Visage Retrouvé

du portrait photographique. L’art contemporain, né en 1960, fait évoluer le portrait photographique. Les artistes se questionnent sur la notion de ressemblance et cherchent à la remettre en cause. Le photographe cherche à échapper à l’évidence du visage, à sortir des conventions, comme John Copans qui, depuis 1984, intitule autoportraits des gros plans sur un pied, une main, une oreille. L'artiste semble vouloir renverser les habitudes et peut être à provoquer. Il se questionne aussi sur le fait

joue sur l'effet de surprise : le spectateur la découvre d'abord de dos . Il voit un enfant agenouillé qui semble prier, tel un communiant. Puis, en faisant le tour de la sculpture, le spectateur découvre le visage d'Hitler. L'effet de surprise est double : choc de se retrouver devant ce visage symbolisant le mal de notre époque, étonnement de voir ce personnage prier. Les matériaux utilisés accentuent le choc : sculpture en cire qui reproduit avec une grande exactitude l'apparence de la peau, cheveux

satisfait et qu'il a donc brûlés.  La représentation de l'artiste sur le tableau est un gros plan : on n'y voit que son visage. On pourrait croire que le peintre a essayé de se représenter plus jeune : ses traits sont plus doux, il a beaucoup moins de rides et n'a pas ses lunettes. Le tableau est déposé sur un chevalet en bois. Dans le coin inférieur droit de la toile, on retrouve la signature du peintre : Norman Rockwell. Plus haut, toujours sur la droite, se trouvent plusieurs autoportraits de peintres

départ de l’art moderne. Description Picasso peint des formes géométriques sous des angles singuliers, aves des couleurs éclatantes Cette toile met en scène cinq femmes nues (des prostituées de la rue d'Avignon à Barcelone) aux corps et aux visages anguleux, disloquées, devant un fond composé d'étoffes de plusieurs couleurs et qui sollicite le spectateur de leurs regards insistants. La scène est fragmenté, aussi bien les femmes que les espace entre elle, et ce qui devrait être en relief semble

corps et les têtes esquissés. Le visage disparaît et laisse place à un semblant de figure aux contours flous. Il reprend d’ailleurs dans le recueil L’Espace du dedans, un thème particulièrement exploré en peinture, de Renoir à Picasso : celui du Clown. Ici les traits du Clown, comme ceux de Plume dans ses peintures, semblent lui échapper. Le Clown est davantage appréhendé par ce qui lui manque que par ses attributs. Le poème se présente ainsi comme la quête d’un visage, d’une identité, quête qui se

................................................................... 11 3 - Pistes pédagogiques : ..................................................................................................................... 13 Décliner les expressions du visage (collège, lycée professionnel) ...................................................13 Jouer une scène de Kabuki (primaire et collège)..............................................................................13 Créer un maquillage Kabuki (collège

cohérence logique.   * D'une part, c'est par Ivan Iakovlévitch que l'on découvre le nez et ce nez est reconnu par lui, donc par un tiers ("digne de foi" ?) comme celui de Koliakov. D'autre part, il est vrai aussi que le personnage du coiffeur se retrouve à la fin en train de raser Koliakov et de lui saisir le nez : on a donc une construction circulaire qui place Ivan Iakovlévitch au début et à la fin de la nouvelle. * Mais d'un autre côté, cet Ivan Iakovlévitch n'apparaît pas indispensable au

demandait comment monsieur de Rustillon avait pu si mal vieillir. Sa vieillesse ressortait par les plis de son visage. Son visage était fermé, il ne souriait pas. Sa blancheur maladive était semblable à celle d’un homme qui aurait déjà un pied dans la tombe. Son nez osseux et recourbé était celui d’un gypaète qui sentait son gibier. On aimerait enlever cette écorce d’arbre de son visage pour retrouver cet homme tel qu’il était auparavant. Le gouffre de ses yeux était plein d’horribles pensées. Il repensait

(baïonnettes) ainsi que des chars pour se défendre. Pour se protéger les soldats avaient un casque, très populaire à cette période et portaient des sacs sur leur dos. On ne distingue par leur visage puisqu’ils sont de dos et avance vers l’obscurité ce qui permet d’interprété une armée humaine sans visage, allant vers l’atrocité et le massacre. Les hommes partaient dans cette ambiance pesante à la guerre et savaient qu’aller au front n’était pas agréable, on le remarque bien sur l’image avec des

social. Ici : seulement le visage (figure, peau, joues, yeux, le bout de son nez : portrait par morceaux), variable selon les jours « certains jours… D’autres jours… d’autres fois » : le temps est déterminant, ce n’est pas toujours le même visage. Proust a déclaré qu’il voulait élaborer une « psychologie dans le temps » L.27 « chacune de ces Albertine était différente » : plusieurs Albertine en une, l.30 aussi. A part le temps, qu’est-ce qui fait varier le visage d’Albertine ? 3/8 : « la tristesse »