'abuser d'elle. Il semble qu'elle épousa cependant Méléagre. Elle fut l'unique femme à faire partie des Argonautes aux côtés de Jason. Dans la version béotienne,

cherchent à être belles et désirables. La sensualité est décuplée dans cette annonce de part l’habillement du modèle : le corset en satin qu’elle arbore suggère la féminité à son plus haut degrés, alors que la couleur blanche fait penser à la virginité et à la douceur de la femme. Le fait que le corset soit défait, intensifie largement la sensation de glamour et encore une fois de sensualité, car le spectateur peut penser que le mannequin va poser son corsage. De plus, les caractéristiques physiques

autres. Le blanc peut dans cette œuvre être un symbole de la pureté et de la virginité, ce qui s’oppose donc à l’idée générale du tableau. Le voyeurisme est rappelé par les couleurs ocre et grises des plans de droite. Ils nous montrent une femme très tentatrice et une femme sortant du décor extérieur par l’intermédiaire d’un rideau dont les couleurs sanguinaires et sombres rappellent le diable, ce qui s’oppose à la virginité du blanc et du bleu. C’est une perspective qui est assurée par l’utilisation

les filles étaient sous l’influence de leur père, puis ensuite sous celle de leur mari, elles étaient toujours dépendantes des hommes. Au sein de leur foyer elles devaient servir leur mari et être des épouses modèles. Les femmes gardaient leur virginité jusqu’au mariage. Elles n’avaient aucun droit politique, elles n’avaient pas non plus celui de travailler parce qu’elles devaient garder toute leur attention pour les taches féminines et domestiques. Il y avait moins d’écoles de charité pour les

libres de réintégrer la société et de se marier. Elles inspiraient un respect universel car ces jeunes filles étaient les plus proches de la divinité mais aussi les gardiennes de la prospérité du royaume ; leur jeunesse, associée au feu, et leur virginité, signe de pureté, en étaient les symboles. En revanche, la Grande Vestale, sous la royauté romaine initiale, devait s’unir physiquement avec le roi pour légitimer son pouvoir. Elle n’était donc que mythiquement ou symboliquement vierge. Par ailleurs