Vitalisme

sont erronées – Toute autre hypothèse relève du dogme. La science ne s’intéresse pas à la Vérité. La Vérité relève de la croyance. * Les croyances S’agit-il de l’état théologique selon Auguste Compte * Fétichisme (Auguste Compte) ou Vitalisme et Animisme (Claude Levy Strauss) * Théologique = polythéisme ou monothéisme. Doit-on distinguer la foi (immanente et révélée dans le christianisme) de l’apport moral de la religion, c'est-à-dire la foi en tant qu’expérience individuelle et

méthodique de la validité d'une hypothèse en la confrontant à des faits. Finalisme Doctrine qui explique l'enchaînement des phénomènes entre eux pas une causalité finale. S'oppose à explication causale, qui explique ce qui est par ce qui précède. Le vitalisme est, par exemple en biologie, une théorie finaliste alors que le mécanisme et causalisme. Historicisme Doctrine selon laquelle toutes les productions de l'esprit humain sont relatives aux conductions historiques de leur apparition, ce qui implique

blessé. Le vivant a des caractéristiques qui lui sont propres : il grandit, bouge par lui-même, se reproduit et meurt. On ne peut donc expliquer la nature des êtres vivants par des lois mécaniques… C’est pour cette raison que s’est développé le vitalisme : Cette conception considère que l’on doit, pour expliquer les manifestations du vivant, recourir à un principe vital, caché et relativement inexplicable, qui serait d’ordre métaphysique et non pas physique. Ainsi, tout se passe comme si l’extraordinaire

avec ce même milieu. Le vivant ne s’oppose pas au milieu extérieur comme le croit le vitalisme, il se pense lui aussi en termes de milieu, de mécanismes, même si ceux-ci sont plus complexes et plus délicats. C’est ce qui fait que selon Bernard, si la biologie ne fait pas exception à la méthode expérimentale, elle ne se réduit pas à la physique appliquée. Bernard tente de défendre une position médiane entre le vitalisme qui admet l’existence d’un principe vital et le physicalisme pur qui étudie le vivant

de la même matière ; le propre du vivant, c'est le mouvement qu'Aristote attribue à l'âme. Avec le Christianisme, cette âme fait de l'homme un être crée à l'image de Dieu. C'est contre le matérialisme impliqué par le mécanisme que se développe le vitalisme. Cette doctrine consiste à affirmer la présence d'une force vitale, qui explique la spécificité du vivant. Cette attitude est d'abord moins scientifique que morale ; elle ne conduit pas à diriger autrement les observations, mais débouche sur une

contre la mort, c’est l’assemblement de toutes nos facultés et de tous les mécanismes de notre être qui nous fait vivre. C’est parce que l’on sait qu’il y a une fin que l’on est poussé à vivre et à vouloir en profiter. En effet, c’est aussi grâce au vitalisme que l’on vit. Plus on a d’énergie mieux on vit, donc plus on a des raisons de vivre. On voit donc que ce qui nous fait vivre est quelque chose qui est plus profond que les arguments simples et qu’une action se montre, un effet de mouvement, de recherche

les chimistes pensaient généralement que les composés des organismes vivants étaient trop complexes de par leur structure et que l'homme ne pouvait les synthétiser. Car leur formation avait nécessité l'intervention d'une « force vitale » (voir vitalisme). Ces composés étaient également particuliers du fait qu'ils pouvaient se reproduire. Ils appelèrent ces composés « organiques » et continuèrent à les ignorer. L'essor de la chimie organique commença lorsque les chimistes découvrirent que ces composés

et comme représentation ; A. Comte (1798-1857) Discours sur l’esprit positif, Cours de philosophie positive ; A.- A. Cournot (1801-1877) Matérialisme, vitalisme, rationalisme. Considérations sur la marche des idées et des événements dans les temps modernes ; L. Feuerbach (1804-1872) L’essence du christianisme ; A. Tocqueville

 de   rétablir  ce  qui  était  avant  mais  essayer  de  vivre  cette  nouvelle  allure  de  vie.   11      Questions   a) Est-­‐ce  que  Canguilhem  ne  tombe  pas  dans  un  certain  vitalisme  finalement?   b) Pourriez-­‐vous  creuser  l’articulation  entre  normativité  sociale  et  normativité  vitale.   (ex  :  filiation)  ?     Réponses   a) Non,  Canguilhem  n’est  pas  vitaliste  précisément

dites aussi dualistes, font la différence entre l'inerte (la matière ou l'énergie) et le vivant (le spirituel, renvoyant donc à l'âme, à l'élan vital...). La difficulté serait donc de distinguer la matière et l'inerte. En science, cela a donné le vitalisme. -certains philosophes ont tenté de donner une définition phénoménologique de la vie, comme le philosophe Michel Henry : la vie est ce qui possède la faculté et le pouvoir « de se sentir et de s'éprouver soi-même en tout point de son être ». Pour