Vitalisme

de société, ils ne peuvent en aucun cas distinguer les valeurs morales. Ils sont programmé pour agir de telle sorte qu’ils ne nuisent pas à l’équilibre naturel, mais ne savent ce qu’est la haine, la justice, ou encore la bravoure. D’après le vitalisme, tout être vivant dispose d’un principe vital. Certes, l’homme partage avec tous les autres étants la possession d’une âme végétative et sensitive,mais ces deux axes puisent leur essence de l’instinct de survie, et celui des sens communs. Par contre

des genres/espèces. Carl Von Linné (1769-1832) : grand classificateur Cuvier (1769-1832) : loi de corrélation des formes (les espèces ne sont pas fixes) Darwin (1809-1882) : évolution Lamarck (1744-1829) : transformisme Selon Aristote le vitalisme : âme est le principe vital de la matière (pneuma, psyche); l'âme est quelque chose de physique et indissociable, le cœur un élément central. Les 4 causes : cause efficiente (actionnaire), cause formelle (idée, forme), cause matérielle (matériau)

puissances surnaturelles" (SOMDA 1984). Il "se caractérise par son obscurité et son mystère (...). Parce que caché, ce versant de l'univers ne peut être qu'intuitionné, imaginé à partir de la face explicite qui en est le signe" renchérit GBAANE. Le "vitalisme" qu'il va développer et qui sera sa forte originalité n'est que la suite logique de cette conception globalisante du monde mais dualiste dans son fonctionnement. Les croyances religieuses Entre les deux mondes, le Dagara dresse une hiérarchie des

mais ces collectivités résultent des ineractions. « La société est un tissu complexe et mouvant. » G. Simmel -Est-ce que vous auriez un mot qui généraliserait l’individualisme ? Le terme qui nous correspond est un réseau d’interactions. C’est du vitalisme -Comment concevez-vous l’individu ? Les individus sont actifs, en partie libre, en partie conditionnés mais là où le sociologue individualiste va le voir en calculateur, stratège manipulateur, l’interactionniste lui va le voir : il donne du sens

particules élémentaires qui obéissent à des lois déterminées. De plus, dans le mécaniste, la causalité est uniquement temporelle, c’est-à-dire, que la cause est toujours en liens avec le temps. Toutefois, elle n’est pas investie d’une finalité ou d’un vitalisme ou encore d’une fin à atteindre, donc l’humain n’a pas de but à atteindre au cours de sa vie. Le modèle déterministe : Le déterministe consiste à mathématiser la nature. Le monde lui-même est un assemblage de machines qui fonctionne comme des

terre était une entité (biosphère + atmosphère+ mer + terre), un organisme dont l’activité d’autorégulation tendait à montrer qu’elle était vivante, voire consciente d’elle-même. Cette idée, n’est pas nouvelle puisque l’on peut la trouver dans le vitalisme stoïcien, dans la pensée romantique du XVIIIéme siècle ou chez Spinoza. Au delà des querelles entre les tenants de l’animisme superstitieux et ceux du rationnalisme borné , l’argument selon lequel il existe des mécanismes de régulation et de contrôle

ou entre le mouvement et l’ordre par exemple. Sur cette trame intellectuelle se sont greffées diverses influences. Ce sont d’abord des influences philosophiques. Hauriou est fortement marqué par le vitalisme et par Bergson, au point d’intituler ses derniers écrits sur l’institution : Essai de vitalisme social (Hauriou, 1925), même s’il se sépare de Bergson sur divers points, notamment sur l’appréhension continue du temps. Ce sont ensuite des influences scientifiques. Le juriste toulousain avait une

en s’opposant à toute sorte de mœurs (la religion, la sexualité, l’euthanasie, la politique, la philosophie classique, …). Il a publié environ 80 ouvrages sur les questions et la théorie de l’hédonisme, ses réponses s’orientent vers le vitalisme libertin, l’éthique immanente, l’individualisme libertaire, la subjectivité païenne, l’athéologie postchrétienne et autres ; Il publie aussi sur plusieurs thèmes : les sens visuels, l’esthétique contemporaine sur ses années d’enseignement au lycée

des caractéristiques particulières : Le vitalisme défend l'idée du vivant comme une exception dans la nature. Les êtres vivants, à la différence des machines, sont des organismes (Claude Bernard). De plus, ils sont animés (Aristote), ont une « force formatrice » (Kant) et suivraient un « principe vital » qui consiste à résister à la mort (Bichat). Mais le mécanisme défend la vision de l'animal-machine (Descartes) et rejette tout finalisme et tout vitalisme. La biologie contemporaine a adopté le mécanisme

l’art ». Vivant : C’est un organisme constitué de cellules ayant un fonctionnement autonome qui constituent des organes. Il naît, se développe et meurt. X.Bichat : « La vie est l’ensemble des fonctions qui résistent à la mort », 3 conceptions : vitalisme, mécanisme et organicisme. J.Monod : Les organismes vivants sont apparus grâce à des mutations génétiques intervenu au hasard mais leur structure définit des capacités qu’ils vont nécessairement se manifester. Lamarck : C’est l’adaptation au milieu