Vision Du Monde Dans La Princesse De Clèves

|Comment l’auteur mêle-t-il Histoire et fiction pour composer une intrigue et des personnages qui présentent sa vision de| | |la 1e guerre mondiale ? | |Objets d’étude |Le roman et ses personnages : vision de l’homme et du monde. | |Perspectives |Etude du genre : caractéristiques

passait" (L.3) que ce dernier est en mouvement constant, imaginant multiples scénarios, restant sur sa garde et à l'affut, tandis que son nouvel amour reste immobile, ne faisant même pas attention à sa présence : cela explicite le fait que malgré la vision idéalisée qu'il possède de cette scène, elle reste totalement banale pour tous les gens autour de lui, Mme Arnoux comprise. On remarque par ailleurs plus tard dans l'extrait l'endroit où se déroule le coup de foudre, n'étant pas précisé dès le début

l'écriture romanesque. → Classique : se dit d'une œuvre qui paraît ne pas pouvoir se démoder, qui peut interpeller le lecteur ou le spectateur de toute époque. 2. La problématique Comment un genre comme le roman, le plus souvent marqué par une vision contemporaine de la société de son auteur et de ses personnages, peut-il traverser le temps ? 3. Le plan détaillé I. Un roman classique est un document historique privilégié. a) Il peut refléter la volonté de l'auteur d'être un historien. Il

sujet: “autrui à l’épreuve du portrait” nous amène à nous interroger en quoi autrui serait mis à l'épreuve de sa représentation par le portrait. Quelles sont les difficultés rencontrées par le peintre ou le sculpteur pour retranscrire sa vision d’autrui ? Dans quelle mesure l’évolution du portrait dans l’histoire des arts permet d’appréhender cette perception d’autrui de l’époque ? Et à quel niveau la relation entre le sujet peint et le spectateur, entre autrui et moi, est- elle diminuée

alors… » à « charmes » (p. 68 à 70) Introduction : Lecteur en position d’attente : il attend que lui soit présentée l’héroïne éponyme. Il a lu la peinture en demi-teinte de la cour : monde des apparences et des manières policées, royaume des intrigues et des liaisons. Il ignore si la princesse de Clèves sera une reine de vertu ou au contraire une intrigante. I- Un portrait élogieux. 1) Un modèle de perfection. Série d’informations sur le personnage : - informations physiques : « beauté

autre procédé. L'éclat de sa beauté sera accrédité par l'effet qu'il produit sur les personnages déjà présentés. La narratrice souligne qu'elle se fonde sur le témoignage des connaisseurs qui sont les courtisans « l'on doit croire », « les yeux du monde ». On voit la surprise du vidame ( ligne 26 ) que la narratrice justifie d'un commentaire « avec raison ». En plus de la beauté, elle a la noblesse la plus authentique ( ligne 4 ) et la richesse la plus fabuleuse ( ligne 5 et 6 ). Elle a autant

se pencher sur trois plans. Le premier sera l’intérêt que suscite la présentation des personnages sur le lecteur ; le deuxième sera la narration de l’histoire et la représentation d’un monde social ; puis le troisième sera la principale source d’intérêt du roman pour un lecteur afin de découvrir la vision du monde de l’auteur, à laquelle participe bien sûr, la représentation des personnages. S’intéresser aux personnages présentés permet de faire travailler l’imagination du lecteur. Ce dernier

le déni, comme Don Juan l’est et le sera de plus en plus dans la pièce. Elle ne veut pas voir la réalité, elle préfère « mille chimères ridicules » qui le peignent « innocent » à son cœur, elle veut se tromper, elle s’y emploie. Alors que la Princesse de Clèves disait « les passions peuvent me conduire ; mais elles ne sauraient m’aveugler2 », Elvire souhaite s’aveugler, et, par un mécanisme que Sartre expliquera bien plus tard, celui de la « mauvaise foi », elle y parvient en partie. Elvire s’entête

Cherchez quel(s) type(s) de roman(s) ne permettent pas de peindre véritablement l'univers intérieur du personnage. Exemples de romans pouvant vous mettre sur la voie : les textes du corpus, mais aussi : le roman d'analyse psychologique (La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, les romans de À la recherche du temps perdu de Proust...) ; le roman d'apprentissage (L'Éducation sentimentale de Flaubert) ; le roman épistolaire (Les Liaisons dangereuses de Laclos) ; le roman autobiographique (L'Enfant

portrait élogieux de l'héroïne. 1 : Un portrait classique. 2 : Une figure d'exception. ( vocabulaire mélioratif ) 3 : Une beauté fragile. II : Mais une héroïne fragile dans l'environnement de la cour : le portrait comme spectre d'une vision du monde. 1 : La figure de la mère, porte-parole des idées de l'auteur ? 2 : Une démystification de la société de la cour. 3 : Une écriture à double visage : un romanesque soucieux de réalisme. 3 : Rédaction du commentaire. Le portrait